RIVE sous tension…

Entre la nuit et le jour, RIVE propose "Tension", un 4ème extrait de son album "Collision", sous forme de clip. La photographe et réalisatrice Laetitia Bica (prix du ‘Changemaker de l’année 2023’ au Belgian fashion awards) emmène le duo dans la nuit des…

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Les décibels de Chatte Royal…

Le premier elpee de Chatte Royal, « Mick Torres Plays Too Fucking Loud », paraîtra ce 8 mars 2024. Fondé en 2020 par Diego Di Vito, Dennis Vercauteren et François Hannecart, et rejoint par Téo Crommen en 2021, il compte deux Eps à son actif, « Septembre », en…

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Sjock 2023 – du 12 au 14 juillet 2024 – Gierle – Photos

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Les organisateurs peuvent se féliciter d'une édition réussie. Beaucoup de monde, une météo qui n'a pas joué les trouble-fête malgré les prévisions et beaucoup de bonne musique, un patchwork de genres et de styles. Stiff Richards est venu s'ajouter à l'affiche du vendredi. Le dimanche a été, de loin, la journée la plus intéressante. Musiczine a assisté à deux des trois jours...

L’affiche

Vendredi 12 juillet

The Hellacopters
Moonshine Wagon
The Sha-La-Lees
Dale Watson & his Lone Stars
Stiff Richards
Bob Wayne and the Outlaw carnies

Samedi 13 juillet

Eagles of Death Metal
Red Hot 'n' Blue
Fu Manchu
Boogie Beasts
Wallaroos
Marky Ramone's Blitzkrieg
Private Function
La Perra Blanco
Zeke
The Real Sickies
Jimmy Dale Surf Trio
Crooked Steps
The Spits
Barno Koevoet en de Duijmschspijkers
Tankzilla
Lovesick Duo
Itches
Truck Stop Cutie

Dimanche 9 juillet

Cock Sparrer
The Seatsniffers
Cadaster Jon Combo
The Kokomo Kings
The Bronx
Wine Lips
No Fun At All
Slim Cessna's Auto Club
Les Lullies
Reverend Peyton's Big Damn Band
Eddie and the Hot Rods
His Lordship
Tuesday Violence
Hola Ghost
Lobo Jones and the Rythm Hounds
Savage Beat
The Drowns
Honeyboy Slimand the Bad Habits
Midnight Tattoo

Pour les photos, c’est

 

 

Bospop 2023, Weert - 7 au 9 juillet 2023 - Photos

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Lors de l’édition 2023 du Bospop, des dizaines d'artistes internationaux se sont produits sur trois scènes. Un camping confortable avec tous les équipements nécessaires a été installé et un marché du festival avait été organisé. Bref, l’ambiance était au zénith. Jusqu’au samedi, car le festival a été annulé le dimanche. Un code orange avait été décrété par prévention, car des orages étaient annoncés pour l’après-midi. Outre les averses, il y avait un risque de chute de grêles de 2 à 4 cm de diamètre et de fortes rafales de vent de 75 à 100 km/heure. Ces phénomènes peuvent être dangereux. En raison de ces conditions météorologiques extrêmes, le gouvernement local a décidé, en concertation avec l'organisation, d'arrêter le festival Bospop pour des raisons de sécurité.

Cette édition a été un festival de l'extrême. Les deux premiers jours ont été marqués par une chaleur torride et le dimanche a donc dû être annulé en raison de l'approche de conditions météorologiques difficiles. Le public a compris la décision et les jours où le site était ouvert, le Bospop s'est avéré être particulièrement convivial.

Le reportage photo ne concerne que la journée du samedi 8 juillet 2023.

