Inutile de dire que j'attendais cet album avec une impatience digne d'une fan d'un quelconque suave boys band. Et j'ai même pas honte de l'avouer. Misère de moi. Putain, 3 ans depuis " Imprit ", parfaite synthèse de hardcore tendance métal. L'opus transperçait les styles, offrant sur un plateau, un chant digne de Phil Anselmo (d'ailleurs présent en son temps sur " By the river ") en toute grande forme copulant avec un Burton C. Bell romantique, tout cela accompagné d'un furieux slow tendance grosses guitares. Imaginez le tableau. Depuis cette réelle découverte, et renseignements pris, me voici face au tout premier album du groupe qui me laisse un peu sur ma faim et la compile amuse gueule " For the bleeders ", sortie sur Go-Kart en 2000. Mais rien qui n'arrivait à la cheville de " Imprit ", album référence. Hé bien, les temps risquent de changer. " From bliss to devastation " opère un changement remarquable dans l'orientation musicale du quintette new yorkais. En apparence le jeu s'adoucit, les titres directs sont moins nombreux, mais surtout les ambiances sont plus complexes. Et de se sentir perplexe face à ce ramollissement général. Depuis lors, le disque s'est installé sur ma platine et je commence seulement à le découvrir. Je peux vous dire que je vais de surprises en surprises. Le groupe semble quand même abandonner un peu les exercices de hardcore pur pour se concentrer sur du métal tendance rock dur, voire très dur. Je sais, faut suivre. Autant par le passé Tim Williams lorgnait vers Anselmo, autant aujourd'hui je pense à Layne Stanley d'Alice In Chains pour les passages calmes (flagrant sur " Sunshine "). Mais que les fans se rassurent, lorsque ça pète, ça pète (Williams est un véritable fauve) et la maîtrise habite bien tous les membres du groupe, sans pour autant les taxer facilement de plagiat. Album de la maturité, expression débile s'il en faut, mais qui colle parfaitement à l'impression générale dégagée par ce petit bijou. Me voilà reparti pour 3 ans d'un comportement de midinette. Chouette alors !
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