Chanter des langues que l’on ne parle pas, c’est comme s’envoler loin de nos terres, et l’on revient rempli et nourri de l’ailleurs. Dans la langue imaginaire, un aspect universel se crée, on ne sait lui donner de nom, ni parfois même de sens.
Reste un troisième langage, celui des sons, des cordes, du bois, des âmes. A celui-ci pas de mots, mais une grande émotion, dévotion, reconnaissance. 11 morceaux voguant entre chants traditionnels revisités et musiques créatives du monde.
Par le jeu et l'expression, alliant virtuosité, simplicité, fougue et sensualité, il émane de leur musique des paysages lointains, remplis d'une grande émotion.
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