Barnabé Mons rend hommage à un chat… sauvage…

Chanteur-batteur dès l’âge de treize ans, le Lillois Barnabé Mons a transité par la bagatelle de neuf formations, avant de se lancer en solitaire, soit après 28 ans de carrière. « Bunker Superstars », son premier elpee, est paru ce 2 juin 2023. Et il vient…

logo_musiczine

Glass Beams signe chez Ninja Tune

Glass Beams, groupe énigmatique établi à Melbourne, s'inspire de son héritage indien, infusant son psychédélisme serpentin d'instrumentations cosmiques et de polyrythmies du monde. Son premier album, « Mirage », enregistré en home studio, est une fusion…

Trouver des articles

Suivez-nous !

Facebook Instagram Myspace Myspace

Fil de navigation

concours_200

Se connecter

Nos partenaires

Nos partenaires

Dernier concert - festival

Vive La Fête - 11/04/2024
frank_carter_and_the_ratt...
Administrator

Administrator

Après avoir vendu 30 millions d’albums, The Cure revient avec un nouvel album studio, « 4:13 Dream », qui est déjà le 13e à leur actif. Mené par le chanteur/guitariste, Robert Smith, le line-up du groupe comprend également les anciens membres Simon Gallup à la basse, Jason Cooper à la batterie et le guitariste Porl Thompson. Avant la sortie de cet opus, 4 singles ainsi qu’un EP ont été commercialisés depuis le mois de mai.

(d’après communiqué de presse)

Date de sortie: 24.10.2008

Tracklisting:

1. Underneath The Stars 
2. The Only One 
3. The Reasons Why 
4. Freakshow 
5. Sirensong 
6. The Real Snow White 
7. The Hungry Ghost 
8. Switch 
9. The Perfect Boy 
10. This. Here And Now. With You 
11. Sleep When I'm Dead 
12. The Scream 

13. It's Over

Pour plus d’infos : http://www.thecure.com

 

 

mardi, 28 octobre 2008 21:00

Full Body Workout Volume 4

Déjà tout auréolé des succès de M.A.N.D.Y. ou encore de Matthew Dear, le label berlinois Get Physical confirme son statut de bonne forme, en présentant sa nouvelle compilation électronique « Full Body Workout Volume 4 ». Un peu à l’image du Kitsuné en France, Get Physical propose de nouveaux artistes issus majoritairement de la scène deep house, mais comble aussi ce volume par la présence d’électroniciens déjà réputés tels que Lopazz ou encore Elektrochemie. La musique dispensée sur cette quatrième galette se décline sous une forme minimaliste. Et dès Jona et son « Blackened » aux beats exotiques, on en a une belle illustration ; même si cette plage reflète bien l’image dansante de cette compile. Comme bien souvent chez les labels allemands, la perfection est de mise, à l’instar du très technique « Baléa » de Einzelkind vs Meat. Beats racés, profonds et soutenus, les titres s’enchaînent jusqu’au très carnavalesque « Downtown » des Italoboys, évoquant ici une image de Gilles de Binche sous acide. Excellent ! Et la suite ne suscite jamais l’ennui. On atteint même le sommer de l’elpee lorsque Ida Engleberg  & David West nous balancent leur « The Giant From Nibiru », une perle qui risque fort de faire chavirer les dancefloors. Nuances rythmiques, gros synthés et énergie alimentent ce morceau absolument splendide.

 
 

Grâce à ce « Full Body Workout Volume 4 », le label Get Physical se pose autoritairement comme une des meilleures écuries électro du moment. Au fil des années il a démontré son engagement auprès des artistes et sa rigueur dans le travail. Aussi, ce recueil est une juste récompense de leur investissement ; un disque qui régalera, j’en suis certain, tous les amateurs de clubbing !

samedi, 18 octobre 2008 19:50

Un film consacré à Patti Smith

Ce 16 octobre est paru le premier film consacré à Patti Smith. Il s’intitule « Dream of life » et a été realisé par Steven Sebring.

