RIVE sous tension…

Entre la nuit et le jour, RIVE propose "Tension", un 4ème extrait de son album "Collision", sous forme de clip. La photographe et réalisatrice Laetitia Bica (prix du ‘Changemaker de l’année 2023’ au Belgian fashion awards) emmène le duo dans la nuit des…

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vendredi, 03 septembre 2010 02:00

Ame de distraction massive

Ce vendredi, se déroulait dans le Sportpaleis d'Anvers, l'un des plus grands spectacles de prestidigitation de tout les temps. Hypnotisé, transcendé, emmené à la lisière des rêves et de la réalité par l'incroyable machine à remodeler le temps, les spectateurs présents en ont eu pour leur argent.

Si d'aucun s'étonnaient d'un deuxième passage en l'espace d'une année du désormais duo exponentiel de Bristol, beaucoup se réjouissaient du retour en nos contrées d'un des groupes les plus visionnaires et influents de l'histoire de la musique contemporaine. Votre serviteur en premier. C'est donc avec une grande excitation matinée d'impatience juvénile, que j’ai pris place dans les strapontins.

Le soin d'ouvrir le bal des songes était laissé à la gracieuse Martina Topley-Bird, qui comme membre émérite du cercle Massive Attack, répond régulièrement à l'invitation. Emmenées par les boucles dorées de sa loop station, motifs synthétiques joués du bout de ses doigts, ses chansons bien qu'un peu perdues dans le champ de cette grande salle accaparent l'auditoire à défaut de le subjuguer totalement. L'ancienne muse de Tricky se fendant d'une reprise élégante du « Karmacoma » de ses hôtes et d'un final électrique énergique. La suite s'est avérée de moins bonne facture. Remplaçant un DJ Shadow, qui, sans nul doute aurait enflammé les planches et fait vibrer les murs, le jeune K'Naan (celui dont l’hymne « Waving flag » nous a saoulé tout la durée du mondial de football) a délivré un set dont le vibe Jamaïcan old school roots teinté de variété world a laissé quelque peu sceptique. Mou du genou et franchement pas emballant, son flow Hip-Hop lorgnant du côté de la Pop a manqué singulièrement de saveur. Dommage. Mais la suite allait bien vite effacer cette légère déception.

Massive Attack est une bête de scène monstrueuse, de nos jours. Si le show de ce vendredi ne se différence pas tellement du concert d'octobre dernier, force est de constater son efficacité.

Musicalement d'abord. Par ce que son et le groove sont dantesques. Visuellement ensuite. A cause d’un lightshow magistral et d’un concept pour le moins épatant. Au fil des succès qui égrènent la carrière du groupe, messages alter mondialistes, anticonsuméristes et à caractère informatifs (dans nos deux langues nationales, s'il vous plaît) se mêlent dans une orgie stroboscopique. Pas de place à l'approximation. La machine est bien huilée.

Indomptables, rebelles dans l'âme, Grant Marshall et Robert Del Naja assènent quelques vérités bien senties, qui apparaissent en projection sur un mur d'écrans horizontaux placé à l'arrière plan. L'humour étant aussi présent au rendez-vous, sous la forme de quelques clins d'œil à notre mère patrie (encouragements à Justine Henin et actualités régionales, entre autres). Et de cette pluie de lumière et de décibels, ce qui se dégage, c'est la force même des chansons.

Décliné sous forme de Best of, le répertoire des Anglais n'a pas pris une ride. « Angel » porté par la voix du fidèle Horace Andy, « Unfinished Sympathy » emmené par une Deborah Miller sensuelle, « Risingson » sombre et venimeux ou « Teardrop » repris par Martina Topley-Bird, se conjuguent magistralement aux plus récents « Babel » ou encore à l'hypnotique « Atlas Air ». Dans un final somptueux, le classique « Karmacoma », clôt ce qu'il serait convenu d'appeler un grand spectacle. Standing ovation, chapeau bas. Massive Attack étaient précurseurs dès les années nonante, ils gardent une longueur d'avance en 2010.