Programme

Vendredi 7 juillet

Simply Red, Rag'n'Bone Man, The Analogues, Clouseau, Young Gun Silver Fox, BZB, Blackbird, DAAN, Harlem Lake

Samedi 8 juillet

Porcupine Tree, +LĪVE+, Nile Rodgers & Chic, Rowwen Hèze, The White Buffalo, Stahlzeit, ISE, Riverside, Sven Hammond, Träcksäck, Voltage, Ray Wilson, Ten Times A Million

Lundi 9 juillet

Zucchero, Joe Bonamassa, Racoon, Billy F Gibbons, Eric Steckel, DI-RECT, Son Mieux, Southside Johnny & The Asbury Jukes, The BossHoss, King King, Leif de Leeuw Band, Boaz, The Waterboys

Pour les photos, c’est

Org : Bospop

 

Cactus Festival 2023 – du 7 au 9 juillet – Minnewaterpark, Bruges – Photos

Line up

Le vendredi 07 juillet

Arsenal / Goose / Charlotte Adigéry & Bolis Pupul / Goldband / Aili

Le samedi 08 juillet

The Libertines / Madrugada / The Vaccines / The Haunted Youth / Merol / Portland / High Hi / Loverman

Le dimanche 09 juillet

Tamino / Rósín Murphy / Kurt Vile & The Violators / Kim Gordon / The Comet Is Coming / Shame / Slow Crush / Tsar B

Pour les photos, c’est

 

Jason Glasser

Jason Glasser piscivore ?

Écrit par

Américain, Jason Glasser, musicien, artiste peintre, sculpteur et vidéaste, établi depuis 20 ans à Paris par amour pour une Française, aura pris son temps pour sortir un premier elpee éponyme après en avoir publié un comme membre du groupe new-yorkais Clem Snide, puis chanteur au sein de Fruitkey, de ce côté-ci de l’Atlantique. Si les 12 chansons de Pelican sont enregistrées en seulement deux jours dans le studio parisien Spookland en 2020, elles ont été écrites et composées sur une période d’une dizaine d’années, testées voire affinées lors de vernissages d’expositions.

En 2015, les deux amis, Jason Glasser et Etienne de Crécy (pionnier, tout comme Super Discount, de la ‘french touch’ électronique de la fin des années 1990, gravent le titre New Wave, parenthèse estivale entre surf music et électro pop, interprété et coécrit par Jason.

Fini de crier, Jason ne cache plus sa voix. Il s’accompagne sur « Pelican » au violoncelle et à la guitare, secondé aux percussions, à la trompette et au synthétiseur analogique Buchla par l’activiste pop Jérôme Lorichon, troisième homme du groupe Zombie Zombie.

Spectateur des concerts acoustiques de Jason dans les galeries d’art, puis auditeur de versions toujours plus retravaillées et réarrangées, Étienne suggère à contrario un mixage radical de ses magnifiques miniatures (aucune ne dure plus longtemps que 3 minutes et demie…) De revenir à leur épure, de les dépouiller de leurs arrangements pour n’en retenir que la vérité toute nue, persuadé de leur beauté au naturel. Et Jason de valider la vision artistique d’Étienne, poussée à l’extrême pendant les 100 secondes d’« Anthem », où le chant se passe totalement de la musique d’accompagnement d’origine, pourtant limitée à un violoncelle et une batterie discrète.

Le titre de l’opus, « Pelican », se réfère au surnom attribué à Jason par son ami Alexandre Courtès, directeur artistique, graphiste et réalisateur, jadis moitié du binôme Alex & Martin responsable, entres autres, de vidéoclips du « Seven Nation Army » des White Stripes. Fort d’un vrai sens de l’humour, Jason s’accepte Pelican : à chaque fois qu’il veut raconter une histoire, son français parfois encore hésitant le fait trébucher sur les premiers mots, laisse augurer le pire, avant que la magie n’opère et qu’il ne transporte son auditoire pour finir par emporter le morceau.

Jason Glasser a beau raconter les histoires de façon brinquebalante, il arrive toujours à bon port, comme ses chansons. Il a donc logiquement demandé à Alex Courtès de signer la pochette de « Pelican ».

Le clip consacré à « Good luck » est disponible

 

An Eagle In Your Mind

Les épaules larges d’An Eagle in your Mind

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Comme une horde déferlant à travers une plaine déserte, An Eagle in your Mind est responsable d’un folk/rock d’un genre nouveau.

Sans complexe, le duo mêle au son de la guitare folk celui d’un harmonium indien, de percussions analogiques, de drones vibrants ainsi qu’une voix spectrale qui chante la révolte et le possible.

