Il y quelques mois, Noé Preszow publiait « À nous », comme une carte de visite. À nous qui, comme lui, avons du mal à trouver notre place, à nous positionner, Noé Preszow (prononcer Prèchof), envisage un monde où solitude et solidarité cohabitent, se complètent, et ou le ‘nous’ prend la place du ‘je’. Il était temps.
Plusieurs millions de streams, des passages radio nombreux et toujours en croissance, des invitations sur les plateaux des médias belges et français. Une place qui se dessine pour cet artiste qui détonne.
En ce début septembre, Noé Preszow a dévoilé son premier Ep, « Ça ne saurait tarder ». Il y est question d’amitié, qu’il s’agisse de l’impossibilité d’une fête (« Que tout s’danse ») ou que le dialogue soit rompu (« Je te parle encore »). Quatre titres urgents et intenses, aussi impudiques que généreux.
Quatre titres et déjà un appel d’air. Il y a longtemps que l’on n’avait entendu de tels mots dans un hymne pop.
Le clip de « A nous » est disponible là