(voir également notre section photos)

 

vendredi, 03 septembre 2010 02:00

Premier bal ‘Im’populaire

Cette année, Présence et Action Culturelles (PAC), un des plus grands mouvements d’éducation permanente de la Communauté française fête son quarantième anniversaire.

A cette occasion, PAC organise un Grand Bal ‘Im’populaire, (*) le 11 septembre de 18H à 23H sur la Place Sainte-Catherine

Ce grand bal en plein air et gratuit sera animé par la joyeuse équipe du « Bal des acteurs ».                                

Cette équipe née de la volonté de comédiens belges de premier plan, constitue un grand orchestre composé de 14 bêtes de scène : Philippe Allard, Edwige Bailly, Karim Barras, Claire Beugnies, Pierre Bodson, Didier Colfs, Jean-Henri Compère, Olivier Darimont, David Jans, David Macaluso, Michelangelo Marchese, David Quertigniez, Philippe Résimont et Nathalie Willame.

Leur répertoire comprend les tubes des différents genres musicaux, toutes générations confondues!

De la valse musette, du rock’n roll, de la soul, de la pop des sixties, du disco, du reggae, des hits des années ‘80, des slows, du zouk, de la variété française, et bien sûr des tubes actuels.

De Dutronc à James Brown, de Rita Mitsouko à Boney M, de Eddy Mitchell à Red Hot Chili Peppers, en passant par les Beatles, Village People, et la Compagnie Créole, pour quatre heures de danse non-stop !

Une super soirée à passer en famille ou entre amis.

Date : 11 septembre 2010

Lieu : Place Sainte-Catherine, en face de l’église.

Horaire :    Ouverture du site et des bars à 18H

Concert du Bal des Acteurs  de 19h00 à 23h00

PAF : Entrée gratuite.

Cette soirée est organisée par Présence et Action Culturelles, en partenariat avec la Charge du Rhinocéros, UBU et la Ville de Bruxelles.

(*) L’appellation Impopulaire fait allusion au titre d’un faux journal édité par PAC dans le cadre de la campagne « Merci l’impôt ».

http://www.facebook.com/ubuproduction

(Communiqué de presse)

 

jeudi, 13 mai 2010 14:06

K'S Choice dédicace…

K’S Choice se produira en concert exclusif ce vendredi 14 mai dans le nouveau FNAC Toison d'Or à Bruxelles.

Le concert commence à 12h30 et sera suivi par une session dédicace.  C’est un événement public, rendez-vous au Fnac à l’Avenue de la Toison d’Or 17A-20, 1050 Bruxelles.

Les détails sur le concert se trouvent sur le site web de Fnac: http://www.fnacagenda.be/fr/content/ks-choice-fnac-toison-dor

Si vous voulez savoir à quoi s’attendre, voici le reportage du concert de K’s Choice au Fnac d’Anvers du 27 mars:
http://link.brightcove.com/services/player/bcpid52525652001?bctid=82989268001

Sarah et Gert Bettens sont ravis de l’accueil qu’ils ont reçu du public Belge lors de leur retour à la scène: ‘Avec Echo Mountain on a fait notre meilleur album mais ça reste une surprise à découvrir les réactions des fans. Surtout que ça fait 10 ans depuis notre dernier album (« Almost Happy »).  Il y a quelques semaines la tournée mondiale a commencée par des concerts en France, l’Angleterre, l’Allemagne, l’Autriche, la Suisse, Les Pays-Bas, le Luxembourg, l’Afrique du Sud, les Etats-Unis et l’Israël. Mair revenir en Belgique ça reste très spécial donc vendredi 14 mai sera une journée agréable pour nous! On espère revoir les fans Belges à la Fnac.’

