RIVE sous tension…

Entre la nuit et le jour, RIVE propose "Tension", un 4ème extrait de son album "Collision", sous forme de clip. La photographe et réalisatrice Laetitia Bica (prix du ‘Changemaker de l’année 2023’ au Belgian fashion awards) emmène le duo dans la nuit des…

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Meril Wubslin fait ça… et dans la langue de Molière…

Fondée en 2010 par Christian Garcia-Gaucher (BE/CH) et Valérie Niederoest (CH), Meril Wubslin est une formation belgo-suisse dont la musique est décrite comme lo-fi-folk-sci-fi-psyché-transe. Duo à l’origine, elle est passée à un trio en 2015, à la suite de…

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Shaka Ponk - 14/03/2024
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Stéphane Reignier

Stéphane Reignier

lundi, 14 septembre 2020 16:40

Silly Boy Blue, à nouveau elle !

Empruntant son patronyme à une chanson de David Bowie, l'ex-chanteuse du groupe Pégase, Ana Benabdelkarim, partage avec lui un goût prononcé pour le risque et une envie viscérale de bousculer les conventions et les codes.

Mêlant voix envoûtante et rythmiques aériennes à sa plume intime et charnelle "Hi, It's Me Again" est une invitation à plonger dans un univers pop, teinté de romantisme noir. Celui de Silly Boy Blue.

« Hi, it’s me again » est à découvrir ici 

Chanteuse, harpiste, compositrice, productrice et autrice, Laura Perrudin publiera son troisième album, « Perspective & Avatars », le 9 octobre prochain.

Ce disque, aussi original que conceptuel, recèle douze chansons qui bénéficient de collaborations prestigieuses : Philippe Katerine, Mélissa Laveaux, Becca Stevens, Emel Mathlouthi, Ian Chang (Son Lux, Moses Sumney)… Il s’appuie sur un concept d'écriture où chaque chanson est un personnage, un avatar.

Avec son nouvel album, Laura Perrudin creuse le sillon d’une pop, de plus en plus soul, électrique et dansante. Sa poésie franche et sans détour dessine un jeu de rôles, de points de vue et de masques.

Caméra subjective au poing, Laura Perrudin raconte les considérations existentielles et les obsessions d'un loup, d'un nuage, d'une chanson, d'une enquête de satisfaction ou encore d'une sorcière s'apprêtant à être brulée vive.

Pour tourner le clip de « The W Word », la chanteuse Becca Stevens a été invitée. Un titre qui évoque les hérésies et les violences faites aux femmes.

Pour découvrir cette vidéo, c’est là 

lundi, 14 septembre 2020 16:38

Zéro(s) pointé(s) pour Declan McKenna

Declan McKenna s’est d’abord fait connaitre en 2015, à l’âge de 16 ans, auprès d’un public informé et curieux, en proposant des chansons pop engagées (« Brazil », « Paracetamol », « Isombard ») se démarquant délibérément du répertoire langoureux ou mièvre de certains jeunes auteurs-compositeurs.

Declan a en effet choisi de traiter une myriade de sujets pour le moins brûlants qui suscitent la consternation des gens de sa génération, en leur donnant littéralement un puissant coup de fouet. Il s’inscrit ainsi dans la lignée de cette minorité de jeunes artistes brillants et avertis qui constate les dégâts et les effets destructeurs pour sa génération de la politique menée par les responsables actuels.

L’album "Zeros" est paru ce 4 septembre 2020.

« Daniel, You're Still a Child », extrait de cet opus est disponible ici

lundi, 14 septembre 2020 16:37

Ça ne saurait tarder pour Noé Preszow !

Il y quelques mois, Noé Preszow publiait « À nous », comme une carte de visite. À nous qui, comme lui, avons du mal à trouver notre place, à nous positionner, Noé Preszow (prononcer Prèchof), envisage un monde où solitude et solidarité cohabitent, se complètent, et ou le ‘nous’ prend la place du ‘je’. Il était temps.

Plusieurs millions de streams, des passages radio nombreux et toujours en croissance, des invitations sur les plateaux des médias belges et français. Une place qui se dessine pour cet artiste qui détonne.

En ce début septembre, Noé Preszow a dévoilé son premier Ep, « Ça ne saurait tarder ». Il y est question d’amitié, qu’il s’agisse de l’impossibilité d’une fête (« Que tout s’danse ») ou que le dialogue soit rompu (« Je te parle encore »). Quatre titres urgents et intenses, aussi impudiques que généreux.

Quatre titres et déjà un appel d’air. Il y a longtemps que l’on n’avait entendu de tels mots dans un hymne pop.

Le clip de « A nous » est disponible

lundi, 14 septembre 2020 16:35

Balance ta babouche sur ta petite terre…

Sa casquette vissée sur la tête, sa gouaille et ses bons mots, ses slogans comme autant de refrains, les mélodies chantantes qu’il partage avec ses ami.es saltimbanques, HK ne se lasse pas de cette étiquette qui lui colle à la peau, celle d’un poète social qui aime s’afficher aux côtés des gens qui luttent, pour eux-mêmes, pour les autres, ou pour une certaine vision du monde : solidaire, juste et fraternelle. Tel est son monde, tel est son univers, là où il se sent bien, là où il pense que sa musique est à la fois comprise et utile.

