Life Of An Owl In Alaska est un trio guitare/basse/batterie qui trouve son équilibre dans l'émotion, la mélancolie et cette saine colère à laquelle nous avons tous droit. Il pratique du post-rock et fréquente principalement le milieu underground. A son actif, un Ep paru le 19 avril dernier, chez God Hates God Records. Il s’intitule "My first Kill" et ses trois titres adoptent des noms de ville : « Paris », « San Marino » et « Kiev ».
Les mélodies sont principalement produites par la guitare électrique.
Elles reposent sur des suites d'arpèges dont les notes, tantôt caressées, tantôt attaquées vigoureusement s'entrechoquent et s'harmonisent sur des nappes d'échos habillement poussées aux extrêmes.
D'un point de vue rythmique, basse et batterie s'accordent parfaitement et se greffent subtilement aux compositions de leur acolyte.
Mention spéciale au batteur.
Il ne joue pas les morceaux, il les vit, les transpire et leur permet de prendre une troisième dimension.
Visuellement, il s'agit là d'un atout non négligeable quand on se partage les planches à trois.
Une diffusion vidéo pour les ‘live’ serait la bienvenue. Sans doute les musicos y pensent-t-ils.
Et puis, ce nom de groupe : Life Of An Owl In Alaska (La vie d'un hibou en Alaska)
Rien que ça les amis !
Mais tout est dit ! Enfin presque.
En quelques mois d'existence, le combo a déjà accordé quelques concerts.
Le premier s’est déroulé à Lille le 9 avril 2015. Et les suivants, à Sedan, Mons, Dour et Honnelles.
Il se produira ce 16 mai du côté de Jumet, à l'Open Fest.
Une aventure outre-Manche est programmée, mais on n’en sait pas plus.
Polar Polar Polar Polar était programmé dans la foulée. Il a également fait un tabac, mais dans un style différent. Quoique toujours post rock. C’est-à-dire, sans chanteur…
Un samedi 9 mai, j'ai entendu de la musique, j'ai poussé la porte et je suis entré...
(Concert privé)