Jasper Steverlinck inspiré par Roy Orbison ?

Jasper Steverlinck vient de sortir un nouveau single. Il en parle : ‘« Nashville Tears » est l'une de ces chansons qui m'est venue à moi, instinctivement. Elle a coulé d'un seul jet, comme si la chanson s'était écrite toute seule. Elle évoque un moment très…

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Un Pycholove pour soigner Hoboken Division…

Issu de Nancy, Hoboken publiera son troisième long playing, « Psycholove », ce 14 février 2024. Cette formation est parvenue à teinté son garage/blues/rock râpeux, glacial, furieux et authentique de psychédélisme. En attendant, cette sortie, le groupe a…

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Ansatz Der Maschine

L’histoire silencieuse d’Ansatz Der Maschine…

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« The Silent Story » sera le tout dernier single du groupe mouscronnois Ansatz Der Maschine avant que le groupe ne tire sa révérence le 9 décembre lors d'un concert à guichets fermés programmé au Handelsbeurs.

« The Silent Story » est une chanson chaleureuse et réconfortante. La chanteuse Sophia Ammann (Be/Ca) raconte l'histoire d'une femme en fuite qui essaie d’encourager ses enfants. Soutenue par le violoncelle étincelant de Seraphine Stragier, la voix en devient envoûtante.

« The silent story » est en écoute

 

 

Clara Ysé

Clara Ysé et le spectre de Victor Hugo…

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C’est, d’emblée, une voix. Une voix qui soulève le sable, traverse le feu, transperce la nuit, franchit en souveraine des continents de sentiments et transporte avec elle la douleur autant que ses remèdes.

Elle est ce ‘joyau intact sous le désastre’ de Mallarmé, pierre brute inamovible malgré le chaos, miraculeux talisman resplendissant sur des musiques elles aussi serties de beauté et de bravoure.

Après un discret tour de piste en 2018 –six titres en français et en espagnol, dont le magnétique « Le Monde s’est dédoublé », Clara Ysé s’avance enfin en pleine lumière, à pleine puissance, en gravant, « Oceano Nox ». Paru ce 15 septembre 2023, ce premier long playing à la grande audace, a été écrit et composé par elle, coréalisé avec Ambroise Willaume (Sage), mixé par Renaud Letang et porté en battante grâce à des musiciens et un chœur au diapason.

A ceux qui seraient frappés par sa douceur, elle répond, dans la chanson qui porte ce nom ‘Si tu savais la haine qui coule dans mes veines, tu aurais peur, si tu savais la chienne que je cache à l’intérieur…’ Passionnelle comme les aïeuls espagnols qui la précèdent, littéraire par atavisme (elle doit l’Ysé de son double prénom au ‘Partage de Midi’ de Claudel), elle a publié un premier roman ardent, ‘Mise à feu’ (Grasset, 2021), avant le grand embrasement de cet opus qui démarre lui aussi tout feu tout flamme (« Pyromanes »).

Longtemps, Clara Ysé a laissé la musique en liberté, sans la capturer dans un studio, chantant partout où elle le pouvait et organisant des fêtes qui terminaient invariablement en impros musicales, à l’aube.

Ce premier opus est d’abord celui d’une désirante, d’une ‘obsessionnelle de la réparation’, dit-elle, qui a choisi comme plongée heureuse, la lumière féroce des profondeurs, la vitalité des grandes traversées de nuit, l’étourdissement des émotions intenses, la vie aux lisières de la transe.

Elle aime les novateurs, de Rosalia à Björk en passant par Kendrick Lamar, les chanteuses qui allient fragilité et force comme Lole Montoya, Janis Joplin, Mercedes Sosa, Nina Hagen, autant que la musique baroque et la liturgie extatique des chants grégoriens. Elle confronte sa voix à une modernité novatrice, guidée par son obsession de la recherche et son goût de la transgression, jouant autant avec ses producteurs à introduire des synthés aux textures ‘irisantes’, des rythmiques électroniques empruntant au reggaeton, qu’à s’approprier certains codes du Rébétiko grec qu’elle aime tant.

