En premier lieu, on est accueilli par une fort charmante voix. Alors on pousse le pas de la porte et on lui emboîte le pas.
L'intérieur est plongé dans la pénombre et il y fait poussiéreux.
Et pour tout dire, il flotte comme un parfum d'ennui.
Caractérisé par son rythme claudiquant, le deuxième titre, « Bite », nous invite à reconsidérer mon opinion.
On s'installe dans un vieux sofa et on se saisit de la bio qui traîne dans un coin.
En guise de « Questions And Answers », on n'en apprend guère sur cette maison, basée quelque part entre Copenhague et Berlin.
Le temps passe et on se met à bâiller.
On se dit qu'en haut, c'est peut être un peu plus remuant.
L'escalier est trop vétuste.
On prend donc la cheminée.
À tout hasard, on gratte un peu le conduit, à la recherche d'un peu de suie.
Mais le ramoneur est passé récemment.
Arrivé sur le toit de ce long playing, un petit vent vient un peu nous secouer. Nous arrivons à la fin de « Random Picking », mais pas de quoi s’affoler.
Au loin, les canards sauvages traversent le ciel...