Barnabé Mons rend hommage à un chat… sauvage…

Chanteur-batteur dès l’âge de treize ans, le Lillois Barnabé Mons a transité par la bagatelle de neuf formations, avant de se lancer en solitaire, soit après 28 ans de carrière. « Bunker Superstars », son premier elpee, est paru ce 2 juin 2023. Et il vient…

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Une lune de nacre éclaire And Also The Trees…

« Mother-of-pearl moon », le nouvel elpee d’And Also The Trees, paraîtra ce 23 février 2024. Nés d'une série d'improvisations à la guitare électrique, de Justin Jones avant et après l'aube, pendant un mois de solitude en 2020, les morceaux se sont ensuite…

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Tramhaus

La première sortie de Tramhaus…

Le groupe post punk rotterdamois Tramhaus vient d’annoncer la sortie d’un premier elpee. Intitulé « The First Exit », il paraitra ce 20 septembre 2024. Caractérisé par son refrain qui tue, « Beech » célèbre l'énergie explosive et la dynamique du groupe sur scène et constitue le premier single qui en est extrait.

« The First Exit » a été enregistré au sein de l'illustre studio Katzwijm, dans la région néerlandaise des bulbes à fleurs, sous la houlette de l'ingénieur du son, Floyd Atema. Ainsi, le disque marquera une nouvelle étape dans la remarquable carrière du quintet batave.

Après la sortie de l'album, le groupe entamera une tournée européenne qui débutera le mercredi 2 octobre dans la grande salle du Paradiso à Amsterdam.

Tramhaus, c’est la sensation post/punk audacieuse de la ville agitée et toujours innovante de Rotterdam. En l'espace d'une existence relativement courte, Tramhaus a réussi à se faire un nom bien au-delà des frontières de sa ville natale. Marqué par son expérience énergique, la formation a prouvé qu'elle était capable de transmettre ce message à la fois sur scène et sur disque. La musique de Tramhaus ressemble à la bande-son d'une histoire vivante, mystérieuse voire dangereuse. Il n'y a pas de place pour se reposer, le groupe vous emporte avec lui dans une course de vitesse pleine d'émotions et d'euphorie, menée par des chansons épurées et enflammées, mélangées à des tonalités fragiles et abstraites.

« Beech » est en écoute ici.

 

 

 

Bonny Light Horseman

L’esprit libre de Bonny Light Horseman…

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Bonny Light Horseman, le trio composé d'Anaïs Mitchell, d’Eric D. Johnson et de Josh Kaufman, annonce aujourd’hui la sortie de son troisième elpee – un double ! – « Keep Me on Your Mind/See You Free », prévu ce 7 juin 2024. Ils partagent pour l’occasion le single « I Know You Know » accompagné de la toute première vidéo du groupe. Ancrée par les harmonies toujours pénétrantes de Mitchell et Johnson, la chanson démontre la faculté du groupe à pouvoir associer la dévastation émotionnelle à une sensibilité pop, car ses doux arrangements et son refrain digne d’un hymne démentent son refrain dévastateur.

Ce clip est à découvrir ici

« I Know You Know » fait suite au cathartique » When I Was Younger », single sorti en février, autre titre de ce prochain opus, qui avait alors attiré l'attention de nombreux médias. Le groupe entamera en juin une tournée américaine.

« Keep Me on Your Mind/See You Free » constitue une ode au désordre béni de notre humanité. Serein et généreux, il s'agit d'une offrande sans fard qui met chaque sentiment et chacun de nos défauts supposés au grand jour. Les thèmes abordés y sont très nombreux et encore plus importants. L'amour et la perte, l'espoir et le chagrin, la communauté et la famille, le changement et le temps imprègnent l'œuvre la plus vulnérable et la plus généreuse de Bonny Light Horseman commise à ce jour. Pourtant, malgré tous ses aspects humanistes, « Keep Me on Your Mind/See You Free » a été forgé à partir d'une sorte de magie inexplicable.