« Echo Mountain », le nouveau double CD de K’s Choice est disponible maintenant.  Sur itunes vous trouvez la bonustrack version avec une chanson en bonus: ‘Time Is A Liar’:

http://itunes.apple.com/be/album/come-live-the-life/id357616053?i=357616059&affId=1303609&ign-mpt=uo%3D6

(d’après communiqué de presse)

http://www.kschoice.com

 

jeudi, 06 mai 2010 02:00

Benjamin, LE Superbe !

‘Benjamin Biolay ne fait rien comme les autres et pas grand-chose pour qu’on l’aime’ ! J’avais lu cette phrase au sein d’un article, mais je ne me souviens plus de sa source. N’ayant que ma curiosité à opposer à ces paroles pas très ‘sympathiques’, je me demandais qui donc et surtout pourquoi on pouvait bien véhiculer ce genre d’affirmation gratuite… N’étant jamais si bien servi que par soi-même je décidai donc de vérifier la véracité ( ?) de ces propos.

Bien avant son entrée en scène, Biolay avait convié un duo bruxellois plutôt insignifiant pour ouvrir l’appétit d’un public éclectique où jeunes, moins jeunes et pas jeunes du tout même se pressaient afin d’entendre ce ‘mutant’ de la chanson française. Ses géniteurs seraient tous deux… masculins, le premier pourrait être Gainsbourg dont il aurait hérité le don des mélodies, le sens de l’orchestration et… la clope souvent suspendue aux lèvres. Le second pourrait être Bashung à qui il aurait hérité de la voix à la fois chaude et rocailleuse ainsi que la facilité d’écrire des textes d’une beauté et d’une justesse incomparables. Et puis, n’aurait-il pas eu comme ‘nounou’ Etienne Daho qui lui aurait laissé comme bagage le sens du rythme pop des eighties ?

Encore tout auréolé de son trophée aux victoires de la musique et à peine sorti d’un scandale médiatisé à souhait par la presse people, le plus mélancolique des sombres chanteurs français avait mis les petits plats dans les grands jeudi soir à Lille. Devant une salle comble (NDR : deux mille personnes entièrement dévouées à sa cause), l’ex-mari de Chiara Mastroianni, en compagnie de laquelle il avait signé un elpee de duos piquants et amoureux, nous l’a joué dandy, tendre et sensuel à souhait.

Benjamin sait que le public sera chaud/bouillant dès les premières notes et mots qui émergeront de l’obscurité. Et il se fait désirer pendant près de 40 minutes. Après les petits zakouskis sans saveur servis par le supporting act, de quoi encore faire monter la pression. Et inévitablement, dès les premiers accords de « Pour écrire un seul vers », c’est le délire dans les travées de l’Aéronef. Pari gagné pour ce beau brun un peu timide, réservé, qui remercie gauchement, et dix fois plutôt qu’une, ses admirateurs.

Un piano à queue noir trône au milieu de la scène devant un décor romantico-baroque, dont les pans de murs aux hauteurs différentes sont recouverts de feuilles d’aluminium qui scintillent aux rythmes des ballades chaloupées du ‘quintet biolesque’. Cinq, ils sont cinq pour donner vie au monde musical de Benjamin.

Une harpiste/violoncelliste/choriste, deux guitaristes, un batteur et un claviériste/touche à tout (utilisant le theremin, espèce de scie musicale) démontrent par cette richesse instrumentale, toute l’étendue du talent affiché par le beau Lyonnais. Le sixième c’est lui, seul au piano pour quelques morceaux plus intimes dont le sublime « Ton héritage » et une fois, une seule à la trompette, dos au public comme gêné de souffler, peut-être, dans un instrument un peu ringard aux yeux de ses fans…

Il faudra cependant plus d’une demi-heure pour que la tension, espèce de vernis dont est recouvert Benjamin, se craquelle. Enveloppé dans une timidité, une gêne quasi palpable, le trentenaire ténébreux lâchera enfin les chevaux à partir de « Lyon presqu’île » mais surtout « Prenons le large », repris en chœur par une salle en ébullition. 

