La disparition de Gelatine Turner…

Gelatine Turner, c'est un projet chanson porté par deux frères, Pierre au son et Romain au chant. Ensemble ils composent une chanson hybride entre pop et alternative. « Disparaître », c'est une marche hypnotique, un souffle qui s'emballe, une perte de repère…

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TORRES perdue dans une salle immense…

TORRES (le nom de scène de l'artiste new-yorkaise Mackenzie Scott) publiera son nouvel elpee, « What an enormous room », ce le 26 janvier 2024. La chanteuse américaine propose également son premier single/vidéo, « Collect ». Parallèlement à cette annonce,…

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Découvertes

Dear Hearts

Tail Lights & Bygones

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Ces petits gars sont des rapides. Dear Hearts se forme en septembre 2009. Son premier essai discographique, « Tail Lights & Bygones », sort en mars 2010. C’est à peine croyable. Sept mois à peine pour composer, répéter, cracher quelques glaviots en concert et enregistrer un Ep 6 titres ; nos quatre keupons sont à coup sur de vrais accros du boulot ! Vous serez aussi surpris d’apprendre, en vous frottant à la qualité quasi-internationale de ces six titres autoproduits, que les zigotos ne viennent pas de Californie, mais qu’ils sont bien de chez nous !

Scheirder (basse & voix), Sammy (guitare), David (guitare aussi) et Wimmie (batterie) avouent êtres passés par l’école de la scène punk californienne : Social Distorsion, Misfits, Agent Orange ou  Bad Religion. Difficile de les contredire sur ce point. Surtout qu’ici, l’élève est surdoué et qu’il n’est pas loin d’atteindre le niveau de ses maîtres.

Après une intro humoristique (un extrait de la chanson « Dear Hearts And Gentle People » du crooner américain Bing Crosby), l’Ep développe dix-sept minutes d’hymnes punks rock énergiques et entraînants. Vu qualité des compos, on se demande si l’ami Fat Mike n’aurait pas intérêt à jeter son oreille percée du côté de la Belgique, dans l’éventualité où il chercherait encore de nouvelles signatures pour Fat Wreck Chords, son label consacré au punk-rock. En attendant, il est d’ore et déjà possible de se procurer « Tail Lights & Bygones » sur la page MySpace du groupe pour la modique somme de sept Euros.

 

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Ben Popp

Empreintes digitales

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Vingt ans. 20 ans déjà que Benjamin chante. Sa carrière, il l’a en effet commencée en 1991. C’est dire s’il est resté discret depuis. Passant de démos aux petites scènes, l’Avignonnais regarde le temps passer sans grands moyens et sans jamais s’inquiéter beaucoup pour sa carrière. Il est vrai que la vie est difficile pour des tas d’artistes maintenus dans l’anonymat, faute de pouvoir se dégoter un producteur digne de ce nom et susceptible de croire en leur étoile.

Mais tout arrive à qui sait attendre. Christian Morfin endosse le rôle de la bonne fée pour Ben, près de 20 après ses débuts. Il lui monte un band de toutes pièces, tel un puzzle. Il emmène dans ses bagages ‘Le 7ème rêveur’ à la batterie et Richard Vecchi aux claviers. Rejoignent le band, quelques amis proches de Ben : Sidonie Richard à la basse, Pierre Walther à la guitare acoustique, Christian Pruneau à l’harmonica, les frères Parmentier aux guitares et ‘The Hippie’, préposé à tout sauf la batterie. Une dizaine de personnes en tout afin de lancer enfin une vraie carrière, d’enregistrer un véritable album.

« Empreintes digitales » est paru début de cette année. Quatorze chansons ‘peuplent’ la réalisation tant espérée. De la pop song bien fraîche, bien faite. Les mélodies sont faciles, accrocheuses, bref agréables. Les textes sont intelligents et actuels. Ils traitent de tas de problèmes qui contaminent notre monde. « Empreintes digitales » porte bien son nom. Chaque chanson est une trace de vie, un passage par lequel est visiblement passé Benjamin ou qui a laissé sur lui une ‘empreinte’… A vous de juger !