Femme, artiste, poétesse, chanteuse, récitante, peintre, mère, militante, photographe… Patti Smith, pesonnalité exceptionnelle aux talents multiples, est une légende. Marraine du mouvement punk dans les années soixante-dix, elle est plus qu’une icône du rock : elle est une icône tout court. Née en 1946 à Chicago d’un père qui fut chanteur de jazz et d’une mère ouvrière, elle découvre la musique en écoutant les Rolling Stones, le Velvet Underground, et James Brown. En 1967, elle s’installe à New York et rencontre le photographe Robert Mapplethorpe. Son premier single, en 74, est une reprise du Hey Joe de Jimi Hendrix, un an avant l’album Horses qui est produit par John Cale. Le début de la légende…

L’exposition qui lui a été consacrée à la Fondation Cartier à Paris au printemps a mis en lumière son aura d’artiste engagée et de rockeuse fascinée par Arthur Rimbaud et William Blake : des milliers de visiteurs, une couverture médiatique sans précédent, Patti Smith était de retour et elle était partout…

Quant au film de Steven Sebring, il a attiré tous les regards lors de sa diffusion sur Arte le 25 mars dernier, et la promotion considérable dont il a bénéficié (notamment la une de Libération), est à la hauteur de sa qualité. Seul film documentaire existant sur Patti Smith, « Dream of life » nous plonge dans son parcours unique et il explore son expression artistique sous toutes ses formes. Pendant onze ans, Sebring a accompagné la chanteuse, et il a su la capturer à travers ses témoignages, ses peintures, ses photographies, sans oublier ses combats. En dehors de quelques moments spectaculaires sur scène, on relève plusieurs moments de choix comme cette lecture d’un poème d’Alan Ginsberg où Patti Smith est accompagnée de Philip Glass au piano qui vous coupe tout simplement le souffle.

(d’après communiqué de presse)

Pour voir la vidéo de « Gloria » sur Dream of life

http://www.youtube.com/watch?v=2LGdKJdZjkg
http://www.wat.tv/video/patti-smith-dream-of-life-gloria-znmm_iedf_.html
http://www.dailymotion.com/jeansanteuil/video/x705x4_patti-smith-dream-of-life-gloria_music
http://www.wideo.fr/video/iLyROoafYpdC.html

 

 

C’est ce 24 octobre que paraîtra le cinquième album studio de Snow Patrol. Il a été enregistré cet été dans le studio Hansa à Berlin, là où David Bowie a enregistré ses albums ‘Low & Lodger’. L’album a été écrit par Snow Patrol et produit par Jacknife Lee (Bloc Party, REM, U2, etc.) Snow Patrol est un des groupes britanniques qui s’est le mieux vendu cette décennie. ‘A Hundred Million Suns’ est le successeur de ‘Eyes Open’, sorti en 2006, un album qui s’est vendu à plus de 4,5 millions d’exemplaires dans le monde. L’album sort en deux formats dont une édition limitée avec un DVD reprenant 4 titres live + interview + extraits du ‘making of’ de l’album.

(d’après communiqué de presse)

Tracklisting :

1. If There's a Rocket Tie Me To It 
2. Crack The Shutters 
3. Take Back The City 
4. Lifeboats 
5. The Golden Floor 
6. Please Just Take These Photos From My Hands 
7. Set Down Your Glass 
8. The Planets Bend Between Us (For You) 
9. Engines 
10. Disaster Button 
11. The Lightning Strike 

Pour plus d’infos : http://www.snowpatrol.com

 

 

samedi, 18 octobre 2008 19:49

Azymuth rend hommage à Herbie Hancock

En intitulant leur nouvel album « Butterfly », Azymuth a voulu rendre un hommage à Herbie Hancock. Et pour cause, « Butterfly » est une des compos du célèbre musicien de jazz, qu’ils reprennent d’ailleurs sur cet opus.