Jouant à saute-mouton dans son répertoire, alternant le piano-voix (« Nuage Noir », « Novembre toute l’année », « Négatif »), les ambiances vaporeuses (« Même si tu pars »), la pop eighties (« Si tu suis mon regard », « Qu'est-ce que ça peut faire ? »), le déchirement glacé (« Night shop »), les boucles électro (« L'espoir fait vivre ») ou la nostalgie dansante (« Lyon Presqu'île »), Benjamin se remue, complètement décomplexé à présent, levant le poing plus souvent, et sur « A l'origine », finit même par se rouler par terre en vociférant, dans un tonnerre de guitares-batterie très réussi.

Deux heures passent hélas très (trop) vite et au vu du catalogue musical de Benjamin Biolay, on aurait volontiers écouté une dizaine de morceaux en plus ; car c’est réellement un très grand compositeur, un musicien hors pair et un arrangeur exceptionnel qui nous fait face ce soir.

Quatre rappels seront accordés dont le splendide « Padam », mais en guise de clôture, définitive cette fois, en duo avec sa complice harpiste, il nous délivre le déjà mythique « Brandt Rapsodhy » évoquant une liaison par post-it interposés ; et il met le doigt là où ça souffre, passant des éclaboussures d’un grand amour à une déchirure brutale.

Une fin dramatique pour un spectacle tout en nuances, sombre et lumineux, mélancolique et mélodique.

Quel est le con qui a dit : ‘Benjamin Biolay ne fait rien comme les autres et pas grand-chose pour qu’on l’aime’ ?

(Voir aussi notre section photos)

Organisation Vérone Prod 

Considéré comme l’un des meilleurs albums de l’histoire du rock’n’roll et aussi l’un des plus importants de la discographie des Stones, Exile On Main Street sera disponible le 17 mai 2010 dans une nouvelle édition avec dix titres inédits.

A sa sortie, il y a plus de trente ans, Exile on Main Street a innové en mêlant les genres musicaux, les instruments et même les artistes pour créer un fascinant chef-d’œuvre. Cette réédition comporte dix titres enregistrés à l’époque d’Exile, mais qui n’ont été découverts que récemment. Ces dix titres ont été produits par Jimmy Miller, The Glimmer Twins et Don Was.

Le double album original de 18 titres a été enregistré en plusieurs fois dans divers endroits, dont les studios Olympic à Londres, Nellcote, le manoir de Keith Richards en France (relaté dans le livre Nellcote de Robert Greenfield), et Los Angeles, dont la véritable “Main Street” (rue principale) a donné son nom à l’album. Les circonstances exceptionnelles entourant cet enregistrement ont grandement affecté le contenu du disque, une œuvre profonde, influencée par l’instabilité socio-politique ayant marquée la fin des années 60 et le début des années 70.

L’album a rassemblé tout un panel de talents dont Dr. John, Billy Preston, le pianiste Nicky Hopkins et Mick Taylor, le guitariste qui a remplacé Brian Jones dans le groupe peu avant la mort de ce dernier en 1969.

Exile on Main Street sera disponible en 4 formats :

- L’édition originale de 18 titres remasterisée

- Une édition deluxe 2 CD avec les 10 titres inédits en bonus

- Un coffret super deluxe incluant également un vinyle, un documentaire DVD de 30 minutes avec des extraits de Cocksucker Blues, Ladies and Gentlemen… the Rolling Stones, Stones in Exile et un livret collector de 50 pages contenant des photos de l’époque d’Exile.