Le tandem s’est formé en marge, à bord d’un vieux camion Mercedes aménagé en studio d’enregistrement nomade, qui les a menés des confins de l’Europe aux portes de l’Orient, des grandes capitales aux zones interlopes où fomente l’espoir d’une jeunesse en rupture.

Porteur d’un folklore qui n’est pas encore né, An Eagle in your Mind devance l’histoire sombre et hypnotique qui se raconte sous ses rhapsodies d’égarés. C’est une musique pour un peuple en devenir, un peuple de migrants. L’arrivée au carrefour de deux mondes : c’est ce que son nouvel opus, « Intersection » ne cesse d’invoquer...

Après la sortie de son troisième elpee, "Intersection", ce 31 mars 2023, et de son premier single/clip "Desert Land", il nous propose la session live du single "On Your Shoulders".

Les nuées gazeuses qui semblent habiter les riffs de guitares psychédéliques et seventies, le rythme terrestre et organique issu des profondeurs de la machine, la mélopée sourde et lancinante de l'harmonium indien bourdonnent ; et puis la clarté subite et solaire du chant guerrier et incantatoire forme une sorte d'origine du monde, un bigbang toujours recommencé.

Ce titre se teinte d'éclats d'ombres et de lumières ; explosion d'obscurité et de clarté. Un théâtre d'ombre chinoise où l'espoir se dessine sur la variation infinie d'un rythme qui est une invitation à la transe, à la rupture.

La session ‘live’ est à découvrir ici

 

 

 

 

 

 

 

St Franck

Les rêves baléariques de St Franck…

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La deuxième chanson fulgurante et sinueuse de St Franck, "Balearic Dreams", fait logiquement suite au titre "Somehow", sorti fin mars 2023. Une invitation au voyage de son premier LP, "Cavalier Solaire".

Balearic Dreams est une fusion menant à un classique four on the floor, des nappes de synthé des années 80, une mer de vocodeur franglais et des mélodies entraînées par des guitares jangle.

Les 808 rythmes et les lignes de synthé accrocheuses rappellent le dernier album de Phoenix (ou un duo de robots légendaires désormais très anciens), assurant une connexion nostalgique que seuls les vrais fans de Hi-Fi feront tourner lors d'un apéritif solitaire au coucher du soleil.

L'inspiration s'étend même jusqu'à la nouvelle expérimentation Moog super filter qui s'ouvre et se referme comme un DJ, mêlant toutes ces ambiances oniriques et productions techniques complexes (flanger, reverbs et echo tape delays).

Le résultat est une chanson qui semble à la fois surnaturelle et profondément enracinée dans St. Franck, son noyau émotionnel et sa production musicale.

Enfin, des synthés et des effets ajoutés de Petit Fantôme (Juno 106, Vermona PerFourmer synth & Oto Machines) embellissent le paysage sonore.

Partez en évasion cet été avec "Balearic Dreams" de St. Franck avant d’atterrir sur son album "Cavalier Solaire". Tendez l’oreille ici

 

Frédéric Bobin

Frédéric Bobin ignorait qu’il avait des ailes…

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Après des études de Lettres modernes (notamment un travail universitaire sur l’œuvre de Boris Vian) et une dizaine d’années de cours de guitare classique, Frédéric Bobin quitte sa Bourgogne natale en 2003 pour s’installer à Lyon où il commence à se produire sur scène, interprétant des chansons co-écrites avec son frère Philippe depuis leur tendre enfance. Deux albums parus à tirage confidentiel (« Les Salades » et « Les Choses de l’Esprit ») témoignent de ces années de formation.

Frédéric Bobin sillonne depuis une quinzaine d’années les routes de France et d’ailleurs pour chanter ses folk songs humanistes. Des chansons tantôt intimes tantôt sociales qui prennent leur source chez Souchon et Lavilliers comme chez Dylan et Springsteen.

Il s’est produit en supporting act d’artistes prestigieux : CharlÉlie Couture, Sanseverino, Carmen Maria Vega, Aldebert, Jamait, Oldelaf, Clarika, Allain Leprest, Amélie-Les-Crayons, Alex Beaupain et a chanté dans quelques salles parisiennes mythiques, telles que La Cigale, Le Trianon et récemment L’Olympia, invité à ouvrir la soirée par Gauvain Sers.

