La clef de TOPS git 6 pieds sous terre…

TOPS sortira son nouvel elpee, "Bury the Key", ce 22 août. Le quatuor propose une musique intemporelle qui allie profondeur et immédiateté. Il s’agit de son premier album complet depuis 2020, un opus qui explore des tons plus sombres tout en restant maîtres…

logo_musiczine

Paddang à la poursuite des fantômes…

Paddang est un trio de rock psyché formé en 2020 à Toulouse. Osees et King Crimson à fond dans lʼautoradio et un nom de groupe inspiré d'un spot de surf en Indonésie, Paddang file à toute berzingue dans une épopée cosmique. Les trois voix dictent le ton et…

Trouver des articles

Suivez-nous !

Facebook Instagram Myspace Myspace

Fil de navigation

concours_200

Se connecter

Nos partenaires

Nos partenaires

Dernier concert - festival

Lordi - De Casino
The Datsuns - 27/03/2025
Didier Deroissart

Didier Deroissart

19 novembre 2025 - JASPER STEVERLINCK - Den Amer, Diest

https://peterverstraelen.com/

 

Dimanche 21 décembre 2025 – Goose – De Roma, Anvers

Mardi 17 février 2026 – Christian Loffler -Cirque Royal, Bruxelles

Mercredi 11 mars 2026 – Mods Sleaford – Ancienne Belgique, Bruxelles

Mardi 03 mars 2026 – Jade – La Madeline, Bruxelles

Mercredi 04 mars 2026 – Jade – La Madeline, Bruxelles

Jeudi 05 mars 2026 – Audrey Hobert – La madeleine, Bruxelles

Mercredi 25 mars 2026 – Kreator – Ancienne Belgique, Bruxelles

Samedi 18 avril 2026 – Alex Warren - AFAS Dome (Sportpaleins), Anvers

Mardi 21 avril 2026 - Candace Bushnell – Stadschouwburg, Anvers

Samedi 25 avril 2026 – Jioying Summers – Aremberg, Anvers

Jeudi 05 mai 2026 – Tame Impala – AFAS Dome (Sportpaleins), Anvers

http://www.livenation.be/

 

 

 

jeudi, 11 septembre 2025 16:16

Living in the past… mais pas seulement…

Pas de supporting act ce soir au Cirque Royal : le légendaire groupe de Ian Anderson occupe la scène d’entrée de jeu. Pour votre serviteur, il s’agit d’une toute première rencontre en direct avec Jethro Tull. On sait que Ian Anderson, figure de proue du groupe, n’hésite pas à critiquer certains comportements du public, en particulier l’usage intempestif des téléphones portables et les interruptions sonores déplacées. Force est de constater que son vœu est respecté à 98 %. Le concert s’inscrit dans la tournée ‘The Seven Decades : The World Tour’, une célébration de 58 années de musique et d’histoire, portée par l’énergie intacte d’Anderson et de ses musiciens.

Fondé en 1967 autour de son frontman et flûtiste écossais Ian Anderson, Jethro Tull demeure un ovni incontournable du rock britannique après près de sept décennies d’existence. Anderson est le premier à avoir intégré la flûte dans un univers dominé par les guitares saturées, et il en fait encore aujourd’hui son arme de scène, grâce à un chant saisissant et une présence toujours aussi théâtrale. Alors que nombre de groupes historiques se reposent sur leur gloire passée, Jethro Tull, désormais concentré autour de la vision d’Anderson, reste d’une activité remarquable. Ces dernières années, le groupe a enchaîné trois albums : « The Zealot Gene », « RökFlöte » et le tout récent « The Curious Ruminant ». Tous figurent dans la setlist actuelle, même si, naturellement, ils s’inclinent face aux monuments intemporels du répertoire que sont « Aqualung » et « Thick As A Brick ». La discographie regorge de classiques que le public réclame sans relâche et que le combo délivre généreusement. Au-delà de ces hommages au passé, Ian Anderson a tenu à mettre en avant « The Curious Ruminant », dernier chapitre de la saga Tull. Le long playing, qui réunit 9 titres oscillant entre 2 minutes et près de 17 minutes, mêle folk rock, textures acoustiques et réminiscences progressives. Une manière de renouer avec l’héritage foisonnant des années 1970, tout en affirmant que Jethro Tull est loin d’avoir dit son dernier mot. Aujourd’hui encore, à 78 ans, Ian Anderson assure toujours le spectacle. Il tire toujours parti de son style vocal particulier et de ses performances impressionnantes. Il n’a aucunement perdu la voix : elle demeure presque identique à celle de ses débuts.

