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Zara Larsson 25-02-2024
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Adrien Mouchet

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vendredi, 17 juillet 2015 01:00

Dour Festival 2015 : vendredi 17 juillet

C’est déjà la deuxième journée complète à Dour. Le temps passe assez vite et il faut avouer qu’après avoir passé une très bonne journée ce jeudi, on s’attend bien évidemment à une meilleure encore, le lendemain. Mais plus chaude également. D’ailleurs la température va frôler les 35 degrés. Pas de panique cependant, car il y a de quoi se rafraîchir sur le site. Et puis les festivaliers vont avoir l’honneur de rencontrer Damon Albarn aujourd’hui. En route !

C’est devenu une habitude, ma journée débute par le show d’un groupe belge. Et à nouveau sous le chapiteau de ‘La petite maison dans la prairie’. Fùgù Mango n’est pas venu sur la plaine de la Machine à Feu seul. C’est accompagné des Binti, un collectif réunissant six sœurs, chargées des backing vocals, que le quatuor monte sur l’estrade. Ce qui fait évidemment beaucoup de monde sur ce podium étroit ; mais la configuration a été bien pensée. La chorale se mêle aux percussions exotiques, ce qui se solde par un cocktail bien original. Les premiers déhanchements de la journée pour les festivaliers !

Une certitude, le mercure a encore grimpé de quelques degrés, par rapport à la veille. Dès lors, sous les chapiteaux, c’est intenable. Bref, je reste planté au même endroit pour le concert de Klub des Loosers. Resté seul depuis le départ de Dj Detect en 2013, Fuzati demeure malgré tout une figure incontournable du rap français. Chargés de mal être et d’ironie, ses textes ne laissent personne indifférent. Il est épaulé par un backing group en ‘live’. De quoi me ravir ! Suivant un rituel immuable, le rappeur porte un masque blanc qui ne recouvre que la première partie de son visage et sur lequel il pose ses lunettes. Un look particulier mais qui fait totalement partie du personnage. Tout comme sa démarche d’ailleurs qui n’est pas naturelle pour un sou. Bref, il intrigue. Musicalement, le concours d’un groupe permet une fusion savante entre style rock et chant rap. C’est diablement efficace et pour un amateur de rock comme votre serviteur, l’approche de la musique dite ‘urbaine’ est plus aisée. Je prends donc une bonne baffe complètement inattendue. Fuzati m’a en tout cas particulièrement impressionné. Un personnage charismatique et mystérieux. A revoir, c’est une certitude !

Votre serviteur se retrouve en suite face à un dilemme comme Dour et ses huit scènes peuvent en poser. Entre Deerhoof et Zola Jesus, mon cœur balance. Finalement, j’opte pour le band californien… avant de faire demi-tour assez rapidement. L’univers sonore de Deerhoof est trop paisible par rapport à mon humeur du moment. Zola Jesus, c’est autre chose… De son véritable nom Nika Roza Danilova, cette artiste propose une musique gothique, baroque, mais teintée d’électro. Une expression sonore qui colle parfaitement à sa voix, capable de monter très haut dans les aigus. Et le résultat est épatant. Ce bon moment m’a aussi permis de profiter tranquillement d’une petite pause, assis dans le coin de la ‘Jupiler Dance Hall’. Les jambes fatiguent et il faut encore tenir plus de deux jours !

On en arrive enfin à un des moments les plus attendus du festival. Tony Allen nous fait sa review sur la Main Stage en invitant des amis notoires : Damon Albarn et Oxmo Pucino. Pour ma part, l’envie de voir l’homme fort de Blur et de Gorillaz est grande. Il ne s’attarde que pour deux titres, qu’il assure au piano et au chant. Mais quelle classe ! Jet privé pour arriver du Portugal où il tourne en compagnie de Blur, pour fêter à Dour les 75 ans de son ami batteur : chapeau ! En outre, il nous a concédé quelques mots en français. Perso, j’en avais des étoiles plein les yeux. Et heureusement que le Damon s’est déplacé, car le reste du set s’est révélé ennuyeux, ne s’autorisant aucune envolée. Une déception, finalement.