La vidéo de « L’étoile » est disponible ici

 

 

 

Hermetic Delight

Hermetic Delight pour la vie…

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Tout juste rentré d’une tournée en Angleterre, Hermetic Delight remet le couvert en partageant « Lust For Life », un nouveau single servi par un clip vaporeux à l’esthétique lynchienne, signé par la très prometteuse Laurens Saint Gaudens.

Troisième et ultime single de l’année (après « Tied Up » et « Inci »), « Lust For Life » est un hymne au moment présent, une renaissance, une prise de conscience, une envie de descendre du train en route.

Le morceau évoque une révélation qui survient à la suite des confinements successifs, un contexte qui a quand même occasionné quelques bienfaits.

À propos du clip, la réalisatrice explique : ‘Trois âmes sont échouées dans un décor surréaliste sorti des années 70. La lumière blanche du matin perce lentement ; elle redonne leur vitalité aux trois corps épuisés. Une chorégraphie musicale les anime. Ils se régénèrent et retrouvent leurs forces dans l’euphorie. C’est le décor d’une toile de Chirico qui prend vie’.

La vidéo de « Just For Life » est disponible

 

 

 

Melanie De Biasio

Melanie De Biasio revient aux sources

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Quand le festival pluridisciplinaire Europalia sollicita Melanie De Biasio pour participer à son édition de 2021 sur le thème du train et de l’immigration, la musicienne belge a eu l’idée d’un retour aux sources. ‘Pour éprouver le déracinement, je voulais remonter la route de cette immigration italienne, dont je suis le produit par mon père’.

Munie d’un matériel léger - un micro Neumann, un enregistreur numérique Edirol et un vieil appareil photo - elle s’installe solitairement dans un petit village italien des Abruzzes à flanc de montagne, Lettomanoppello, où elle se lance dans un travail d’écriture et de captation qui nourrit son projet et constitue le point de départ d’un 4ème album en deux parties, « Lay Your Ear To The Rail » et « The Chaos Azure ».

Présenté sous la forme d’un carnet de voyage musical et illustré, on y retrouve beaucoup de ce qui fait d’elle une artiste à part : un phrasé unique où chaque mot est savouré à la manière d’un fruit rare ; un timbre de voix d’une sensualité sans outrance, presque immaculée ; et surtout cette faculté à rendre au temps et à l’espace une plénitude qui résiste à la frénésie d’une époque saturée d’interférences et de bruits.

En revanche, on s’éloigne de la source afro-américaine où elle s’abreuvait jusqu’à présent pour accéder à une dimension immersive proche de l’ambient. ‘J’aime créer des paysages avec ma musique’ confiait-elle sur une radio française à la sortie de « Lilies », son précédent opus.

De cette quête « Lay Your Ear To The Rail/ The Chaos Azure », création plurielle et authentique expérience sensorielle, constitue l’aboutissement.

« Now Is Narrow est en écoute ici

 

Eddy de Pretto

De l’amour et de la tendresse pour Eddy de Pretto…

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La carrière d’Eddy de Pretto a vu le jour en 2017, quand il a sorti « Kid », un premier Ep écrit en forme de coup de poing.

Débitant ses textes seul sur scène à l’aide d’un simple iPhone pour l’accompagner, il interroge les différences, les entraves et la virilité, s’affirmant à la marge mais épousant déjà un bruit qui gronde et agite la société.

La réponse est radicale, l’engouement, immédiat.

Un an plus tard, son premier album, « Cure », prend part aux évolutions de sa génération, à ses prises de conscience comme à ses prises de position. Le succès est fulgurant : triple platine avec plus de 300 000 exemplaires vendus et quatre nominations aux Victoires de la musique. S’ensuivent deux ans de concerts ininterrompus couronnés par une tournée des Zéniths et dix soirs à l’Elysée Montmartre.

