Yuksek revisite Laurent Voulzy…

Le musicien, compositeur, réalisateur et producteur de musique électronique Yuksek revisite « Cocktail chez mademoiselle », le titre de Laurent Voulzy paru en 1979 sur son album « Le cœur grenadine ». Il en propose une relecture retro futuriste, groovy et…

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L’interaction de Ride…

Le septième elpee studio de Ride, « Interplay », sortira le 29 janvier 2024. Ce nouvel album est le troisième du quatuor d'Oxford depuis sa reformation en 2014. Ces pionniers du shoegaze, quelquefois proche du noise rock des années 90, sont davantage ensemble…

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dimanche, 31 décembre 1995 00:00

Manic Compression

Troisième opus pour ces vétérans de la scène hardcore new-yorkaise. Un disque qui souffle le chaud et le froid. Le froid lorsqu'il se contente de marcher sur les plates-bandes d'Helmet. Le chaud lorsqu'il montre un visage plus subtil, plus raffiné, sans pour autant perdre la nature de sa férocité. Comme par exemple sur "Delusional" et "Landmine Spring". Les riffs de guitares sont davantage effilés que déchiquetés. Les vocaux moins étouffés permettent de laisser entrevoir des textes intelligents, engagés, consacrés aux problèmes sociaux rencontrés aux States, mais également à l'échelle mondiale. Et à travers ces questions, et des sentiments de colère, d'hostilité, de révolte qu'elles peuvent engendrer, il se pose en modérateur, en conciliateur. Un point positif qui sauve l'œuvre des sables mouvants de l'oubli...

 

jeudi, 15 mai 2014 01:00

Noir désir à l’Horizon

Cent ans de solitude et onze ans d’absence ne sont pas venus à bout du souffle de l’une des plus belles voix, de l’une des plus belles plumes de la scène rock française. Si la musique avait oublié Bertrand Cantat, ne fût-ce qu’un instant, le public avait résolument répondu présent ce jeudi 15 mai, à l’Ancienne Belgique de Bruxelles. Et quel accueil !

Quelques minutes à peine ont d’ailleurs suffi pour fermer tous les guichets de l’Hexagone et de Belgique.

Sans doute, certains s’attendaient-ils à un événement peuplé de quadras nostalgiques à la recherche du temps perdu. D’autres, à de nouveaux horizons sis au-delà du vide orienté vers une autre lumière, loin des rivages ‘sombres’ de Noir Désir, qui auraient définitivement brûlé les dernières pages du groupe culte français, grillé ses dernières cartouches. Par bonheur, Bertrand Cantat et Pascal Humbert ont réussi magistralement à garder le cap, à se frayer une voie médiane, louvoyant entre passé et futur pour s’ouvrir vers un Détroit plus que présent. Un voyage au bout de la nuit ? Pas vraiment.      

Un rendez-vous avec le temps traversé par une électricité spasmodique. Rarement une telle ferveur n’a saisi l’auditoire francophone de l’AB. Aux côtés de Bertand Cantat (Chant, Guitare) et Pascal Humbert (Basse, Contrebasse), militent Nico Boyer (Guitare), Bruno Green, alias ‘le Professeur’, (Claviers, Guitare) et Guillaume Perron (Batterie). Et cette équipe s’est vraisemblablement rendue coupable de l’un des meilleurs concerts de musique française, en cette année 2014. Rien de moins.

Certainement sensible à la critique de ses premières représentations, le ‘jeune’ groupe français ne cesse de revisiter ses concerts, de changer de formule, de trouver l’équilibre. Tant dans le répertoire que l’orchestration. Et vu le résultat atteint ce jeudi soir, le public bruxellois a certainement dû assister à la fin d’un ‘tour de chauffe’.

17 titres d’une set list qui sillonne habilement entre « Horizons » et le répertoire de Noir Désir totalement réorchestré. Entre l’envie furieuse de réécouter les anciens titres réinventés et de découvrir les nouveaux sur scène. Aucune concession, pas de prétexte au racolage nostalgique. Juste un nouveau Cantat qui préfère chanter sans lyrisme excessif ni grandiloquence, privilégiant une justesse émotionnelle déchirante.