Azymuth est l'un des groupes les plus influents du Brésil et ils ont donné des concerts dans le monde entier. En mélangeant du funk, de la soul et du jazz avec la samba, Azymuth propose un son très personnel qu'il appelle “Samba Doido” (la samba folle).  Les membres du groupe incluent José Roberto Bertrami (né le 21 février 1946, à Tatui)  aux claviers, Alex Malheiros (né le 19 août 1946, dans Niteroi) à la basse et Ivan Conti (né le 16 août 1946, au Rio de Janeiro) aux percussions.

Influencé par des pianistes tels que Bill Evans et Luiz Eça (du Tamba 4), José Roberto Bertrami travaillé avec Flora Purim et  Robertinho Silva avant rencontre avec Ivan Conti dans un night club de Rio. Lors d’une visite au club Bowling Alley en 1972, ils ont rencontrés Alex Malheiros et ont décidé de former Azymuth. Leur premier album, la bande sonore pour le film O Fabuloso Fittipaldi, est sorti au Brésil en 1973. Après un certain nombre d'années comme musiciens de session pour les studios d'enregistrement de Rio et des tournées en Amérique du Sud, une apparition fructueuse au Festival de Jazz Montreux 1977 les a menés à une tournée américaine 1978 avec Airto et Flora Purim. Un contrat avec le Milestone en 1979 a abouti à une longue série d'albums éclectiques  qui a fait connaitre le groupe aux marchés américains et européens. Tous les trois membres ont aussi enregistré des albums de solo pour Milestone.

Le groupe se reforme dans les années 90. Depuis ils ont enregistré six nouveaux albums: ‘Woodland Warrior’ (1998), ‘Pieces of Ipanema’ (1999), ‘Before we Forget’ (2000), ‘Partido Novo’ (2003) ‘Brazilian Soul’ (2004) et ‘Butterfly’ (2008). Ils ont également été remixés par des artistes de talent comme 4hero, Jazzanova, Mark Pritchard, London Elektricity and Roni Size.

Aujourd’hui avec leur nouvel album ‘Butterfly’ chez Far Out, Azymuth s’inscrit comme un des groupes légendaires qui aura su faire vivre  la scène musicale de Rio sur trois décennies depuis leur début pendant l'ère de bossa-nova. Coproduit par David Brinkworth (Harmonic 33), ce disque parvient à une synthèse des éléments jazz, funk et samba que le groupe a cherchés tout au long de sa carrière. De l’aveu de David, tout l’enregistrement s’est déroulé naturellement : “ils ont tellement d’expérience, ils prennent chaque idée et la transforment en quelques secondes en une piste exploitable. Ils ont acquis une telle connaissance d’eux-mêmes qu’ils se comprennent à la seconde quand ils improvisent.”

(d’après communiqué de presse)

Pour voir la vidéo du groupe en concert cet été à LA avec Madlib en guest
http://www.youtube.com/watch?v=jPpnYHOkH68

et une autre vidéo dans un club de jazz (ambiance surchauffée)
http://fr.youtube.com/watch?v=6W9wrDsCcU4

Tracklisting:

1. Butterfly
2. Os Cara La
3. Meu Doce Amigo
4. Caititu
5. Avenida Rio Branco
6. New Dawn
7. Triagem
8. Hole in One
9. Morning
10. Next Summer in Rio

Pour plus d’infos : http://www.myspace.com/azymuth

 

 

En perdant le chèque pour payer ses cours de piano, la toute jeune Mélissa Laveaux s’est forgé un destin. Elle apprendra la musique en autodidacte. A l’oreille et dans les livres. Heureusement, sa mère écoute de la chanson à texte et du jazz haïtien en la coiffant, et son père, musicien à ses heures, a l’idée de lui offrir une guitare d’occasion à 13 ans.

Métissée la musique de Mélissa Laveaux ? Sans doute, comment pourrait-il en être autrement ? Née à Montréal en 1985 de parents haïtiens fraîchement immigrés, elle grandit à Ottawa, Ontario, dans un univers majoritairement anglophone, et doit tenter de s’intégrer à ce nouvel environnement, sans rien abandonner pour autant de sa culture d’origine, créole et francophone.