- Un Double Vinyle

Pour regarder clip de Plundered my Soul :

http://www.alloclips.com/video/The_Rolling_Stones/Video_Clip_Plundered_My_Soul

(d’après communiqué de presse)

mercredi, 21 avril 2010 16:57

Pas tout à fait par hasard…

Le nouvel album de Cloé du Trèfle paraîtra ce 3 mai. Il s’intitule "Hasards de trajectoires" et raconte une histoire en seize morceaux, une sorte de course-poursuite en temps réel à travers une ville et ses transports en communs. Plusieurs personnes ont prêté leur voix pour ce projet, ces voix étant traitées ensuite comme des samples ou parfois comme des dialogues venant ponctuer des séquences ou les introduire. Cloé a également beaucoup travaillé les sons liés à cette histoire, comme des bruitages devenant rythmiques, mélodiques... D'autres musiciens ont participé à ce projet, notamment Squeaky Lobster/Loran Delforge qui a arrangé un morceau. Le disque est mixé par Rudy Coclet. L'album sera édité comme un livre-cd: Laurence Demaret en a réalisé tous les dessins-peintures et le tout est mis en page et enrobé du graphisme de Mathieu Vandermolen. Le 8 mai, aux Nuits du Botanique, elle présentera cet album et la création de spectacle que le vidéaste français Fred Vaillant a réalisé pour cette histoire. Elle disposera également sur scène un nouvel instrument électronique réalisé par l'ingénieur-musicien Rudi Giot - et customisé par ses soins... Le single "Biographie d'un bouquet de fleurs" sortira dans quelques jours... Ce morceau sera d'ailleurs sur une compilation des Inrockuptibles en mai!! Une tournée est prévue pour la rentrée et quelques dates pour cet été devraient se confirmer

(d’après communiqué de presse)

Deux titres sont en écoute sur son MySpace :

http://www.myspace.com/cloedutrefle

Pour plus d’infos : http://www.cloedutrefle.com

 

samedi, 13 février 2010 22:26

Des artistes pour Haïti !

Le monde artistique et le secteur culturel belges se mobilisent pour soutenir les artistes et les enfants d’Haïti

Au Botanique à Bruxelles

Dans les semaines à venir, le monde culturel et la scène artistique belge unissent leurs forces afin de venir en aide aux victimes en Haïti. Ainsi, le Festival « Ewa Ayiti !» (« En avant Haïti ! ») et les Amis du Collectif de l'Anverre organisent divers événements dans le but de récolter des fonds mais également, de mettre en avant la création artistique haïtienne, connue et reconnue pour son originalité, son allant, ses couleurs et ses qualités très particulières dans de nombreuses disciplines.

EWA Haïti / Une œuvre pour Haïti !

Soutien aux artistes

http://www.ewa-ayiti.be - Facebook (groupe) : « Ewa Ayiti »

En préparation depuis bientôt 2 ans, "Ewa Ayiti", un important festival consacré à la culture haïtienne devait voir le jour, à Bruxelles et en Wallonie, à l'automne 2010. Après le séisme qui a ravagé le pays, les organisateurs de ce projet, WBI, le Botanique et le Centre culturel du Brabant wallon et les partenaires haïtiens ont décidé de reporter le festival d'une saison et de se mobiliser, avec la collaboration de l'Ambassade haïtienne, pour aider les artistes qui, sur place, sont en grande difficulté. Une collaboration a été spontanément mise sur pied entre le Collectif des Amis du l'Anverre et le projet EWA/ une œuvre pour Haïti afin de mobiliser les forces des acteurs culturels belges et celle de l'univers de l'art contemporain. Un appel au don d'oeuvre est lancé aux artistes et un appel à la mobilisation des collectionneurs, dont la présence est indispensable pour la réussite de la vente.

Programme :

Exposition-vente d'œuvres d'art à prix unique et doux (250?) - Museum du Botanique - 21 février

Exposition-vente d'œuvres d'art offertes par des artistes pour le projet. Cette exposition sera présentée dans le Museum du Botanique et accueillera en preview une partie des œuvres d'art contemporain réunies par le Collectif des Amis de l'Anverre et du Botanique qui seront pour leur part mise en vente aux enchères en l'église du Gesù.