Son nouvel opus, « Petite Terre », sortira le 18 septembre. Ce sera déjà son septième. HK et ses saltimbanques nous proposent d’embarquer au sein de leur camionnette nomade, remplie d’instruments venus des quatre coins du monde, de sacs d’utopies en vrac, de poudre étoiles, d’histoires de révoltes et d’espoir et... de sourires qui chantent.

Un album world à la française aux accents chtis, occitans, créoles, bretons ou encore berbères ; dans lequel on retrouve toujours le même amour des mots qui s’envolent, des mélodies nomades et des rythmes dansants. Un voyage musical qui commence au cœur de nos terroirs pour nous inviter aussitôt à nous ouvrir sur le monde et à le parcourir en chansons. Un album nous parlant de Nous aujourd’hui, et de ces lendemains joyeusement solidaires auxquels on rêve encore, obstinément.

Un elpee qu’ils seront heureux de faire vivre sur scène, dès l’automne 2020 si les conditions sanitaires le permettent. Car la scène, comme aime souvent à le répéter HK, ‘C’est l’endroit où l’on se sent vivants, cet instant partagé sans filets ni faux-semblants duquel on ne peut pas se défiler, ce moment de vérité que l’on attend chaque soir avec un mélange de fébrilité, d’angoisse, d’envie, d’impatience et d’excitation’.

Il suffit d’avoir partagé un jour un de leur concert pour savoir à quel point leur musique est entraînante. La scène est leur jardin sans l’ombre d’un doute : ils s’y amusent, ils nous entraînent, ils nous embarquent, nous interpellent, nous font danser, rire et pleurer... Des rêves et des révoltes en partages, des sourires et des yeux qui brillent, un peu tout cela à la fois, du premier mot à la dernière note.

‘La Terre est si petite et nos rêves si grands... il y a mille et une façons de s’y croiser avec ou sans hasard : un mot, un murmure, une mélodie chantonnée au petit matin, un slogan scandé un jour de manif, un air de grand soir qui donne envie de danser à la belle étoile, mais tout autant, c’est drôle, un clip sur la toile, un poème d’Aragon ou de Prévert mis en musique, un CD qui traine dans la voiture ou le camion, un concert où on se sent vivants, ensemble, enfin ! une jam dans un petit bar au fin fond d’une contrée que l’on croyait perdue... On s’y retrouve ! A très bientôt !’

Le clip de « Balance ta babouche » est disponible ici

lundi, 14 septembre 2020 16:34

L’endroit rêvé de Barnill Brothers…

Barnill Brothers est un duo responsable d’une musique folk. Il appartient d’ailleurs à un nouveau mouvement qui implique également et notamment Winter Woods, Eli Goffa ou encore Coline Hill.

Après avoir accordé plusieurs concerts cet été (malgré tout), dont un sold out, le duo bruxellois vient de graver un nouveau single.

Tout au long de « Reverie », les harmonies vocales de Barnill Brothers sont vêtues d’une légère robe d’été. Ce titre enjoué, extrait de son nouvel album, « A Better Place », donne spontanément envie de se relaxer, de claquer des doigts et de s’échapper un instant en amoureux.

Ce titre est à découvrir ici 

lundi, 14 septembre 2020 16:33

Farees, un artiste engagé …

En avant-première, et pour annoncer un album détonant et engagé, Farees, le néo-bluesman algéro-italien nous dévoile le premier single de son album « Border Patrol », « Sand Ni##er ».

Cette compo dénonce résolument le racisme, l’injustice, le profilage ethnique et les préjugés fondés sur l’apparence physique, à travers le monde.

Accompagné d'un clip qui ne peut être plus parlant, ce single rappelle qu’il a été lui-même victime, à maintes reprises, de racisme. Un sujet donc précurseur de l'actualité médiatique. Farees a enregistré cette chanson en novembre 2018 et le clip a été réalisé en décembre 2019, 6 mois donc avant la montée du mouvement Black Lives Matter.

Dans ce clip animé les trois personnages représentent chacun une minorité. Tous sont de bonnes personnes et leur relation avec la petite fille est une relation d'amour et d'empathie. Subitement, tous doivent faire face à des violences injustifiées et sont finalement abattus.

Grâce à l'amour et à l'innocence de l'enfant – et avec un peu de magie – les trois personnages finissent par ressusciter et rassembler de plus en plus de monde lors de protestations massives. Les différentes minorités et bien au-delà, y compris les auteurs d’actes racistes et de bavures, communient tous ensemble pour former un énorme mouvement vers le changement.

Après avoir dénoncé explicitement le racisme et ses conséquences dramatiques, cette animation ouvre une lueur d'espoir à travers l'amour, les yeux et la magie de cette petite fille.