Au carrefour de ces multiples identités, Mélissa prend très vite conscience de son « décalage » avec le monde alentour. Elle dénote. Adolescente créative, elle se réfugie dans la musique et passe son temps à préparer des mixtapes de chansons à la radio, au grand dam de ses parents, tous deux professeurs, qui la rêvent médecin. Elle découvre pêle-mêle, et dans une sorte de boulimie, le folk indépendant canadien (Joni Mitchell, Feist), le trip hop britannique (Martina Topley-Bird), la musique brésilienne alternative (Adriana Calcanhotto, Os Mutantes), les stars du hip hop et de la nu-soul (Erikah Badu, Common, The Roots, The Fugees…), les grandes voix de la tradition afro-américaine (Billie Holiday, Nina Simone, Aretha Franklin) et les étoiles lointaines de la World Music (Rokia Traoré, Lhasa…).

Brassant toutes ces influences en un mélange de naïveté et d’instinct, travaillant quotidiennement sur sa guitare, Mélissa s’invente très tôt un style d’accompagnement personnel, très rythmique, et se met à écrire ses premiers textes, composer ses premières chansons. De là ce songwriting résolument contemporain, qui intègre tous ses croisements identitaires, mais au lieu de les afficher en un geste militant, choisit la voie de l’intime, de la confidence - l’aventure d’une parole définitivement libre.

Mais la musique n’est pas tout. Comme ses frères et sœurs, elle veut faire des études, avec l’ambition de travailler dans le domaine social, tout en ressentant l’extrême nécessité de s’exprimer artistiquement. « L’un ne va pas sans l’autre. J’ai besoin de musique pour vivre et de vivre pour inspirer ma musique », affirme-t-elle volontiers, avec une sacrée détermination. Etudiante à l’Université d’Ottawa, elle passe et obtient son diplôme de Bachelor en Éthique et Société.

Parallèlement elle participe aux soirées « open mic » organisées dans le pub du campus. Un jeune percussionniste, Rob Reid, la repère, l’encourage à persévérer. Assidue à l’université durant la semaine, elle part sur la route avec Rob chaque week-end et sillonne le Canada pour jouer dans les clubs. A 21 ans, elle autoproduit un album qu’elle diffuse sur myspace. Début 2007, le label No Format! la rencontre à Montréal et la prend aussitôt sous contrat. La même année, elle obtient la bourse Lagardère Jeunes Talents. Elle enregistre dans la foulée son véritable premier album, “Camphor & Copper”, construit sur les fondations de l’album autoproduit deux ans auparavant.

Exceptées deux reprises magistralement réinventées (« Needle in the hay » d’Elliott Smith et « I Wanna be Evil » d’Eartha Kitt) qui posent en quelque sorte les bornes imaginaires de son univers musical, le répertoire de cet album n’est composé que d’œuvres originales, impressionnantes de  ce mélange de maturité et de fraîcheur qui n’appartient qu’aux plus grands. Dans cet album, Mélissa libère d’un coup toute l’énergie créatrice accumulée au long de ces années d’apprentissage et  trouve d’emblée le ton juste. Les arrangements minimalistes privilégient l’énergie et l’impact poétique de ses mots. Sa voix surtout se déploie, majestueuse et fragile, profonde, sensuelle et délicieusement juvénile, creusée de remous intérieurs sous la séduction immédiate, comme travaillée par ce trilinguisme qui marque sa vie, la fluidité rythmique de la langue anglaise, la syncope nonchalante du Créole, la sophistication harmonique du Français.

Nul doute qu’avec un tel album, cette jeune canadienne d’origine haïtienne de 23 ans, fait une entrée fracassante dans le petit cercle des auteurs compositeurs interprètes les plus prometteurs de notre époque.