Direction ‘Le labo’ pour assister à la fin du show de Roscoe. Si cette petite scène est vraiment sympathique, elle ne bénéficie d’aucune aération. Et c’est un problème. J’y suis resté très peu de temps. Une véritable fournaise ! Et le genre bien dark du band liégeois n’est pas parvenu à réduire la température. C’est sans doute la raison pour laquelle ce set m’a bien moins plu que celui accordé aux Ardentes, la semaine dernière. Question physiologique : le confort et la chaleur peuvent-ils influer sur la perception de la musique ? La réponse est sans doute affirmative…

The Wombats est une forme de symbole pour votre serviteur. En fait, il a découvert cette formation en 2007, c’est-à-dire lorsque son goût pour le pop/rock a commencé à se développer. Bien sûr, leurs deuxième et troisième long playings font un peu pâle figure. Mais « A Guide to Love, Loss and Desperation » est une petite pépite de rock anglais. Gros coup de nostalgie donc. Sous un soleil couchant, le groupe entame son set par un titre du dernier opus, avant d’enchaîner par le puissant « Jump Into The Fog », un des rares morceaux à épingler sur le deuxième elpee. La foule jumpe. La faire réagir au quart de tour est un véritable art cultivé par le band. Tous les titres ou presque s’achèvent par un refrain contagieux que finit par reprendre en chœur l’auditoire. Pour communier avec les fans, rien de tel ! Après un peu plus d’une heure –en n’oubliant pas d’inclure quelques plus anciennes compos– le trio de Liverpool accorde son titre phare : « Let's Dance To Joy Division », avant de se retirer. Quelle ironie ! Ravi d’avoir pu voir une formation qui a marqué mon adolescence, il est difficile d’être totalement objectif. Mais en observant les visages des spectateurs, j’imagine que le concert était quand même d’excellente facture…

Place ensuite à Glass Animals. Issu d’Oxford, ce jeune quatuor pratique une forme de psyché/pop. Un peu dans l’esprit d’Unknown Mortal Orchestra, programmé la veille. Sauf que c’est moins bien. Les mélodies ne sont pas aussi travaillées et la coloration R&B injectée dans l’expression sonore, n’est guère convaincante. Son LP s’est cependant très bien vendu en Wallonie. Ce qui explique sans doute ce capital sympathie dont il jouit lors du show. 

Une grosse pointure va clôturer la programmation sur la Main Stage, ce soir : C2C. Le groupe de breakbeat est supposé mettre l’ambiance –et elle particulière– au sein d’un auditoire conquis d’avance. Les Nantais vont donc livrer une prestation bien maîtrisée en toute décontraction. A leur image finalement. Un concert fort sympathique qui clôt ma journée.

Car malheureusement, impossible d’approcher la ‘Red Bull Elektropedia’ pour assister au set de Nina Kravitz. Il doit y avoir 10 000 âmes autour d’une scène majestueuse, composée de plusieurs tours, garnies d’écrans et de haut-parleurs. Côté son, ça envoie. Mais vu les conditions, je préfère renoncer… Tant pis et rendez-vous demain !

(Organisation Dour festival)

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jeudi, 16 juillet 2015 01:00

Dour Festival 2015 : jeudi 16 juillet

Après une première soirée assez terne, les choses sérieuses peuvent commencer. Ce jeudi constitue un premier jour complet et bien rempli. Le programme est en outre très varié ; ce qui devrait satisfaire un max de monde. Perso, c’est une bonne occasion d’enfin découvrir la plaine de la Machine à Feu !

C’est à 14h sous ‘La petite maison dans la prairie’ que mon parcours de la journée commence. Comme souvent, un groupe belge ouvre le bal. Recorders propose un pop/rock atmosphérique teinté d’électro à un public trop peu nombreux lors de l’entame. Non seulement les Bruxellois sont venus défendre leur dernier elpee, mais ils nous réservent quelques nouveaux titres. Plus d’un an après la sortie d’« Above The Tide », les cinq jeunes artistes n’ont guère chômé. Ces nouvelles compositions sont très réussies et augurent le meilleur pour le futur. C’est sur le très puissant « Beach » que le set s’achève, après 40 minutes. Le chanteur grimpe sur un pylône afin de saluer une dernière fois l’audience, un peu plus consistance qu’en début de show. Pas étonnant en tout cas que certains membres de la troupe pointent les Anglais de Breton parmi leurs références majeures. Leur expression sonore est proche et aussi addictive. Une bonne manière de lancer son festival !

Direction la ‘Jupiler Dance Hall’, grande scène à tendance électro située à quelques pas de la main Stage. Le groupe qui s’y produit milite pourtant dans un tout autre registre. Ce sont les rockeurs maliens de Songhoy Blues qui sont venu présenter leur premier LP, « Music In Exile ». Guère notoire, ce groupe respire la joie de vivre ! Son style, fortement inspiré par la tradition africaine, ne peut que vous rendre de bonne humeur. Hymnes allègres et danses folles sont au programme. Aliou Toure, le chanteur, a le rythme dans la peau et pas qu’un peu ! Quel plaisir de le voir se déhancher devant nos yeux ébahis. Tout le monde se prendra d’ailleurs au jeu et va se remuer sous les directives de Toure. Et c’est sous un tonnerre d’applaudissements que Songhoy Blues quitte les planches. La première révélation de Dour 2015 !