 

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Tannhauser

Löven

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Piste 1 : « Night Shop »… intronisation dream-pop immédiate qui se pose sur les nuages vaporeux de l’univers ‘cocteautwinesque’. Fondé en 2007, le jeune quatuor louvaniste nous rappelle sans détour que les mouvements dream-pop et shoegazing brillent actuellement de mille feux. ‘Soukazing’ ingénieusement ordonné autour de Slowdive, My Bloody Valentine, Cocteau Twins et Ride.

Sur ce premier elpee autoproduit, « Tannhauser » (NDR : pseudonyme emprunté au célèbre opéra de Richard Wagner) ne verse nullement dans la créativité artistique mais use plutôt de la richesse de ses influences hermétiques pour bricoler astucieusement un opéra noisy-pop. Empire céleste voûté de guitares fuzz et de synthés rêveurs destiné principalement aux amateurs du genre.     

Du tracklisting, on épinglera tout particulièrement l’onirique, mais également bucolique « A Little Blood » (NDR : un hommage à My Bloody Valentine ?)

Bref, en 10 titres pour 41 minutes, Tannhausser semble avoir trouvé un refuge cotonneux au cœur des antres de la noisy-pop.

Cette nouvelle formation flamande, dont les noms des musiciens méritent un arrêt sur image (NDR : Erick de Deyn –c’est le seul garçon du line up– au chant et à la guitare, Ine Vlassaks aux drums et à la clarinette, Karlien Vermeiren au chant et au synthé ainsi que et Joke Duponcheel à la basse), devrait certainement et très prochainement fouler les  planches des salles de notre plat-pays. A suivre de très près…

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Nutrition

Eye Of The Anunnaki (Ep)

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Du Métal Pour Pas Un Balle…

Musiczine a décidé de vous aider à faire des économies en ces temps de crise.

‘Du métal pour pas un balle’ est une nouvelle rubrique destinée à vous faire découvrir des albums de heavy métal de qualité ainsi que des démos mis à disposition en téléchargement gratuit et tout à fait légal par les artistes eux-mêmes sur leurs sites internet.

Cette rubrique nous emmène souvent dans des pays lointains et exotiques. Pour la circonstance, c’est carrément vers une autre planète que nous nous dirigeons. Jeremy Mauney et Roland La Goy ne sont pas de ce monde. Le vaisseau mère a dû les oublier sur notre terre et en attendant son retour, ils sont très énervés. Pour calmer leur nervosité, ils ont décidé de jouer de la musique. Quoi de plus relaxant que le black métal ?

En 2009, Jeremy Mauney, ex-vocaliste du combo death métal japonais Detrium est de retour dans son Amérique natale. Souhaitant créer une musique alliant ses passions pour la science-fiction et le black métal, il s’associe à Roland La Goy, compositeur de bandes sonores de jeux vidéo et membre unique du projet black métal Inlaid Rust. C’est sous le nom plutôt étrange de Nutrition qu’ils enregistrent en 2009 un premier Ep intitulé « Hyperdimensional Awakening ».  Ce premier effort est suivi début 2010 par « Eye Of The Anunnaki », un second Ep trois titres beaucoup plus abouti où le style assez particulier du groupe se dessine peu à peu. Imaginez un black métal ultra rapide et violent aux vocaux râpeux comme du papier de verre, combiné à des effets de synthétiseurs futuristes. Tout au long d’« Eye Of The Anunnaki », Nutrition se pose en véritable Hawkwind de l’extrême et mène le black métal vers une autre dimension.

« Eye Of The Anunnaki », tout comme le premier Ep « Hyperdimensional Awakening », est disponible en téléchargement gratuit au format mp3/256kbps (NDR : artwork compris), sur la page MySpace du groupe (http://www.myspace.com/nutrition)

Que la force soit avec vous !

Alors, elle n’est pas belle la vie en temps de crise ? Merci Nutrition !

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Guerilla

Kickstart Revolution

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Les Allemands de Guerrilla vous proposent un deal plutôt intéressant. Ils vous autorisent à  télécharger gratuitement leur tout nouvel album (format mp3/320kbps) via leur page MySpace (http://www.myspace.com/guerrilla666). Cependant, il existe une légère subtilité : tout l’album est à votre disposition, sauf un titre. Pour obtenir l’œuvre dans son intégralité, vous devrez débourser dix euros. Vu la qualité plus que raisonnable de « Kickstart Revolution », le contrat semble correct. C’est en tout cas, une excellente idée de marketing.