(d’après communiqué de presse)

L’album paraîtra ce 3 novembre

Pour plus d’infos : http://www.myspace.com/melissalaveaux

 

 

 

jeudi, 16 octobre 2008 13:54

The Sedan Vault avant-gardiste…

Le groupe de rock expérimental The Sedan Vault sortira son nouvel album « Vanguard »  le 3 novembre. Ce nouvel opus est annoncé comme allant bien au-delà des influences habituelles du punk et du rock. Un beat plus dur, des guitares plus recherchées et des arrangements oscillant de l’électronique aux cuivres ténébreux en passant par des cordes aux teintes de l’Europe de l’Est sont au menu. « Vanguard » chercherait donc à  y combiner les influences passées du groupe à celles d’autres artistes. Aussi bien du passé comme Philip Glass et The Residents. Que plus contemporains comme  The Mars Volta, Battles et Klaxons…

Comme nouvel artiste en résidence de l’AB, The Sedan Vault présentera « Vanguard » en live le 3 novembre dans l’AB Club. Le single « Unidentified flying subjects » est à l’écoute sur leur MySpace et sera en vente à partir du 20 octobre exclusivement sur leur download shop.

(d’après communiqué de presse)

Pour plus d’infos : http://www.thesedanvault.com et http://www.myspace.com/thesedanvault

 

vendredi, 10 octobre 2008 20:35

Geike Arnaert quitte Hooverphonic

Geike Arnaert a décidé de quitter Hooverphonic d’ici la fin de l’année. La chanteuse assurera encore les concerts planifiés avec Alex Callier et Raymond Geerts. Ceci n’est pas la fin du groupe. Alex et Raymond ayant décidé de continuer l’aventure Hooverphonic.

(suivant communiqué de presse)

 

lundi, 06 octobre 2008 17:22

Un nouveau Dvd consacré aux Beatles

“All Together Now”, c’est le titre du nouveau Dvd qui sera consacré aux Beatles. Il sera disponible à partir du 20 octobre 2008.

Apple et le Cirque Du Soleil ont confirmé que le DVD documentaire “All Together Now” sera distribué, à partir du 20 octobre prochain, par EMI Music. Cette parution suit une série de projections événementielles dans des festivals de cinéma aux USA, saluée par l’ensemble des médias américains.

“All Together Now” a été programmé dans de nombreux festivals américains et canadiens en 2008, enthousiasmant le public et la presse. La première du documentaire a eu lieu au festival Silverdocs de l’American Film Institute à Washington, en juin dernier, et Rolling Stone a souligné la qualité visuelle du film et celle des interviews. Le documentaire a également été formidablement accueilli au festival Cinevegas de Las Vegas, où il a été qualifié de remarquable par le Las Vegas Magazine. Après sa projection au festival Hotdocs de Toronto, Variety a fait remarquer que “All Together Now” avait emballé le public.

Une projection du film aura lieu à Londres le 9 octobre prochain lors de la seizième édition du festival de cinéma Raindance.

Le documentaire revient en détail sur la genèse et l’histoire de la collaboration unique entre les Beatles et le Cirque Du Soleil qui a mené à “LOVE”, le spectacle vivant (toujours à l’affiche au Mirage à Las Vegas), et à l’album du même nom, une merveille atmosphérique à partir de chansons des Beatles, qui a valu deux Grammy Awards à Sir George Martin et son fils Giles. Le film est dédié à la mémoire de Neil Aspinall, PDG d’Apple Corps et producteur exécutif du DVD.

“All Together Now” raconte comment le projet “LOVE”, né de l’amitié entre George Harrison et Guy Laliberté, le fondateur du Cirque Du Soleil, est devenu réalité. George était convaincu depuis le départ que des talents conjugués des Beatles et du Cirque Du Soleil, ne pouvait naître que quelque chose de nouveau et de totalement original.

Le metteur en scène, Adrian Wills, a énormément voyagé entre Londres, Montréal et Las Vegas pour enregistrer les premières réunions d’Apple Corps Ltd et du Cirque Du Soleil, et filmé les contributions de Sir Paul McCartney, Ringo Starr, Yoko Ono et Olivia Harrison, en train de discuter de la façon dont la musique des Beatles pouvait être utilisée. Adrian Wills tient à souligner aujourd’hui le caractère humain de ces rencontres.