Tout au long de ce long playing, Bonny Light Horseman nous présente un sens distinct de la grâce, et nous rappelle que la vie est mieux vécue

Gwizdek

Gwizdek et l’intelligence artificielle…

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Depuis 2020, Gwizdek écrit sa chanson française, moderne et personnelle, aux basses lourdes empruntées au hip hop, au tempo et aux textures lo-fi/bedroom-pop, mais aussi à la rage et à la poésie rock, le tout empreint d’une voix grave et pleine de mélancolie. Son nouvel opus paraîtra cet automne. 

Bien que les intelligences artificielles soient des outils fantastiques qui s'immiscent déjà partout dans notre quotidien, il est parfois urgent de se déconnecter un temps, pour réimaginer le monde au travers nos propres processus et émotions.

Gwizdek continue son exploration thématique de l'Humain, des technologies, et de leur rapport à la nature sous la forme d’un morceau lent, puissant, pop et sombre à la fois.

Pour la réalisation du clip, le groupe a de nouveau appel fait au talentueux, 100% humain et artiste 3D, Alexandre Albisser, afin d’imaginer un jardin virtuel grandissant au cœur du musée de Grenoble.

Extrait de ce futur elpee, « IA » est disponible sous forme de clip

 

Mihlo

Mihlo dans une cage de verre…

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Artiste émergente de la scène francophone, Mihlo est une autrice-compositrice interprète touche-à-tout.

Arrangeuse et multi-instrumentiste, elle dévoile des chansons poétiques, mélancoliques et électriques.

Des envolées vocales à la Joan Baez teintées d’électro, une ambiance rappelant les chansons feutrées de Keren Ann, les titres de Mihlo invitent à l’évasion et à l’introspection.

La voix est aérienne, mélodieuse, mais laisse entrevoir aussi une énergie plus sombre, forgée par un vécu d’où Mihlo puise son inspiration et son sens critique. Apparaît ainsi en transparence un timbre brut, plus grave, portant avec sobriété des mots comme trop longtemps tus.

Intitulé « Cage de verre », le premier Ep de Mihlo évoque ces prisons invisibles dont on peine à briser les murs, qu’ont les ait construites ou qu’elles nous soient imposées au gré des rencontres.

Entre ombre et lumière, Mihlo chante l’espoir autant que la mélancolie, au travers de voix aériennes et entremêlées, dans une interprétation sobre, que viennent habiller des guitares arpégées et des sons de clavier vintage, soutenues par des batteries électro aux couleurs plus modernes.

La vidéo de « Je plais à personne » est à découvrir

 


Ain’t No F**king Artist

Ain’t No F**king Artist sur les flots…

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Après la sortie de son premier Ep, en janvier dernier, le trio Ain’t No F**king Artist nous réserve une ‘live session’ sur Youtube, tournée en mer et sur le bateau de tourisme Le P’tit Natien.

Tourner dans la baie des Sables d’Olonne était un souhait pour les 3 membres et un défi technique : faire en sorte d’avoir un son qualitatif, malgré tout ce qui interfère en mer n’est pas chose facile, comme avoir assez d’électricité à bord ou éviter d’enregistrer les sons parasites. La partie technique c’est une chose, la météo en est une autre !

Heureusement pour toute l’équipe, les conditions étaient réunies afin de permettre au groupe d’enregistrer cette ‘live session’ de plus de 8 minutes, au cours desquelles la formation a interprété les morceaux « DeathMatch » et « WhatYouAreLookingFor », deux titres qui figurent sur l’Ep « Breathless ».

L’équipe du P’tit Natien a accepté de participer à ce beau projet. Une collaboration gagnant-gagnant qui leur permet de s’offrir des images culturelles et promotionnelles qualitatives.

À la réalisation, le collectif d’Uppercut est au rendez-vous ainsi que Pierre Tezenas à la prise de son, Trésor Mabounoa pour les images en drone et Jeremy Grollier au mix & mastering.

Le clip consacré à « Running Again » est disponible

 

Alcest

La flamme jumelle d’Alcest…

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En février dernier, le duo shoegaze Alcest annonçait la sortie de son nouvel album, « Les Chants de l'Aurore », prévue ce 21 juin 2024. Après « L'Envol », Alcest allume la « Flamme Jumelle" le temps d'un voyage toujours très spirituel et aborde la question du deuil et du devenir de l'âme.