C’est dans un beau mouvement inclusif, qui part de soi vers les autres, que naît le deuxième elpee, « À tous les bâtards » (2021). Eddy de Pretto s’y dévoile dans des histoires qui, si elles n’appartiennent qu’à lui, résonnent en chacun de nous. Rapidement certifié disque d’or, ce projet vient confirmer le caractère fédérateur et populaire de l’artiste. La même année, son travail prend vie à travers une série de six dates au Bataclan et une nouvelle tournée de Zéniths à travers la France.

Début 2023, Eddy de Pretto est invité à monter une création live originale et dystopique à douze pianos pour l’Hyper Weekend Festival de Radio France : ‘Love Factory’ (captation diffusée sur France 2 le 17 mars). Au même moment débutent les réflexions autour du prochain long playing, qui veut s’éloigner des textes à tiroirs et des sujets qui dépeignent la société. Teasé par une série de concerts au cours de l’été 2023, sur une enceinte géante où Eddy de Pretto révèle des dates mystérieuses, cet LP semble ne plus trop tarder.

Tout juste deux semaines après « R+V » qui signait son grand retour, Eddy de Pretto dévoile le clip de « LOVE’n’TENDRESSE », second extrait de son 3ème album à venir cet automne. On peut notamment souligner la participation de Nick Coursier, star montante belge de la danse qui a chorégraphié le clip.

« LOVE’n’TENDRESSE » est une sorte de mantra libérateur composé dans un climat de plus en plus étouffant, pour s’offrir un espace à soi, rempli d’amour et de tendresse et aller chercher la lumière ailleurs.

Eddy sera en tournée en 2024 qui passera par La Madeleine de Bruxelles, le 2 mars 2024, date qui est d'ores et déjà complète.

Le clip de « LOVE'n'TENDRESSE » est disponible ici

 

Empty Head

Les contes de l’Homme moderne d’Empty Head

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Après avoir dévoilé deux singles, « Modern Man » en avril et « Violence » à la mi-septembre, Empty Head, jeune groupe de rock alternatif liégeois, a sorti son second Ep, « Tales of a Modern Man », ce 29 septembre 2023. Il fait suite à un premier, éponyme, paru il y a déjà deux ans.

Brut, mais subtil, viscéral, énergique et imprévisible, il est axé sur la thématique de l’Homme moderne. Cinq titres garage aux riffs acérés et stoner et aux mélodies infectieuses.

La force de frappe qui en découle sert d’appui à Simon Galloy pour déclamer ses textes critiques, empreints d’ironie, brosser un portrait plutôt pessimiste de l’Homme moderne, de son quotidien, de ses questionnements et de la société dans laquelle il évolue.

Cette fois encore, le groupe a privilégié une approche entièrement DIY, son batteur, Thibault Schouters, assurant seul l’enregistrement et le mixage de « Tales of a Modern Man ».

Issu de ce nouvel Ep, « Violence » en écoute ici

 

Brune ((France)

La vengeance d’une Brune…

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Brune, auteure-compositrice-interprète, n’est pas une néophyte au sein du paysage sonore français. Il y a 13 ans que cette Lyonnaise d'origine mène son parcours musical dans la jungle parisienne qui nourrit ses inspirations.

Libérant une énergie rock, son nouvel Ep, « Vendetta », est plus direct et tranchant, aussi bien dans la musique que dans les mots. Des références ? Niagara, à cause de la fougue. Une Britney Spears... passée dans une pédale fuzz ! Ou encore The Kills, Garbage, PJ Harvey, voire Marilyn Manson pour les riffs de guitares. Mais attention, toujours dans la langue de Verlaine !

« Vendetta » clame une colère mais qu’il faut prendre comme une émancipation, un affranchissement, une urgence de vivre.

Brune ose être elle-même sans se soucier du regard des autres, des conventions, et elle le chante haut et fort. Sa musique vous secoue la tête, le cœur ou les jambes. On vous laisse choisir.