Ces étapes ont été filmées, tout comme les premières répétitions au Théâtre de l’hôtel Mirage à Las Vegas, qui a été complètement reconstruit avec un système de sonorisation unique créé pour le spectacle “LOVE”. Sir George Martin et son fils Giles ont joué un rôle déterminant au cours de ces étapes successives, en travaillant en étroite collaboration avec l’équipe créative du Cirque Du Soleil, les acteurs et les techniciens.

Tout s’est passé comme sur des roulettes et les problèmes concernant la manière dont certaines chansons devaient être représentées visuellement ont été abordés franchement. Ces différences créatives, logiquement inhérentes à la procédure qui a consisté à faire de “LOVE” une réalité palpable, attestent de l’amour et du respect des participants pour la musique et la vision des Beatles.

En plus de leur contribution au film principal, Sir George, Giles et l’ingénieur du son Paul Hicks interviennent dans “Changing The Music”, un mini-documentaire consacré à l’aspect purement musical de “LOVE” et aux difficultés rencontrées lors de sa confection. Ils expliquent notamment comment ils sont parvenus à extraire certains instruments et effets sonores, et insistent sur le fait qu’ils ont été encouragés à expérimenter.

(d’après communiqué de presse)

Contenu du DVD :

“All Together Now”, documentaire de 84 minutes.

Bonus :

“Changing The Music” (22 minutes) – Comment les décisions de retravailler sur les bandes et de remixer les Beatles ont été prises.

“Music In The Theatre” (9 minutes) – La conception du son du spectacle “LOVE” et ses spécificités.

“Making Love” (10 minutes) – Dans les coulisses de “LOVE” à travers l’exploration de tous les aspects techniques du spectacle (de la direction artistique à l’utilisation des voix des Beatles, en passant par les costumes, les accessoires et les projections)

Pour voir la vidéo d’« All together now »
http://www.youtube.com/watch?v=wNdkE5cnkj0
http://www.wat.tv/video/the-beatles-cirque-soleil-ywvl_iedf_.html
http://www.wideo.fr/video/iLyROoafY1S5.html

 

Le nouvel opus d’Amadou & Mariam paraîtra ce 17 novembre. Il s’intitule « Welcome to Mali ».  Après "Dimanche à Bamako" vendu à plus 500 000 exemplaires dans le monde dont 300 000 en France, Amadou & Mariam ont repris cet été la route des festivals pour présenter sur scène et en avant-première les morceaux de leur nouvel album dont la sortie est fixée au 17 novembre prochain.

Réalisé par Marc-Antoine Moreau et Laurent Jaïs, qui avaient déjà opéré aux côtés de Manu Chao pour "Dimanche à Bamako", l'album comporte de nombreuses collaborations fruits de leurs rencontres faites lors de leur périple mondial de près de 3 ans pour "Dimanche à Bamako" et qui les a vu nominés aux Grammy Awards, remporter une Victoire de la Musique, chanter l'hymne de la Coupe du Monde de Football 2006 aux côtés de Herbert Gronemeyer, être remixés par le rappeur américain multiplatine Akon, assurer les 1ères parties anglaises des Scissor Sisters...

Ainsi ce nouvel album inclut un titre produit par Damon Albarn (le surprenant premier single "Sabali")  et les participations exceptionnelles de Matthieu Chédid, Keziah Jones, Tiken Jah Fakoli, le rappeur canadien d'origine somalienne K'Naan et Juan Rozoff.

Cette sortie sera précédée les 22 et 23 octobre à Londres par une édition exceptionnelle de Africa Express, l'initiative de Damon Albarn pour la rencontre des musiques occidentales et des musiques africaines, avec Amadou & Mariam. Et suivie de nombreux concerts en Europe.

(suivant communiqué de presse)

Pour plus d’infos : http://www.amadou-mariam.com

 

Page 10 sur 16