Le concert commence légèrement en retard, dans une salle comble. Le groupe est en pleine forme et semble prendre autant de plaisir que le public. Jethro Tull a de quoi remplir une soirée entière de classiques, d’« Aqualung » (qui sera le rappel, où tout le monde pourra filmer et prendre des photos souvenirs) à « Thick As A Brick ». C’est exactement ce que les spectateurs attendaient, et la formation tient ses promesses.

Les musiciens prennent place. Le seul changement notable est le remplacement du guitariste Joe Parrish par le nouveau venu Jack Clark. Pour le reste, le line up demeure inchangé depuis la reformation de 2017. Soit Dave Goodier à la basse et John O’Hara aux claviers – tous deux présents depuis 2007 – ainsi que Scott Hammond aux drums. Ensemble, ils soutiennent avec constance et virtuosité l’inimitable Ian Anderson. Certes, sa voix n’a plus l’amplitude d’antan et ses facéties scéniques se sont un peu assagies, mais il reste fascinant à regarder. Vif, excentrique et étrangement charmeur, flûte en main, il mène la charge avec ce grain de folie qui fait sa marque de fabrique. Par moments, il s’accompagne aussi d’une petite guitare semi-acoustique, ajoutant une touche d’intimité à l’ensemble. La folie typiquement anglaise d’Anderson est, bien sûr, le point central, mais la véritable star du spectacle est la musique elle-même. Les chansons de Tull sont complexes et exigeantes, mais le combo actuel leur rend justice. Leur jeu est détendu sans jamais être relâché, précis sans paraître stérile. Si l’on a un reproche à faire – et l’on en a toujours – c’est que ce spectacle est encore une fois exclusivement assis, ce qui donne plus l’impression d’une soirée au théâtre que d’un concert de rock. Certains morceaux sont vraiment rock, beaucoup sont très dansants, et même les morceaux folk incitent à bouger. On aurait aimé pouvoir se lever et se déhancher un peu. Mais vu que l’âge médian du public était probablement égal, voire supérieur, à celui des membres du groupe (et que certains spectateurs étaient même assez jeunes), une configuration debout aurait peut-être présenté des risques médicaux.

Le show se déroule en deux parties.  La première s’ouvre par « Beggar's Farm », issu du premier album This Was (1968). Très marqué par le blues, teinté de rock et d’expérimentations qui paraissaient audacieuses à l’époque mais semblent aujourd’hui presque convenues, le morceau prend vie grâce à la flûte de Ian Anderson, magistralement exécutée tandis qu’il arpente la scène avec son énergie caractéristique. Du même elpee, vient ensuite « Some Day the Sun Won't Shine for You » : Anderson, touche-à-tout éclectique, insuffle au morceau un parfum de folk-blues où la flûte, parfois approximative mais toujours audacieuse, trouve toute sa place. L’harmonica complète l’ambiance, ancrant le blues au cœur du concert. Le public est ensuite emporté vers « A Song for Jeffrey », toujours tiré de « This Was ». Les visuels projetés en arrière-plan enrichissent l’atmosphère et plongent la salle dans l’univers de chaque chanson. Puis le monumental « Thick as a Brick », extrait de l’album éponyme de 1972, véritable concept-album de rock progressif, embraie. Plus complexe et éclectique que les œuvres précédentes, il demeure proche, dans l’esprit, d’« Aqualung ». Véritable pierre angulaire du groupe, ce morceau phare confirme le statut de « Thick as a Brick » comme l’un des chefs-d’œuvre incontournables de Jethro Tull.

Retour ensuite à « Aqualung » (1971) à travers « Mother Goose ». Premier disque où le groupe affirme pleinement son identité rock-folk-hard-progressive, « Aqualung » alterne entre pièces acoustiques délicates, proches de Cat Stevens ou de « Led Zeppelin III », et morceaux plus puissants tels que le titre éponyme » ou « Locomotive Breath ». C’est l’un des long playings les plus aboutis et emblématiques du band. Le voyage se poursuit par « Songs from the Wood » (1977), titre éponyme du long playing où Tull revient au folk-rock, riche en sonorités bucoliques et en arrangements progressifs. La première partie s’achève sur « Bourrée in E Minor », adaptation virtuose de Bach devenue l’un des classiques de la formation.

Après une pause de vingt minutes, la reprise s’effectue par « My God » (« Aqualung »), porté par un blues habité et des chœurs épiques. S’ensuit un petit instrumental inédit, puis le public découvre « The Zealot Gene », extrait du dernier opus paru cette année. Jethro Tull y démontre qu’il sait se renouveler sans jamais renier ses racines.

Enfin, le final explose lors des incontournables « Budapest », « Aqualung » et, en rappel, l’inévitable « Locomotive Breath ». Une claque musicale qui rappelle que Jethro Tull, à l’instar de Yes ou de Pink Floyd, reste un groupe intemporel, traversant les âges sans perdre ni son ingéniosité ni sa puissance créative.