Pour Neige, son frontman et principal compositeur, Alcest a toujours été une porte ouverte sur l'autre monde, un moyen d'explorer la spiritualité.

Complété par le batteur de longue date et confident créatif Winterhalter, Alcest semble se nourrir d'une multitude de genres musicaux sans ne jamais s'y conformer pleinement. ‘Alcest a toujours été trop étrange pour la scène metal, tout comme Alcest est trop étrange pour la scène indie ou post-rock. Nous n'avons jamais été à notre place dans l'une comme dans l'autre. C'est comme cela que je me sens dans la vie, comme un étranger. Ce n'est pas un problème, les choses sont simplement comme elles sont…

En dépit de son côté plus accessible, ce morceau est le plus personnel de l'album. "Flamme Jumelle" évoque la notion de perte et la difficulté de faire face à l'absence d'une personne que l'on aimait profondément. Qu'il s'agisse d'un membre de la famille, d'un ami ou d'un partenaire. D'un point de vue plus spirituel, le titre fait référence à la possibilité que certaines âmes soient connectées dans cette vie et dans l'au-delà, de sorte que la séparation soit temporaire et ne soit qu'un concept mortel’ - Neige

Le clip de « Flamme Jumelle » est à voir et écouter ici

 

Eddy de Pretto

Eddy de Pretto aux urgences…

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« Urgences 911 », c’est le troisième single issu du dernier elpee d’Eddy de Pretto, « Crash Cœur », paru fin 2023.

‘Lorsque je tombe sur la vidéo d’un homme qui démarre une dernière danse seul lors des funérailles de sa femme, je suis directement ému et me survient une question existentielle : danserons-nous toujours ensemble, même après la mort ? Est-ce que nos cœurs continuent toujours de danser ? Cette question sans réponse a été un véritable moteur pour l’écriture de ce morceau, pour tenter de poétiser une situation douloureuse. Tenter de mettre une touche d’espoir sur le pire.’ - Eddy de Pretto

Eddy de Pretto sera en tournée dans toute la France (tournée printemps + 2 Olympia complets) et se produira en Belgique, le 23 avril au Cirque Royal et le 5 décembre à Forest National.

« Urgence 911 » est disponible sous forme de vidéo

 

 

Aucklane

L’inaccessibilité d’Aucklane…

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Révélée en 2020 à travers son nouveau projet solo, Charlotte Maquet est définitivement l'une des nouvelles voix les plus intéressantes de la scène alternative et indépendante belge actuelle.

Dès la sortie de son premier single « Gamblers », autoproduit, Aucklane attire instantanément l’intérêt de la presse noir-jaune-rouge qui voit en elle la ‘relève du rock belge’ et la hisse au rang des artistes à suivre de très près.

Chacun des cinq titres de son premier Ep, « Nightfall » trouvera sa place en radio. Un 5/5 !

Ce qui lui vaudra de partager la scène avec des artistes de renom, comme Ozark Henry en télé ou Charles et Typh Barrow en radio.

Autrice-compositrice, arrangeuse et interprète, Aucklane est saluée pour ses multiples talents : sa voix éthérée et écorchée, son songwriting intelligent, ses mélodies accrocheuses... autant que pour son univers visuel soigné et mystérieux.

Mais c’est en live, entourée de ses musiciens - Sébastien Beaumont, Thibault Jungers et Gilles Vermeyen - que l’artiste déploie l’intégralité de ses capacités, se révélant frontwoman.

Son amour de la poésie anglaise, sa passion pour l’électricité sensuelle du rock’n’roll et ses influences diverses confèrent à Aucklane une identité artistique singulière qui la démarque sur la scène musicale belge.

« Hard to get », son dernier single, est disponible sous forme de vidéo

 

Birdstone

Les méandres de Birdstone…

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Formé en 2015 à Poitiers, Birdstone unit la puissance spirituelle du blues à la richesse du heavy-rock. Au croisement des thèmes mythologiques, de l'ésotérisme et des simples passions humaines, le trio narre les combats intérieurs de l'être humain, aussi bien que ses aspirations mystiques.