Le frisson est constamment palpable dans la salle, il vibre derrière chaque mot, chaque note, chaque morceau. Il lézarde les âmes. Une pureté émotionnelle qui, cette fois, ne se cache pas derrière des violons. Ce soir, Détroit a décidé de sortir les guitares électriques et de laisser les cordes au vestiaire. Le temps d’un instant.

Hagard, cheveux ébouriffés et habillé de noir, Cantat monte sur les planches accompagné de son complice Pascal Humbert et de ses trois nouveaux camarades de jeu. Le chanteur est accueilli par une longue salve d'applaudissements ponctuée de ‘On t’aime’. Figé au centre de l’estrade, tel un enfant perdu dans la foule, il répond par quelques sourires, quelques gestes mêlés de mercis étouffés. Symboliquement, c'est sur Pascal Humbert que sont braqués les projecteurs pour les deux premières chansons de la soirée.

« Ma Muse » et « Horizon » en ouverture. L’atmosphère devient subitement troublante, suffocante. Une chape de béton scelle un public désormais muet. La tête rivée au ciel, les yeux fermés, comme absent, Bertrand Cantat revient sur l’indicible d’une voix bouleversante : ‘Qui de mon cœur ou de ma tête va // Imploser comme une étoile // Quel débris ou quel morceau de moi // D'abord te rejoindra.’ Pas question d’oublier !

« Des Visages des figures » vient ensuite atténuer l’intensité de l’émotion. Et nous rappeler, qu’outre une voix magnifique, intacte, l’artiste français est un grand parolier.

Dès les premières notes de « A ton étoile », le ton général change radicalement. Le leader de Détroit reprend progressivement confiance et retrouve les automatismes de l'homme de scène qu'il était du temps de Noir Dez, tourbillonnant avec sa guitare. Loin des polémiques et des controverses, les interprétations de Cantat et Humbert sont habitées d’une musicalité exceptionnelle. Le diable au corps, le chanteur se libère, crache, vomit ses émotions et enchaîne les tubes. Les riffs s’enragent, la batterie cogne et le public exulte. Un incendie volontaire largement maîtrisé par nos cinq pompiers-pyromanes.

Un set terriblement plus dynamique et électrique que celui des concerts précédents qui change de configuration lors du premier rappel. Un rappel sur lequel Pascal Humbert échange sa basse contre une contrebasse et vient souffler sur les braises à l’aide du violon de Catherine Graindorge et du violoncelle d’Anne Lisa pour interpréter « Droit dans le soleil » et quatre autres titres.

Après deux heures de concert, les cinq musiciens viennent frontstage, guitare à la main, pour un final furieux en communion totale avec le public sur « Le vent nous portera » et « Comme elle vient ». Un vacarme étourdissant produit par un auditoire braillant sans accalmie : ‘Comme elle vient vient // Encore et encore // Comme elle vient // Encore et encore…’ sur lequel Bertrand Cantat a eu juste le temps de lancer un ‘Bruxelles, je t’aime’ avant de disparaître en backstage.

Un très grand concert sans démesure, plein de sobriété et riche en émotion.  

Nietzsche suggérait ‘qu’il n’est pas de belle surface sans une redoutable profondeur’ (Naissance de la Tragédie), Cantat nous apprend qu’on ne crée pas de chant sublime sans un gouffre de souffrance sous-jacent.     

Notez également qu’après ce concert accordé dans une AB archi-comble, Détroit a décidé d’offrir à son public belge une troisième et dernière date à l’Ancienne Belgique, le mercredi 8 octobre 2014.

Voir aussi la section photos ici

La setlist:

Ma muse – Horizon – Des visages des figures – A ton étoile – Le creux de ta main – Lazy – Le fleuve – Lolita nie en bloc – Ange de désolation – Null & void

Rappel 1

Droit dans le soleil – Glimmer in your eyes – Sa majesté – Fin de siècle – Tostaky

Rappel 2

Le vent nous portera – Comme elle vient

(Organisation Live Nation)

 

jeudi, 11 juillet 2013 03:00

LOUD by Court-Circuit 2013

Si l’an dernier, Court-Circuit ouvrait le Concours Circuit aux musiques électroniques en lui consacrant une compétition spécifique, c'est à la scène ‘loud’ (metal, trash, speed metal, heavy metal, death, doom, gothic, emocore, neo-metal, indus, black metal, ... qu’elle sera réservée cette année.