Avant le concert très attendu d’Unknown Mortal Orchestra, je me pose quelques instants devant Tokyo Ska Paradise Orchestra. Référence en terme de ska, le collectif ne parvient pas vraiment à faire oublier la fournaise causée par un soleil flamboyant qui brûle au-dessus de la Main Stage.

Retour donc dans ‘La petite maison dans la praire’ où se produit Unknown Mortal Orchestra, ensemble réunissant des Américains et des Néo-Zélandais. En partant du rock indépendant, le quatuor consomme de la pop, du garage et même parfois du R&B. Un cocktail judicieux qui alimente un set très varié sans aucun temps mort. Le combo termine sa set list par une des meilleures chansons cuvée 2015 : « Multi-Love ». Sorte de synthèse de tout ce qu’il fait de mieux, elle clôture à merveille une très bonne prestation.

La ‘Cannibal Stage’ a, en principe, le but de concentrer les artistes qui font le plus de bruit sur la plaine de La Machine à Feu. Premier crochet pour y admirer A Place to Bury Strangers. Les New-yorkais ont pris la bonne habitude de façonner un son à mi-chemin entre le post/rock et le post/punk, en plaçant une guitare puissante bien en avant. Pour ce concert, le trio a mis les petits plats dans les grands. Même si le chapiteau n’est pas aussi rempli qu’espéré, APTBS va mettre le feu pendant 50 minutes. Malgré une attitude classique, Oliver Ackermann, le chanteur et guitariste, et Dion Lunadon, le bassiste, se lâchent complètement durant le show. Et ils se déchaînent sur absolument tout. A commencer par leurs pauvres instruments. Guitare et basse explosent sur le sol à de nombreuses reprises. Lunadon s’amuse même à lancer son engin à quatre mètres de haut. Sans provoquer de gros dégâts d’ailleurs. A croire que leurs instrus sont en caoutchouc ! La fin de parcours est complètement épique. Les deux compères se jettent dans la foule et jouent leurs deux dernières chansons au beau milieu d’un auditoire totalement ébahi. Plus personne ne regarde le podium et on comprend pourquoi : le batteur l’a tout simplement quitté ! Et on ne le reverra plus. C’est donc sur ce moment complètement dingue que se clôture le spectacle. Après quelques poignées de mains accordées à leurs fans, les deux hommes rentrent incognito ou presque en coulisses, avec le sentiment du devoir accompli. Quelle claque !

Je décide de rester dans les parages, en attendant la suite, mais également afin de pouvoir m’alimenter. Yelle joue au même moment, mais impossible de tout voir. Les échos recueillis sont plus positifs qu’imaginés. Apparemment il y a moyen de bien rigoler en compagnie de la Bretonne, mais il faut absolument tout prendre au second degré. Et on comprend pourquoi, vu la richesse de ses textes…

C’est l’heure du metal sur la ‘Cannibal Stage’. Kvelertak nous vient de Norvège. Son style ? Typiquement scandinave mais aussi très puissant. Erlend Hjelvik, le chanteur, affiche un look de Viking. Il arbore une longue chevelure, se distingue par une certaine largeur d’épaules et a décidé de passer une bonne partie du concert torse nu. Autant dire que ça décoiffe, c’est le cas de le dire ! Si je suis peu amateur du genre, le public semble y trouver son compte et remue sec à hauteur des premières rangées. Il ne faudra d’ailleurs pas très longtemps avant de voir éclater les premiers pogos. Et ceux-ci vont durer jusqu’à la fin d’un concert mené tambour battant par la formation.

Après un bref détour par le set de Squarepusher –peu convainquant, par ailleurs– je décide de mettre un terme à cette journée. La chaleur est devenue presque insoutenable et la fatigue commence à gagner. Il faut quand même encore tenir trois jours. A demain !

(Organisation : Dour festival)

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mercredi, 15 juillet 2015 01:00

Dour Festival 2015 : mercredi 15 juillet

Le premier contact avec Dour est un peu plus rapide cette année. En l’honneur de ‘Mons 2015’, une soirée a été ajoutée au programme du festival. Encore fallait-il que celle-ci ait une réelle plus-value par rapport aux autres jours. Coupons court au suspense de suite, ce ne sera pas le cas.

Si Gallowstreet ouvre gentiment la Main Stage, seule scène ouverte du soir, c’est grâce à La Smala que les choses sérieuses vont commencer. Si j’avoue être peu fan du rap proposé par le collectif, il faut admettre qu’il sera le seul à réellement mettre l’ambiance sur le site. Connaisseur, le public semble apprécier l’amuse-gueule. Il y a même une solide agitation dans la foule.

C’est principalement Jungle, le groupe suivant, qui avait suscité ma curiosité à la vue du programme. Quelle ne sera pas ma déception ! Au-delà des compositions hip-hop assez décevantes, c’est surtout l’équilibre sonore qui est mis à mal… Le son est trop faible et n’atteint pas le dixième rang. Dans ces conditions, difficile de bien profiter du set soi-disant élégant du band. Un coup dans l’eau pour les Anglais !