Il faut avouer que, sans être révolutionnaire, il est plutôt bon cet album de Guerilla. Originaire de Cologne, le groupe utilise une recette simple et efficace : un flirt entre du bon trash métal et le death métal mélodique à la suédoise ; et plus précisément issu de l’école de Göteborg. Le tout doté d’un esprit (et d’un son) très rock’n’roll. Dès les premières notes d’« Into the mire », on à l’impression d’être en présence d’un rejeton velu et crasseux, né d’une liaison entre Kreator et Dark Tranquility, lors d’une concentration de motards. Entre brutalité et mélodie, l’effet est plutôt sympa et on en reprend volontiers.

Alors, elle n’est pas belle la vie en temps de crise ? Merci Guerrilla !

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Grimmer

A Call For Battle

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On dispose peu d’infos relatives à ce Grimmer. Une chose est sûre, la formation est suédoise. Pour le reste nous nageons dans l’inconnu. La photo officielle du groupe nous laisse cependant entrevoir leur identité : de (très) jeunes chevelus, épée à la main marchent sur une plage enneigée, une corne fixée à la ceinture. Pas de doute, nous allons nous prendre notre dose de Viking Metal.

« A Call For Battle », le premier effort de ces guerriers venus du froid, est disponible depuis le début février 2010 en téléchargement gratuit sur sa page MySpace (http://www.myspace.com/grimnerswe). D’un simple clic sur l’artwork, vous obtiendrez, outre les 5 fichiers mp3/192kbps, des photos du groupe, la pochette du cd, et les textes des chansons.

Si vous avez apprécié « Elements », l’album de nos compatriotes de Valgard chroniqué récemment dans cette rubrique, il y a de fortes chances que vous appréciiez aussi cet Ep. De toute évidence, les influences des deux formations sont les mêmes : Thyrfing, Mithotyn, Amon Amarth, Einherjer et Bathory. Musicalement, « A Call For Battle » suit les standards du genre : une alternance de vocaux extrêmes et de chant clair, un clavier pour les ambiances folk et des guitares qui distillent des riffs plombés et épiques ainsi que de superbes soli. Rien de bien révolutionnaire, mais un joli début tout de même pour ce groupe prometteur.

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Filacteria

The Rise Of The Lepers

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Dans cette rubrique, nous avons pris l’habitude de voyager. Cette fois, c’est dans l’île de Porto-Rico que nous nous rendons et plus précisément dans la ville de San Sebastian. C’est dans cette ville que sévit Filacteria, un combo plutôt énervé qui avoue être influencé par la musique de Meshuggah, Soilwork, Anthrax, Sevendust, Deftones et Kill Switch Engage. Autant dire qu’aussi bien les amateurs de black métal, de gothique que les fans de rock FM peuvent passer leur chemin.

C’est un album complet comprenant pas moins de onze titres au format mp3/192 kbps que le groupe propose en téléchargement gratuit sur son site officiel (http://www.filacteria.com) et sur sa page MySpace (http://www.myspace.com/filacteria) depuis début janvier 2010. Et, si vous appréciez le trash métal moderne et groovy, truffé de riffs assassins et de vocaux agressifs, pas de doute, « The Rise Of The Lepers » est un disque pour vous. Cependant, Filacteria ne fait pas que dans l’agression pure. Ses compositions à tiroirs, bourrées de rythmiques complexes à la limite du progressif laissent parfois la place à de véritables power ballades chargées d’émotion pure.

Un album très intéressant qu’il est possible de découvrir sans qu’il soit nécessaire d’ouvrir les cordons de la bourse.

Alors, elle n’est pas belle la vie en temps de crise ? Merci Filacteria !

 

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Cruadalach

V Rytmu Stare Krve

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Cruadalach est un septuor originaire de République Tchèque. Fondé en 2008 par Michal Rak (NDR : célèbre dans son pays pour avoir été le batteur du groupe doom métal Silent Stream Of Godless Elegy), le groupe pratique une musique qu’on pourrait situer à la croisée des chemins d’In Extremo et de Haggard. C’est à dire du métal tapissé de mélodies folks et médiévales jouées sur des instruments traditionnels tels que la cornemuse, les flûtes, le hautbois médiéval, le violon et le violoncelle. Pour faire circuler son nom, le groupe à décidé, début 2010, de proposer sa démo trois titres en téléchargement gratuit sur son site internet officiel (http://www.cruadalach.com) ainsi que sur sa page MySpace (http://www.myspace.com/cruadalach). Le package comprend, outre les trois titres au format mp3/320kbps, le livret complet, quelques photos du groupe et les paroles des chansons.