En effet, Court-Circuit coordonne un tout nouveau dispositif d'accompagnement, LOUD by Court-Circuit. Un festival au Botanique en décembre, des showcases en Wallonie et à Bruxelles, un festival off à Bruxelles-les-Bains, des programmes et outils de développement... Tout un programme et un agenda de niche pour ce second semestre 2013 !

http://www.youtube.com/watch?v=OgURnFis9mk&feature=youtu.be

Les inscriptions se clôturent le 13 septembre 2013. Voir ici

Et pour regarder le teaser, c'est

 

 

Another Belgian Band a terminé l’enregistrement de son premier album. Il s'intitulera « Bored with the Music » et sortira cet automne.

Toutefois, le travail n'est pas fini : le groupe a besoin de votre aide pour qu'il soit mixé, masterisé et pressé !

Le groupe a lancé un financement participatif via le site KissKissBankBank pour récolter les 2.500€ qui offriront à cet album la production de leurs rêves.

Vous pouvez précommander l'album et le recevoir avant tout le monde ou encore choisir d'autres contreparties exclusives (DVD, places de concert, concert privé à domicile, ...).

Les paiements sont sécurisés par carte de crédit.

Si la collecte n'atteint pas son objectif avant le 30 juin, elle sera annulée et vous serez intégralement remboursés.

http://www.anotherbelgianband.be

 

Bonne nouvelle puisque le groupe liégeois Fastlane Candies a annoncé la date de sortie de son très attendu prochain album. « Telenovelas » devrait paraître ce 7 octobre ; et dans un souci de partage et d’amitié, le groupe vous propose de découvrir ses nouveaux titres dans l’intimité de milieux sympas et décalés.

Pour un avant goût en catimini, rendez vous :

Le 20 juin à Namur (Musique à tous les étages)

Le 04 juillet pour nos amis Parisiens (International Records)

Et le 10 Juillet à Liège (Appartement Session)

https://www.facebook.com/fastlanecandies

 

 

vendredi, 26 avril 2013 03:00

Jusqu’aux portes du Paradis…

Auteur-compositeur-interprète et chanteur, Benjamin Biolay est né en 1973 dans le Rhône, à Villefranche-sur-Saône, très exactement. Il s’illustre d’abord en composant quelques chansons pour l’album d’Henri Salvador, « Chambre avec vue », en 2000. Depuis, il a apporté sa collaboration à de nombreux artistes, et notamment Françoise Hardy, Carla Bruni, Vanessa Paradis, Julien Clerc ou encore 113. Publié en 2009, son double album « La Superbe » récolte un franc succès. Plus ténébreux voire plus rock (encore que les compos recèlent des traces de hip hop et d’électronica) son sixième opus, intitulé « Vengeance », est paru en novembre 2012, et il épingle de nombreux duos. Echangés notamment en compagnie de l’ex-Libertine Carl Barât ou d’Oxmo Puccino. C’est d’ailleurs pour défendre cette œuvre que la nouvelle coqueluche de l’Hexagone est partie en tournée…

Et si sur disque, pour réaliser ses duos, il invite régulièrement collaborateurs et collaboratrices, ce soir il assume lui-même les deux voix. Sous cette forme, « Ne Regrette Rien », le titre pour lequel il avait pourtant reçu le concours d’Orelsan en studio, constitue une des meilleurs moments du concert. Tout comme « Laisse aboyer les chiens ». Mais la plus grosse surprise nous viendra de la participation de Vanessa Paradis, lors du premier rappel. Ensemble, ils vont interpréter « Profite », en fin de parcours.