Basile, Edwige et Benjamin, originaires des Deux-Sèvres, puisent leur inspiration dans la ruralité, comme l’ont fait avant eux les bluesmen dans le Delta, à la fin du 19ème siècle.

Alliant mélancolie aride et riffs poisseux, la musique du trio oscille entre atmosphères éthérées, tensions dramatiques et climax impétueux. Le deuil, la solitude, le doute, la corruption mais aussi la rage et l'espoir sont autant d'impulsions et de guides dans l'imbrication des mélodies et des textes du trio, naviguant en permanence entre grandiloquence et intimité.

Son premier Ep, "The Cage", sorti en février 2017, a posé les fondations de l'univers du groupe : une forme de transe nimbée de mysticisme. Birdstone a décidé de mélanger la fougue du rock aux thématiques de la spiritualité et de la religion.

Son premier album, "Seer", sort en février 2019 et permet au groupe d'amorcer une ouverture à l'international. Le groupe apparaît à l'affiche de festivals d'envergure tels que le Hellfest, Terres du Son ou American Tours Festival, ainsi qu'en première partie de Yarol Poupaud, Triggerfinger ou encore King Khan & The Shrines. En 2022, au moment où ‘l'ancien monde’ s'écroulait, Birdstone a publié un nouveau chapitre : "Loss".

Le trio doré vient d’entrer dans un nouveau cycle dont le premier single “Hotline” est disponible depuis le 17 novembre et le deuxième extrait "Méandres", depuis le 1er mars 2024, est à voir et écouter

 

Gwendoline

Gwendoline pas concerné…

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La musique de Gwendoline n’en a rien à foutre. Elle n’a pas de projet. Elle ne tente rien, les musicos le répètent à qui veut l’entendre, faut juste écouter. Chacun entendra ce qu’il veut dans « C’est à moi, ça », nouvel opus des deux Brestois.

D’aucuns voudraient qu’ils soient Joy Division, Noir Boy George, Bruit noir, Ventre de biche, les Bérus. Voudraient que leur wave soit cold, shlag, dark... mais ce n’est pas leur problème.

Gwendoline ne calcule rien, si ça braille simple comme au foot, c’est pas pour remplir des stades, c’est parce que c’est venu comme ça. Alors on gueule que nous aussi, on veut les ‘retrouver au PMU à huit heures du matin, pour partir en retraite en mobylette, avec tous les copains’.

C’est moins écrit que du Pascal Bouaziz, mais comme ils l’affirment, ‘écrire comme Baudelaire, ils n’en ont rien à foutre’. Et puis fondamentalement : ils disent les termes. Ceux de la France nutriscore Z comme Zemmour. Leur langue a le goût d’un sous-bock humide et sent le micro fatigué de vivre dans le tiroir du comptoir d’un bar-tabac. Ils prononcent les R comme pour cracher sur tout, parce que tout le mérite : meetic, les clubs de vacances, la génération d’avant, celle d’après, la vie low-cost, les croquettes au poulet, la trash télé qui mange les cerveaux, les gens qui savent parler. Et eux-mêmes, sans doute, parce qu’ils ont autre chose à faire qu’élaborer des plans socialement responsables dans leur disque.

Et on a envie d’être d’accord, de pas choisir, de pas savoir. Ils ne comprennent pas pourquoi, après des années de loose, les gens formidables veulent faire des selfies avec eux, pourquoi d’un coup, ‘tous les soirs, c’est la soirée de l’année’. Et ça ne va pas s’améliorer avec ce nouvel album pensé en duo à la maison, enregistré littéralement à la toute fin des choses, dans le Finistère. Les instrus sombres, radicales et sans chichis (Jake et Romain, guitare / claviers), y font la courte-échelle à Pierre et Micka, corps complémentaires pour dégueuler sur tout, avec un exceptionnel sens de la formule.

Ils n’y sont pour rien si on les aime, et ça les fait déjà chier. On les aime parce que leur colère est juste. On a plus le luxe de la nuance quand tout a le goût du beurre doux qui a mal tourné.

Le clip consacré Rock2000 est à voir et écouter

 

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