Heures d'accès : de 12h à 19h.
Entrée gratuite.

Lectures d'avenir - Museum (Le Botanique) - 21 février
Lectures à voix haute de textes d'écrivains belges et haïtiens.
Entrée libre.

Concert belgo-haïtien - l'Orangerie (Le Botanique) - 21 février

Le 21 février, dès 19h au Botanique, concerts de soutien avec des artistes belges (Claude Semal, Suarez, L'Âme des Poètes, Pierre Vaiana, Fabien Degryse , Jean-Louis Rassinfosse, Bruno Coppens), haïtiens (Beethova Obas, et Belo, arrivé de Port-au-Prince et figurant dans la sélection d'Ewa) et d'ailleurs (Manou Gallo).

De 19h à 22h.
Prix d'entrée : 12€

Dans les serres : vidéos/courts-métrages, bar et restaurations haïtiens.

Vente d'un Cd

Compilation de titres de musiciens haïtiens sélectionnés par « EWA Ayiti ! »

Info et organisation

EWA AYITI ! / Le Botanique

Informations et billetterie : 02/218 37 32 www.botanique.be

http://www.ewa-ayiti.be

Belgian Artists For Haiti

Projet des amis du collectif de l'Anverre

Soutien aux enfants d'Haïti

http://www.artist-for-haiti.be - Facebook (groupe) : « Belgian artists for Haiti »

Les Amis du Collectif de l'Anverre organisent une vente publique de créations contemporaines pour le soutien des enfants les plus démunis dans la catastrophe en Haïti.

Après avoir pris contact avec des associations humanitaires haïtiennes et belges, les revenus de la vente seront employés pour acheter les médicaments, vêtements... selon les besoins les plus urgents du moment et seront distribués par nos soins sur place.

Par ce message, nous lançons un appel aux plasticiens désirant donner une de leurs oeuvres en nous contactant par téléphone 03/238 33 63 ou par email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

A ce jour nous pouvons vous annoncer que nous déjà avons reçu une soixantaine d'oeuvres. Notre objectif est d'arriver à un total de +/- 300 oeuvres ou plus.

Programme :

Vente aux enchères d'oeuvres d'art contemporain (vente caritative) - Eglise du Gesù - 13 et 14 mars

La vente des œuvres aura lieu les samedi 13 et dimanche 14 mars à 14h à Bruxelles dans l'église du Gesù, espace d'exposition géré par le Botanique (ancienne église des pères jésuites située rue Royale).

Exposition accessible de 10h à 18h du 5 au 13 mars et de 10h à 14h les 13 et 14 mars.

Vente à 14h.

Quelques galeries offriront également des œuvres pour cette vente.

La vente sera réalisée par le commissaire priseur Philipe Serck qui, durant le mois de février, présentera une partie des oeuvres en « preview » dans sa salle de vente (Brussels Art Auctions, 7-9 rue Ernest Allard, 1000 Bruxelles - Sablon).

Exposition - Eglise du Gesù - du 5 au 13 mars

Les pièces seront exposées dans l'église du Gesù (en face du Botanique) du 5 mars au 13 mars. Vente les 13 et 14 mars à 14h.
Heures d'accès : de 12h à 18h.
Entrée gratuite.

Soirée et concerts - Botanique - 5 mars
Un " benefit concert" (live bands et DJ's) est organisé au Botanique le 5 mars.
Concerts de 20h à 22h et DJ's de 22h à 2h.
Prix d'entrée : 10€.

Info et organisation
Le Collectif des Amis de l'Anverre
http://www.artist-for-haiti.be

Facebook (groupe) : « Belgian artists for Haïti »

Billetterie - Le Botanique
http://www.botanique.be

(d’après communiqué de presse)

Le samedi 13 mars 2010, la ville de Hasselt se parera de blanc pour la sixième édition belge de Sensation. Après 4 éditions à guichets fermés accordées au Palais des Sports à Anvers, Sensation a déménagé - avec un succès éclatant - l’an dernier à la salle Ethias Arena à Hasselt où a eu lieu Ocean of White, avec sa fontaine spectaculaire de 80 mètres.