Mathis Gardel assure le supporting act. Il est surtout connu pour son single « Reste encore ». Pourtant, ce jeune songwriter ne manque pas de talent. Il appartient à la génération du renouveau de la chanson française. Il reconnaît pour influences majeures, Daho et Bashung. Ce qui explique sans doute pourquoi Biolay l’a emmené dans ses bagages. Il faut dire que l'on a déjà vu et entendu pire comme première partie, d’autant que dans son style, il s’en sort plutôt bien, et puis, il a une bonne voix.  

Ce soir, Biolay sera généreux. Et va proposer un spectacle de deux heures, en forme de ‘best of’. Car non seulement il va interpréter les meilleurs morceaux de son dernier elpee, mais également, ses classiques, prenant bien soin d’équilibrer ancien et nouveau répertoire. Benjamin Biolay est une valeur sûre, en ‘live’, et il va de nouveau le prouver ce soir…

Il est 20h35. Le chiffre ‘600’ s'affiche en lettres lumineuses au fond de la scène. Une voix cynique résonne dans les haut-parleurs. Elle communique ‘Biolay fait de la pop française comme de la pop anglaise mais en moins bien’. Autodérision ? Benjamin et ses acolytes débarquent alors sur les planches et le spectacle peut commencer…

Après un "Cactus Concerto" déconcertant, Benjamin et ses musicos attaquent « Sous le lac gelé ». Le son est excellent. La formation très soudée. Benjamin Biolay paraît à l'aise sur scène. Sa voix est grave et profonde. Les arrangements sont particulièrement soignés. Il arpente le podium de long en large et lève parfois le poing, quand la foule l'acclame. Les guitares incisives ont leur mot à dire et on est ici très loin de la variété française. Le groupe s’autorise même une incursion dans la dance sur « Rendez-vous qui sait », l’électro pop (« A l’origine ») et même le funk (« Qu’est-ce que ça peut faire » et « Padam »).   

‘C'est bien d'être ici, ça fait longtemps’ déclare le chanteur, avant de se lancer dans une splendide interprétation de « La Superbe ». Une des ballades qui reflète parfaitement son univers mélancolique. Celui où il communique le mieux ses émotions. Et ces ballades seront nombreuses ce soir, puisqu’il exécutera également « La pénombre des Pays-Bas », « Aime mon amour », « Chère inconnue », « Ton Héritage » ainsi que « Confetti » (NDR : sur l’elpee, c’est Julia Stone qui lui donne la réplique).

Le public en veut encore et le Caladois réapparait sur le podium, suivi par la silhouette d'une dame. On entend les premières notes de "Profite" et une immense ovation s’élève de la foule pour accueillir Vanessa Paradis, venue en guest partager la scène avec Benjamin. Le public est ravi et le Français revient une seconde fois pour interpréter « Marlène est aux Anges ». Au bout de 120 minutes, il clôt sa prestation par l’incontournable « Les Cerfs-Volants ». Un chouette concert !

Setlist :

Cactus concerto
Sous le lac gelé
La Superbe
La pénombre des Pays-Bas
Dans la Merco Benz
Laisse aboyer les chiens
Aime mon amour
Chère inconnue
Rendez-vous qui sait
Qu'est ce que ça peut faire
Ton Héritage
Ne regrette rien
Dans mon dos
Confettis
Ground Zero Bar
15 septembre

Personne dans mon lit
A l'origine
Padam 

1er rappel

Profite (avec Vanessa Paradis)

2ème rappel

Marlène déconne
Les cerfs-volants

(Organisation AJA concerts)

 

Hard Rock International organise le Hard Rock Rising, soit la plus grande ‘Battle of the bands’ au monde.

Hard Rock Rising soutient des groupes de musique locaux pleins d’avenir à travers le monde et leur permet de réaliser leur rêve ultime : faire une tournée mondiale dans plusieurs Hard Rock Cafes, tourner un clip vidéo, enregistrer un album avec Hard Rock Records et recevoir de nouveaux équipements et instruments de musique d’une valeur de 10 000 dollars.

