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Une valeur sûre de l'électro/folk indie… Spécial

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Il y a trois ans, James Vincent McMorrow se produisait en première partie de Thomas Dybdahl, au Botanique. Et en début d'année, il faisait son retour à l'Orangerie, devant un auditoire comble. Huit mois à peine se sont écoulés et le songwriter revient déjà à Bruxelles. Mais pour la circonstance, au Cirque Royal. Et si la salle n’est pas comble, elle est bien garnie, preuve que le succès de l’Irlandais est en pleine phase ascendante. Un succès entièrement mérité, lorsque l'on écoute son deuxième album intitulé "Post Tropical", sorti il y a peu.

Pour assurer sa première partie, le natif de Dublin a fait appel à l’un de ses compatriotes, Rhob Cunningham, un artiste qui a déjà assuré, dans le passé, le supporting act de Lisa Hannigan et d’Alela Diane. Son folk est assez classique et plutôt sympathique. Idéal avant d’accueillir le maître de cérémonie. (Pour les photos, c'est ici)

James Vincent McMorrow monte sur l’estrade 20h45. Il est accompagné de trois musiciens : une bassiste (qui double aux claviers et aux guitares), un drummer et un claviériste (également préposé à la flûte traversière). Le podium est parsemé de petits cônes lumineux qui évoquent symboliquement la forêt. Arborant comme à son habitude une barbe, vêtu d’une chemise au col ouvert pour accentuer son allure plutôt décontractée, il se plante derrière ses claviers et entame le concert. Quand il n’en joue pas, il se consacre à la gratte, qu’il change de temps en temps. Dès les premières notes, on se rend compte que cet individu transpire la classe. Le son est parfait et lorsque les premières paroles sortent de sa bouche (ou gorge), on ne peut que succomber sous le charme. Plusieurs démonstrations vocales seront d’ailleurs chaleureusement applaudies par le public. Le décor et l’éclairage permettent aux titres de son dernier elpee de prendre une dimension davantage lyrique (« Red Dust », « Post Tropical », ...) McMorrow s’autorise l’un ou l’autre exercice de style en solitaire. Et à la perfection (« And if my heart should somehow stop »). Au bout d’une heure et demie, il termine le spectacle par une nouvelle démonstration vocale, sans avoir avant oublié de présenter ses musicos.

Après avoir publié deux albums, James Vincent McMorrow nous a démontré qu'il est déjà devenu une valeur sûre de électro/folk indie. Et au vu de la performance accordée ce soir elle ne peut que monter en flèche... (Et pour les autres photos, c'est )

(Organisation Botanique)

 

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