La musique alterne les passages folks métal festifs bourrés de cornemuse tels que les distille In Extremo et les mélodies métal médiévales, agrémentées de hautbois, de violon et de violoncelle qui font parfois penser à Haggard. Les vocaux, chantés en anglais et en tchèque sont le point faible du groupe, car ils manquent d’énergie ; ce qui nuit un peu à la dynamique de l’ensemble. D’après son site internet, Cruadalach espère décrocher un contrat et sortir un album complet courant 2010. C’est tout le mal qu’on lui souhaite.

Alors, elle n’est pas belle la vie en temps de crise ? Merci Cruadalach !

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Anima

Spasenje

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Aujourd’hui nous nous rendons à Kikinda en Serbie (ex-Yougoslavie), pour découvrir le métal progressif et atmosphérique d’Anima. Fondé en 2004 sur les cendres d’Armadillo, un combo hard rock qui écumait la ville depuis des années, Anima est le fruit du désir partagé entre Vanja Grastic (guitare) et Imre Nemeth (batterie) de créer une musique libérée de toutes les pressions et de toutes les règles. La biographie du groupe énumère de nombreux changements de personnel mais nous ne retiendrons que les musiciens qui ont participé à l’enregistrement de l’album. Outre Vanja Grastic et Imre Nemeth, nous retrouvons Marko Andelic au chant et à la basse, Janko Petrovic à la guitare et à la clarinette ainsi que Marta Petrovic au chant et aux claviers.

Il faut bien avouer qu’une fois de plus, Internet nous gâte. L’album « Spasenje », proposé par Anima en téléchargement gratuit (mp3/320kbps - Artwork complet inclus) sur son site officiel (http://www.animabend.com), est d’une qualité assez exceptionnelle. Les amateurs de métal progressif, de mélodies ciselées et surtout de guitares acérées y trouveront leur compte à coup sûr. Et pour cause : la paire de six-cordistes constituée par Grastic et Petrovic s’y entend comme personne pour distiller de superbes soli (NDR : jetez donc une oreille sur l’instrumental « Anima »).

Si le chant en serbe peut s’avérer un peu déroutant, il n’est cependant dérangeant que si on désire absolument comprendre le sens des paroles.

En dix titres pour cinquante minutes, Anima propose une musique disposant de toutes les spécificités requises pour un disque de métal progressif : mélodie, dextérité instrumentale, changements d’humeurs et d’ambiances. Pas facile dès lors de savoir si, au final, Grastic et Nemeth estiment avoir atteint l’objectif qu’ils s’étaient fixés : concocter une musique libérée des contraintes et des règles. Peu importe. « Spasenje » est une réussite et c’est bien là l’essentiel.

Alors, elle n’est pas belle la vie en temps de crise ? Merci Anima !

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Motorjesus

100 000 Volts Survivor (Ep)

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Les Shitheadz  pratiquaient le hardcore depuis 1992. En 2005, les cinq musiciens originaires de Mönchengladbach en Allemagne, changent carrément de style musical et optent pour un hard rock burné parfumé à la bière et l’huile de vidange. Ils adoptent alors un patronyme mieux adapté à leur nouveau crédo : Motorjesus. Après avoir édité un album intitulé « Deathride », en 2006, le combo disparait de la circulation. Cependant, à l’instar de celui à qui il a emprunté une partie de son nom, Motorjesus revient à la vie, fin 2009. Il enregistre alors un mini album intitulé « 100 000 Volts Survivor » et décide, à des fins promotionnelles, de le proposer en téléchargement gratuit (mp3/320kbps) sur son site internet (http://motorjesus.net/index1.html).

Composé de cinq pépites groovy et mid-tempo inspirées par le hard rock des Guns’n’Roses,  le heavy redneck de Black Label Society et même le stoner de Fu Manchu, « 100 000 Volts Survivor » est le compagnon idéal de vos concentrations de motards ou de vos soirées arrosées au Jack Daniel’s.

Une bonne dose de rock’n’roll et de bonne humeur à consommer sans modération.

Alors, elle n’est pas belle la vie en temps de crise ? Merci Motorjesus !

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