Lylac rencontre les esprits de la nature…

Telle une allégorie d’un paradis perdu, le nouveau single de Lylac, “The spirits of the wild”, évoque son fantasme ‘Eastwoodien’ des grands espaces sauvages et inexplorés. Fleuretant avec l’idée de la recherche du mythe ultime cher aux artistes californiens…

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Une lune de nacre éclaire And Also The Trees…

« Mother-of-pearl moon », le nouvel elpee d’And Also The Trees, paraîtra ce 23 février 2024. Nés d'une série d'improvisations à la guitare électrique, de Justin Jones avant et après l'aube, pendant un mois de solitude en 2020, les morceaux se sont ensuite…

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dimanche, 31 décembre 2000 06:54

V – The New Mythology Suite

Sur fond de mythologie consacrée à l'Atlantide et aux légendes puisées dans l'Egypte ancienne, Symphony X dispense une musique technique mais jamais stéréotypée. Un groupe américain conduit par le guitar-hero Michael Roméo qui réalise la parfaite alchimie entre speed métal et rock progressif. On lorgne du côté de chez Dream Theater pour la construction des morceaux, chez Stratovarius pour les arrangements ainsi que chez Rainbow et Malmsteen pour la haute volée guitaristique. Symphony X s'offre tantôt une touche jazzy, tantôt une envolée mélodique arabisante ; et même l'utilisation parcimonieuse de cuivres renforce ses influences néoclassiques. Enchanteresse, magistralement orchestrée, " Rediscovery ", longue plage de plus de douze minutes, vient boucler ce cinquième opus en guise de démonstration parfaite de tout le savoir-faire d'un groupe aujourd'hui au sommet de son art. On ne se lasse pas de " V " ; et chaque écoute révèle son lot de surprises, à l'image du dernier Dream Theater auquel il n'a pas grand chose à envier. Remarquable!

 

mercredi, 31 décembre 2003 11:19

Death Cult Armageddon

Le successeur du déjà énorme "Puritanical Euphoric Misanthropia" érige Dimmu Borgir en chef de file de la scène black metal. Concurrent direct de Cradle of Filth, l'élève a désormais largement dépassé le maître tant par la qualité de ses compositions qu'au niveau de la popularité. Dès la première écoute de cette nouvelle bombe de black symphonique, l'auditeur est immédiatement transporté par l'envergure du son et la puissance des orchestrations classiques. Elles rendent l'ensemble plus malsain encore qu'à l'accoutumée. Chaque parcelle de l'espace sonore est bien remplie, que ce soit par les claviers, les guitares, les violons ou les cuivres. Quant aux parties de batterie, elles sont à la fois complexes, écrasantes et dynamiques. La production résolument moderne et soignée et le superbe graphisme du digipack (NDR : en édition limitée !) sont deux bonnes raisons supplémentaires pour se procurer d'urgence cette plaque. D'autant plus que les référendums des magazines spécialisés vont, à coup sûr, le plébisciter parmi les albums de l'année. La qualité des compositions atteint son paroxysme lors des trop rares interventions de Vortex dont le chant clair illumine une oeuvre à la fois novatrice, sauvage, déjantée et grandiose. Un des sommets du black metal, sans aucun doute!