Sa soif de rencontres se traduit dans de nombreuses collaborations : en parallèle à ses albums et ses tournées, Bobin a récemment créé deux spectacles dans lesquels il mélange son répertoire en compagnie de deux amis artistes, Michèle Bernard et Kent.

Le clip de « J’ignorais que j’avais des ailes » est disponible ici

 

 

Perfecto

Perfecto, le petit homme…

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Après la sortie avoir sorti un concept album, "Quasar Of Love", en avril dernier, et premier clip baptisé "Try To Fly", Perfecto nous propose son second, "Little Man", réalisé par Ronan Lagadec.

Il a été tourné au château de Dino à Montmorency, structure d'accueil dans laquelle Toni (chanteur du groupe) a passé son enfance.

Le titre, parlant de Bobby Blackheart (crooner du 31ème siècle), qui chante à l'enfant qu'il n'aura jamais les raisons de son (ce) choix, ne pouvait trouver plus bel écrin, aussi bien graphiquement que symboliquement.

Souhaitant coller à l'univers rétrofuturiste de Perfecto, le groupe a donné un visage robotique à ce crooner et l'a fait virevolter dans cette salle bicentenaire.

L'ambiance se situe entre rêve et réalité, suspendue entre le passé, le présent et le futur.

« Little man » est disponible sous forme de vidéo ici

 

 

Blaubird

L’horizon infini de Blaubird…

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Paru en single, "Tes mots dits" est un extrait de l’elpee, “Le Ciel est partout”.

Une animation entièrement réalisée par la dessinatrice Brouette Hurlante

‘Je suis extrêmement fière que le travail de Brouette Hurlante, dont l’étrangeté et la force m’ont immédiatement hypnotisée, donne ainsi vie aux personnages de ma chanson ! Elle m’a fait un incroyable et merveilleux cadeau.’ BlauBird

‘Cette histoire est (…) un chassé-croisé. Elle m’évoque une course entre deux êtres qui vont l’un vers l’autre mais ont paradoxalement du mal à se rejoindre, il y a quelque chose de serré, comme un corps à corps, tendre et douloureux à la fois …’ Brouette Hurlante

Une valse à l’infini, réelle ou imaginaire …

À propos de la chanson :

Ces mots, que les amants se disent la nuit, dans le secret de leur amour, et que chacun protège ensuite, dans le secret de son âme ou de son cœur, sont autant de balises pour retrouver son chemin vers l’autre. Ces mots-là suffisent-ils pour cerner un amour ? Pour nourrir un amour ? Peut-on compter sur ces mots-là ? Chacun l’espère. Chacun se remémore.

Mais les mots sont aussi les maux-dits, maudits parfois parce qu’ils tournent en boucle dans nos têtes, parce qu’on ne les comprend plus, parce qu’ils sont inconstants, qu’ils vacillent, comme nous, et qu’ils recèlent en eux autant ce que l’on dit que ce que l’on ne dit pas… Il faudra bien pourtant, s’appuyer sur ces mots, jusqu’au moment des retrouvailles. Alors, les amants tenteront de se redire, puis de se souvenir.

Ce sera magique et inattendu, fragile et déroutant. Ils tenteront de se rencontrer. Encore et à nouveau. Et ils s’in-comprendront merveilleusement.

Lui : ‘J’entends je maudis nos incompris’. Elle : ‘Ils sont si beaux là nos incompris’.

Le clip d’animation est à voir et à écouter

 

 

Flora Hibberd

La maîtrise de Flora Hibberd

Écrit par

« Hold » recèle de purs joyaux d’un folk nourri au meilleur des six décennies qui l’ont précédé, porté par une voix à la gravité suave, sublime et unique. La jeune Londonienne dévoile un univers musical où cohabitent Aldous Harding et Vashti Bunyan, hanté par les spectres de Josephine Foster et Leonard Cohen.

L’envoûtante voix de Flora Hibberd et les précieux arrangements de Victor Class alimentent « Hold », un vinyle 10 pouces.

La version ‘live’ est à découvrir

 

 

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