SBTRKT monte ensuite sur les planches. Le groupe électro est plutôt notoire chez les fans du genre, mais ne dispensera finalement qu’une prestation minimale. Aucune folie à signaler et pour finir on peut le dire : on s’ennuie ferme. Trop linéaire et même plat… 

Le DJ set final est anecdotique. Alors certes, l’idée d’un jour supplémentaire à Dour est intéressante. Mais dans les faits, ce n’est pas une réussite. Et même si l’apéritif s’est avéré peu succulent, ce mercredi était quand même une bonne occasion de fouler pour la première fois le site qui va voir défiler des centaines de milliers de festivaliers, les quatre jours suivants…

(Organisation Dour Music Festival et Mons 2015)

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mercredi, 15 juillet 2015 19:54

Nouveau clip pour AaRON

Issus de l’album « We Cut The Night » qui sortira le 18 septembre prochain, « Onassis » est le nouveau single d’AaRON. La vidéo est disponible depuis peu. Vous pouvez la visionner ici.
 
Les Français seront de la partie au Brussels Summer Festival le 23/08 afin de faire découvrir leurs nouvelles compositions au public belge.
mardi, 14 juillet 2015 20:18

BRNS enchaine les clips

BRNS a dévoilé le clip de « Any House », nouvel extrait de l’album « Platine ». Les Bruxellois continuent ainsi de mettre en valeur leur premier elpee, sorti en 2014.

La vidéo est à découvrir ici.

Par ailleurs, le groupe sera en concert dans de nombreux festivals et notamment à Dour ce samedi 18 juillet.

dimanche, 05 juillet 2015 17:13

The Prodigy, amis de la nuit

Quelques mois après l’album « The Day is My Enemy », The Prodigy sortiront un elpee le 31 juillet. Intitulé « The Night Is My Friend », une suite logique, il contiendra de nombreux remix.

Tracklisting :

1.    Get Your Fight On (Re Eq)
2.    AWOL (Strike One)
3.    Rhythm Bomb feat. Flux Pavilion (Edit)
4.    Rebel Radio (René LaVice's Start A Fucking Riot Remix)     
5.    The Day Is My Enemy (Caspa Remix)

Absent des studios depuis 2012, Richard  Hawley sortira un nouvel album le 15 septembre prochain. Intitulé  « Hollow Meadows », il verra le songwritter retourner à ses compositions classiques. Celles-ci seront toujours aussi sophistiquées et agrémentées d’arrangements subtils. L’album sera disponible en téléchargement, en CD et en double vinyl.

Tracklisting:

1. I Still Want You 

2. The World Looks Down 

3. Which Way 

4. Serenade Of Blue

5. Long Time Down

6. Nothing Like A Friend

7. Sometimes I Feel

8. Tuesday PM

9. Welcome The Sun

10. Heart Of Oak

11. What Love Means 

 

 

mercredi, 24 juin 2015 18:39

Faith No More à la rescousse de Werchter

Suite à l’annulation contrainte des Foo Fighters après la blessure de Dave Grolh, les organisateurs du RockWerchter Festival ont annoncé que Faith No More prendrait la relève ce 25 juin. Les moyens disposés sont impressionnants, un Boeing a même été affrété afin de permettre au groupe américain de se rendre en temps et en heure en Suède le lendemain. Royal Blood jouera également un deuxième set ce jeudi, en plus de celui déjà prévu le samedi 27 juin.

A noter que le festival avait été avancé d’une semaine afin de permettre aux Foo Fighters de se rendre dans la plaine louvaniste. Drôle de coup du destin donc...

mercredi, 24 juin 2015 18:33

New Order de retour dix ans après

New Order annonce la sortie de son nouvel album, Music Complete, disponible le 25 septembre 2015.

Il s’agira du premier album studio du groupe depuis Waiting For The Siren’s Call, sorti en 2005.

Un avant-goût de 34 secondes est disponible ici.

samedi, 20 juin 2015 17:37

Retour en force de Foals

Un des meilleurs groupes anglais sera de retour le 28 août prochain. Foals a en effet dévoilé cette semaine le premier single de son quatrième opus. Ce nouveau morceau porte également le nom de l’album : « What Went Down ». Un titre puissant aux sonorités primaires dans la digne lignée de certains morceaux comme « Inhaler » ou « Providence ».

Tracklist :

1. What Went Down
2. Mountain At My Gates
3. Birch Tree
4. Give It All
5. Albatross
6. Snake Oil
7. Night Swimmers
8. London Thunder
9. Lonely Hunter
10. A Knife In The Ocean

Le premier vidéo clip est disponible ici .

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