Lylac rencontre les esprits de la nature…

Telle une allégorie d’un paradis perdu, le nouveau single de Lylac, “The spirits of the wild”, évoque son fantasme ‘Eastwoodien’ des grands espaces sauvages et inexplorés. Fleuretant avec l’idée de la recherche du mythe ultime cher aux artistes californiens…

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Le venin de Judith Hill...

Chanteuse, compositrice et multi-instrumentiste, Juidith Hill, sortira son nouvel opus, « Letters From A Black Widow » le 12 avril 2024. Un album taillé en 12 pièces qui présente une histoire fascinante oscillant de la douleur privée à la transcendance…

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Zara Larsson 25-02-2024
Gaëtan Dewilde

Gaëtan Dewilde

Blue October (re)débarque un nouvel album à la main : « Any Man in America ». Le groupe est constitué de quatre membres : Justin Furstenfeld (au chant et à la guitare), Ryan Delahoussaye (violon, mandoline et piano), Matt Noveskey (basse) et Jeremy Furstenfeld (batterie). L’album sortira à la fin du mois d’août.

Track-list :

1. Everything (AM Limbo) 

2. The Feel Again (Stay) 

3. The Money Tree 

4. For The Love   Part

5. Drama Everything 

6. The Chills 

7. The Flight (LNK to MSP)

8. Any Man In America

9. You Waited Too Long

10. The Honesty

11. The Getting Over It Part

12. The Worry List

13. The Follow Through

 

mercredi, 27 juillet 2011 18:23

The eyes of the fly

« The eyes of the fly » est une grande boîte à n’importe quoi! On se demande dans quel état était Jookabox lors de l’enregistrement de cet album. Tout est décalé, complètement déjanté. Les mélodies entrent dans nos têtes comme dans du beurre. Mais elles deviennent rapidement aussi pénibles que les battements d’ailes d’un insecte quand celui-ci vient bourdonner juste au bord de vos oreilles. Une seule envie vous envahit alors : réussir à le faire taire. Le groupe américain a oublié qu’il ne suffisait pas de composer du dément pour se démarquer. Parce que lorsqu’on abuse de l’extravagance, le résultat obtenu ne ressemble plus à grand-chose. L’ensemble devient un sac fourre-tout très confus. Ce désordre provoque un amalgame dans lequel tout se ressemble. Pourtant, « The eyes of the fly » va sans doute séduire pas mal d’adeptes. Ce chaos musical n’est en effet pas pour déplaire à tout le monde. Et dans ce cas-là, le titre éponyme de l’album va procurer un plaisir intense aux amateurs du genre. Il est sans aucun doute possible le morceau le plus puissant de ces dix pistes. Mais l’aboutissement du travail de Jookabox est-il vraiment unique ? Sont-ils réellement les seuls à pouvoir offrir ce genre de musique ? Ces questions méritent d’être posées, même si chacun y apportera sa réponse propre.

 

mercredi, 27 juillet 2011 18:16

Last Night On Earth

Il ne faut pas toujours chercher bien loin pour se choisir un patronyme. Prenez le titre d’un film (‘The Squid and the Whale’) et combinez-le au nom de son réalisateur (Noah Baumbach). Vous obtiendrez ainsi une dénomination facile à retenir : Noah and The Whale. La bande est composée de cinq membres : Charlie et Doug Fink, Tom Hobden, Fred Abbott et Matt Urby.

« Last Night On Earth » constitue leur troisième opus. Et pour une dernière nuit sur la Terre, les mélodies sont plutôt joyeuses et entraînantes. Cet album laisse d’ailleurs perplexe à plus d’un titre car, après cinq écoutes complètes, il est quasiment impossible de se prononcer : y a-t-il juste ce qu’il faut ou est-ce un peu trop léger ? En effet, quand on met autant de force dans un titre étalé sur une pochette de Cd, il faut être capable d’assumer derrière ! Car on s’attend d’office à quelque chose de grand et de mémorable. Mais on en n’est pas là sur ces dix pistes. L’ensemble des chansons est fort sympathique… Or quand on utilise ce terme, c’est qu’on cherche encore l’étincelle susceptible de mettre le feu à ce monde, pour qu’il vive réellement sa dernière nuit. Cependant, « LIFEGOESON » nous donne très vite envie de fredonner son air à tout va. Et même s’il s’agit de notre « Last Night On Earth », ne voyons pas tout en noir, car Noah and the Whale nous offre tout de même un pur bijou incarné par « Old Joy ». Si toutes les plages avaient été d’une telle qualité, on aurait peut-être pu même souhaiter que notre dernière nuit sur Terre arrive plus vite que prévu.

 

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