A découvrir ici:

lundi, 14 septembre 2020 16:31

Le travail de fourmi accompli par MacGray…

Le nouveau clip de MacGray « Ants World », créé et tourné en France par les réalisateurs Antonin Sgambato and Dorian Riviere, décrit l’univers des pensées d’un Homme, notre univers, un monde de synapses et de neurones, les fourmis intérieures qui nous nourrissent mais parfois nous troublent.

Une danseuse à moitié nue incarne nos réflexions, nos démons et notre légèreté. Ce travail sur le calme et l’angoisse constitue le thème de l’album « Journey to the Dawn » qui est sorti en janvier 2020.

MacGray est un projet influencé par le néo-classique (Nils Frahm), l'ambient (Aphex Twin, Brian Eno) et l'IDM (Max Cooper, Rone). 

Le show électro live a déjà été présenté au Botanique et au Fuse. Chacun de ses morceaux raconte une histoire. L'univers entremêle sons de synthé analogique et pianos feutrés dans une ambiance de musique de films et électronica. Les spectateurs sont plongés dans une imagerie fantaisiste entre mélodies douces, progressives et rythmes qui explosent. MacGray est projet lauréat de « Ça balance » 2020 et de « Kollectif Bunker ».

Assouvissez votre curiosité ici 

lundi, 14 septembre 2020 16:28

La mémoire des Vikings ...

Après le succès de son premier long playing, "Le Chant des Vikings" (plus de 80 000 albums vendus et 100 millions de streams), puis sa tournée triomphale en France et dans les plus grands festivals d’Europe (Hellfest, Wacken…), SKÁLD publiera son deuxième album, "Vikings Memories", le 9 octobre 2020.

Projet musical atypique influencé par les contes et les légendes nordiques, Skáld est aujourd’hui reconnu comme une référence dans son domaine et aspire à pousser plus loin encore l’expérience grâce à "Vikings Memories" un nouvel elpee qui ambitionne de bousculer les frontières de son propre univers. S’éloignant un peu de la terre et du feu, le groupe se dirige à présent vers l’élément liquide et répond à l’appel du large grâce à des compositions originales qui font appel à un imaginaire puissant et particulièrement évocateur.

Car dans ce second opus, Skáld raconte une fois de plus une histoire, celle des peuples septentrionaux et leur rapport à la nature et l’océan. Interprétés en vieux-norrois, l’ancienne langue des peuples du nord, les 11 titres réveillent des récits oubliés de continents perdus et à présent immergés par la fonte des glaces –comme le Doggerland qui reliait jadis la Grande-Bretagne à la Scandinavie– évoquent les mythes fondateurs du déluge et des apocalypses annoncées, mais voyagent aussi en compagnie des aventuriers et marins qui de tout temps ont sillonné les eaux les plus dangereuses de la planète. Ces peuples des mers emmenés par leurs rois héroïques, ont affronté des vagues géantes et des hivers sans fin et ont été témoins des batailles épiques que se livrent depuis la nuit des temps la lumière et l’obscurité, la chaleur et le froid, la vie et la mort... autant de conflits dantesques qui ont marqué les mémoires à jamais.

Et même s’ils sont recomposés, ces chants anciens résonnent forcément de manière insistante avec l’actualité de notre monde où les forces de la nature se rappellent implacablement à nous.

Au travers la musique de Skáld c’est en effet toute l’histoire de l’humanité et l’interaction avec son environnement qui rejaillit en une mélopée puissante et universelle, celle qui nous rappelle la nécessité d’écouter ce que le passé a à nous dire afin de construire un futur en harmonie.

Le clip de « Fimbulvetr » est à découvrir ici

lundi, 14 septembre 2020 16:27

La folie selon Jerry Joseph …

Jerry Joseph est un musicien californien particulièrement notoire aux States. Il figure d’ailleurs au ‘Music-Hall of Fame’ de l'Oregon. Très productif, il accorde environ 150 concerts par an à travers l'Amérique. Il se produit également dans des destinations moins plébiscitées par les artistes en général : Liban, Kurdistan irakien, Inde ou Afghanistan, parfois même en zones de guerre et dans des camps de réfugiés.

Outre ces ‘live’, Jerry Joseph a mis en place la Nomad Music Foundation, un organisme à but non lucratif qui distribue des instruments de musique aux adolescents vivants en zone de conflits. Il a d'ailleurs donné des leçons de guitare dans des camps en Irak et en Afghanistan, missions qui ont été relayées par Rolling Stone et Relix, entre autres.

Écrit entre Mexico, la Californie et l'Afrique du Sud, « The Beautiful Madness », a été produit par Patterson Hood et constitue la première véritable sortie européenne de Jerry Joseph. Cet LP représente pour l’artiste un manifeste sur ce qu'il se passe dans le monde. L'opus a été enregistré à Dial Back Sound, le studio de Matt Patton dans le Mississippi, aux côtés des Drive-By Truckers et Jason Isbell, qui enregistrait d'ailleurs pour la première fois avec les Truckers depuis son départ du groupe en 2007.

Le clip de « Full body echo » issu de cet album est disponible

 

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