Pour participer, les groupes belges peuvent s'inscrire dès maintenant sur la page Facebook de Hard Rock Cafe Brussels (www.facebook.com/hardrockcafebrussels). Tout le monde peut y participer, mais ce sont les fans qui décideront de qui sera sélectionné pour participer au second tour de la compétition. Les fans pourront voter en téléchargeant gratuitement les chansons des groupes participants sur la page Facebook.

(D’après communiqué de presse)

 

- C'est le duo bruxellois Bishop Dust qui a remporté le Prix du Jury, qui comprend une dotation de 750€ de la Communauté Française et une autre de 750€ de la Ministre de la Culture.

- Le Prix Red Bull Music Academy pemettra quant à lui à Axhan Son à se produire à la prochaine Red Bull Music Academy Bass Camp à Anvers.

- L'asbl Court Circuit, qui fête ses 20 ans cette année, avait pour la première fois décidé de mettre en avant les musiques électroniques en ouvrant cette nouvelle catégorie a son désormais célèbre concours. Court Circuit espère vraiment que ces différents prix serviront de véritable rampe de lancement aux lauréats.

Pour écouter Bishop Dust, c’est ici https://soundcloud.com/bishop-dust

- Palmarès complet du Concours Circuit Electronique

     Prix du jury comprenant : Bishop Dust

        Prix Fédération Wallonie-Bruxelles : 750 €

        Prix de la Ministre de la Culture : 750 €

        Prix Red Bull Music Academy: Invitation à la prochaine Red Bull Music Academy Bass Camp à Anvers : Axhan Sonn

    Prix International « 78 tours »: participation au plateau européen aux Transmusicales 2013: Ucture

    Prix coup de cœur « Les Ardentes »: présence à l’affiche de la prochaine édition des Ardentes ou des Transardentes: Bishop Dust

    Prix coup de cœur « Recyclart»: présence à l’affiche de la prochaine saison: Ucture

    Prix coup de cœur « Rockerill »: présence à l’affiche de la prochaine saison: Ucture

    Prix coup de cœur « Aralunaires »: présence à l’affiche de l’édition 2013: Axhan Sonn

    Prix coup de cœur « Bucolique »: présence à l’affiche de l’édition 2013 du festival: Axhan Sonn

    Prix coup de cœur « Dour Festival »: présence à l’affiche de l’édition 2013 du festival: Bishop Dust

    Prix coup de coeur "Elektronik Nordik Impakt" (France): Bishop Dust

    Prix coup de coeur "La Cave aux Poètes": présence à l’affiche de la prochaine saison: Axhan Sonn et Bishop Dust

    Prix coup de coeur "Openfileds" : présence à l'affiche du prochain festival: Bishop Dust

    Prix coup de coeur "Beat Bang" de la Médiathèque: une tournée en médiathèque (Charleroi, Namur, Bruxelles - et autres villes à confirmer): Axhan Sonn

    Conflikt Arts offre à tous les finalistes une carte de réduction de 5% sur tout le magasin Conflikt’Arts

- La compilation CD des 4 finalistes offerte par Conflikt Arts est dès à présent disponible!

(D’après communiqué de presse)

www.court-circuit.be

 

La coopérative du Vieux Moulin d’Ecaussinnes qui a vu défiler des artistes comme Agnès Obel, Thomas Fersen, Charlie Winston, Saule, Dan San, Antoine Hénaut, Suarez, Oscar & The Wolf , Lisa Hannigan ou encore Eté 67 va devoir fermer ses portes fin 2012. Elle a besoin de soutien !!!

https://www.facebook.com/vieux.moulin.ecaussinnes?ref=ts&fref=ts

www.vieux-moulin.be

 

Ce 18 mai, l'Académie Charles Cros a remis ses ‘Coups de cœur Chanson’ 2012 au festival ‘Alors Chante’ à Montauban. Vincent Liben et son album éponyme (Pias) a reçu le Coup de Cœur francophone 2012.

Parmi les autres lauréats 2012 figurent Barbara Carlotti, Aldebert, Claire Denamur, Liz Cherhal et Cyril Mokaiesh.

Les détails sur le site de l'Académie sur http://www.charlescros.org

(D’après communiqué de presse)

 

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