·         Date : le samedi 13 mars 2010

·         Lieu: Ethias Arena – Hasselt

·         Prix: Regular: 52,5 euros Deluxe: 380 euros pour 4 personnes 

·         Heure:  21.00 heures – 06.00 heures

·         Code vestimentaire : Be part of the Night – dress in white!

·         La prévente pour Sensation Wicked Wonderland commence le 21/10/2009 via http://www.sensation.com et Free Record Shop

(communiqué de presse)

 

vendredi, 23 octobre 2009 00:50

Small Boat, big ambition…

En 2006, Ed Laurie avait enregistré un mini album autoproduit. Et le produit de la vente de cet opus lui avait permis d’acheter ses instruments. Il ne restait donc plus qu’à se lancer dans la grande aventure. Et c’est chez le label Tôt ou Tard (Patrick Watson, Sébastien Tellier, Mathieu Boogaerts, etc.) qu’il va trouver la famille pour le mettre sur les rails. Ed sortira son premier album le 2 novembre prochain. Il s’intitule « Small Boat Big Sea ». Si vous appréciez la voix de Peter Van Poel ou encore de Randy Newman, vous ne pourrez que succomber sous son charme. Né d’une mère d’origine russe et brésilienne et d’un père anglais, Laurie reconnaît parmi ses influences majeures des artistes aussi différents que Jacques Brel, Chet Baker ou encore Cesaria Evora. Tout un programme ! On attend la suite sur disque…

http://www.totoutard.com

mardi, 06 octobre 2009 22:17

Modeselektor : Body Language Volume 8

L’écurie berlinoise Get Physical nous avait déjà gâtés dernièrement en gravant l’excellente compilation « Get Physical 7th Anniversary ». Et dans la foulée, Gernot Bronsert et Sebastian Szary aka Modeselektor viennent d’embrayer par un autre recueil, toujours pour le même blason, intitulé « Body Language Volume 8 » ! Faut dire que le duo teuton est dans tous les bons plans : tournée en compagnie de Moderat (NDR : outre Modeselektor, le périple implique également Apparat), superbe plaque éponyme parue chez BPitch Contol (la boîte appartenant à Ellen Allien) et création de leur propre label Monkeytown Records.

 
 

Les patrons de Get Physical ont donc accordé leur confiance absolue aux deux briscards de l’électro ‘Made in Germany’. Et quelle bonne idée ! Généralement lors d’une vague house, la plaque est découpée en deux. Sèchement. Comme une poire. C’est le cas pour ce « Volume 8 » qui autorise ainsi des accès plus hard au sein desquels Modeselektor excelle ! Notamment un florilège de titres aux BPM plus lourds et surtout aux styles très variés oscillant de la techno au dubstep en passant par le hip-hop. Un régal ! Outre les quelques titres signés Modeselektor et Moderat (le superbe « A New Error »), on épinglera « Cricket Scores », un titre de techno house particulièrement efficace concédé par l’étoile montante, Boy 8-Bit. Benga nous balance « Emotions », un morceau de dubstep meurtrier rappelant son album mythique « Diary Of An Afro Warrior ». Et le « Gimme Some More » de Busta Rhymes est tout aussi percutant. Robert Hood est le maître incontesté de la house issue de Detroit. Il nous réserve un « Unix » hyper dansant. Parmi les surprises, on relèvera l’intrusion d’Animal Collective. Pour un « My Girls » du plus bel effet ! Enfin, issu du dernier album du talentueux Boys Noize, « Nerve » est un exemple parfait de bootleg ! Cette compile réunit 29 titres ; et pourtant on a l’impression qu’elle est trop courte. N’empêche cette bande son pourrait bien devenir un antidote parfait contre la morosité, cet hiver…

 

 

 

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