La fragilité semble le pendant lumineux de « Toute latitude » ; on y entend, si l’on prête l’oreille, un apaisement, une certaine célébration de la beauté des choses et du monde, une contemplation heureuse de paysages, dont certains remontent à l’enfance.
La fragilité est l’occasion de respirer, et ses textures plus vaporeuses laissent passer quelques brises légères, filtrer des lumières plus tamisées, des teintes plus claires.
Dominique A s’y retrouve seul, comme on souffle après une longue course, et prend son temps.
"Le temps qui passe sans moi" est à découvrir ici.