Brune ne compte pas se laisser faire et proclame sa « Vendetta », à découvrir dans un clip saignant réalisé par Tatiana Zavialova et Ciprian Barrière. Et il est disponible

 

 

Nature Morte

Nature Morte annonce la pluie…

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Nature Morte a sorti « Oddity », son troisième album, ce 29 septembre 2023. Oscillant toujours entre post-metal, shoegaze et influences 80's, l'empreinte sonore de Nature Morte se veut plus transcendante que jamais. Après « Banquet Overflow For The Mind House », le trio vous propose de découvrir le lumineux « Here Comes The Rain ». Un nouveau single sur lequel le groupe invite Cindy Sanchez, chanteuse du groupe de dark folk, Lisieux.

L’adage veut que le troisième opus d’un groupe soit celui de la maturité. Pour Nature Morte, c’est plutôt celui de la singularité. Si « Oddity » a le même ADN que ses précédents elpees, et en est leur suite logique, sa particularité réside dans cette volonté incessante d’exploration.

Comme dans tout LP de Nature Morte, l’alchimie entre rythmiques, harmonies et mélodies demeure intacte. Mais sur ce troisième long-format le trio s’offre une liberté créative criante. De ses influences 80’s disséminées discrètement à cette reprise de l’intemporel classique de Deftones, « Fireal », Oddity dessine un univers à part dans la discographie de Nature Morte.

La formation francilienne ne se réinvente pas : elle mue. Une fois de plus, elle n’a que faire des étiquettes stylistiques habituelles. Elle suit ses propres règles quitte à s’auto-cataloguer, presque ironiquement, comme de l’indie-metal.

« Here comes the rain » Feat. Cindy Sanchez est à écouter ici

 

François Staal

Ce qu’il a de beau dans la musique de François Staal…

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Poète rock à mélopées, François Staal nous a offert son septième album « L'humaine Beauté » en décembre dernier. Son univers évoque ceux de Nick Cave, Bashung, Manset, Pink Floyd ou Dominique A…

Nouvel extrait, « Ce qu'il y a de beau » est devenu le titre phare du répertoire de François Staal. Il est ainsi souvent joué en final des concerts de la tournée. Cette chanson d’espoir au texte poétique invite à magnifier, à célébrer le meilleur de nous-même et de nos existences, à faire vivre les beautés du monde et de l’art, comme une barrière aux violences. Un espoir de vie, de rencontres et de partages pour célébrer nos fraternelles beautés d’être humain.

La musique orchestrée à base de guitares rock, de basses aiguës un peu 70/80’s, d’orgues Hammond et de batterie ‘old school’, nous entraine dans un monde musical à la fois moderne et vintage. Ce qu'il y a de beau est à découvrir en vidéo et avec la tournée « Avec Vous ».

Le clip de « Ce qu’il y a de beau » est à découvrir

Lux Montes

Le temps des galaxies appartient à Lux Montes…

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Sur une ballade folk évoquant des temps psychédéliques, Lux Montes compose une ode à la nature.

La musicienne s'imagine que notre planète s’adresse au Vivant en scandant ce refrain : ‘je suis née au nom de l’amour’.

Comme si celle-ci nous demandait de respecter tout ce qu’elle porte en son sein : vivants, minéraux et végétaux.

Un voile d’organza ponctue le paysage pour symboliser l'omniprésence et l'empreinte de l'activité humaine sur les espaces de vie. Le film est une invitation à la contemplation, à la paix et à l’amour. Un hymne à la beauté simple et pourtant si puissante qui nous entoure et dont nous faisons partie.

La chanson « Le temps des galaxies » est extraite de l'album « La Traversée », paru le 24 mars 2023.

Magicienne de la chanson, Lux Montes brode sa poésie dans les tissus de l’âme.

À l’écart des refrains balisés, la chanteuse façonne un univers raffiné et envoûtant.

Sur son nouvel opus, « La Traversée », Lux Montes renoue avec sa langue maternelle et se dévoile un peu plus encore.

Dans un voyage piano-voix bordé d'incursions électroniques, elle nous convie à des instants intimes et puissants, d’inspiration néo-classique.

À écouter les yeux fermés et l’esprit grand ouvert !

« Le temps des galaxies » est à découvrir sous forme de clip ici

 

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