Setlist :

Première partie

« Beggar's Farm », « Some Day The Sun Won't Shine for You », « A Song For Jeffrey », « Thick As A Brick », « Mother Goose », « Songs From The Wood », « Weathercock », « The Navigators », « Curious Ruminant », « Bourrée In E minor » (Johann Sebastian Bach cover).

Deuxième partie

« My God », « The Donkey and the Drum », « The Zealot Gene », « Over Jerusalem », « Budapest », « Aquadiddley », « Aqualung ».

Rappel : « Locomotive Breath »

(Organisation : Greenhouse Talent)

 

Dimanche 01 février 2026 – RAYE - AFAS Dome / Sportpaleis, Anvers

Mardi 03 février 2026 – Viagra Boys – Forest National, Bruxelles

Vendredi 06 février 2026 – Charlotte De Witte – Flanders Expo, Gand

Samedi 07 février 2026 – Ashnikko - La Madeleine, Bruxelles

Samedi 07 février 2026 – The Kooks - De Roma, Anvers

Lundi 09 février 2026 – The Kooks – Ancienne Belgique, Bruxelles

Mercredi 18 février 2026 – Last Train – Ancienne Belgique, Bruxelles

Vendredi 20 février 2026 – Young Yello – Het Dépôt, Leuven (extra show)

Jeudi 26 février 2026 – Eefje De Visser – De Vooruit, Gand (extra show)

Vendredi 20 mars 2026 – Young Yello - Het Dépôt, Louvain (extra show)

Vendredi 20 mars 2026 – dEUS – Forest National (extra show)

Mercredi 01 avril 2026 – Archive – Om Concerts, Liège (extra show)

Lundi 06 avril 2026 – Henry Moodie – La madeleine, Bruxelles

Mercredi 15 avril 2026 – Only The Poets – Trix, Anvers

Samedi 18 avril 2026 – Alex Warren – AFAS Dome / Sportpaleis, Anvers

Vendredi 22 mai 2026 – Lola Young – De Roma, Anvers

Dimanche 28 juin 2026 – Papa Roach –  Werchter Park Live, Werchter

Dimanche 28 juin 2026 – Zwangere Guy- Werchter Park Live, Werchter

http://www.livenation.be/

 

 

Jeudi 30 octobre 2025 – Above & Beyond – Anvers Expo, Anvers

Vendredi 19 décembre 2025 – Soulwax – Les Halles de Schaerbeek, Bruxelles

Mercredi 25 février 2026 – Eeefje De Visser – De Vooruit, Gand

Mardi 03 mars 2026 – The Classic Rock Show – Capitole, Gand

Jeudi 12 mars 2026 – Suède, Ancienne Belgique, Bruxelles

Jeudi 19 mars 2026 – Deus – Forest National, Bruxelles

Mardi 21 mars 2026 – Archive – Om Concerts, Liège

Mardi 02 juin 2026 – Big Thief – Forest National, Bruxelles

Samedi 31 octobre 2026 – Les Truttes - Ancienne Belgique, Bruxelles

http://www.livenation.be/

 

 

 

 

29 novembre 2025 - JASPER STEVERLINCK - Cactus, Bruges

https://peterverstraelen.com/

 

La sensation que cette nouvelle production, bien léchée, a un réel potentiel pour parler autant aux fans de longue date qu’aux nouveaux venus. Le disque se renouvelle beaucoup au fil de l’écoute, notamment grâce aux deux voix lead différentes, et l’on est assez loin de l’image de « chanson festive » qui colle parfois trop à la peau du projet. Les retours des médias sont positifs.

Effectivement, considéré parfois comme discret, le groupe a pourtant su se renouveler et occupe encore une place de choix dans l’Hexagone, fédérant toujours un public nombreux après trente années de scène et plus de 2000 concerts. En témoigne notamment le concert parisien à venir à La Cigale (14/02/2026), déjà quasi complet ! Ce nouvel album interroge la mémoire, le temps et la quête d’un nouveau souffle dans le tumulte de l’époque. C’est un tout nouveau voyage incandescent, dont chaque chanson est une étape : un souffle pop intemporel, sans complaisance ni posture.

Refuser la mascarade, préférer la sincérité tranquille aux cris factices : voilà l’élégance cachée de cette chanson. « Je ne manque pas de cœur » est un éclat d’authenticité dans un monde de faux-semblants. Simon Mimoun – auteur.

En trois tableaux allégoriques, l’animation illustre le combat dichotomique que se livre l’auteur de la chanson. Pris au piège d’un mécanisme implacable et tiraillé entre son désir de liberté et son envie de plaire, il navigue comme la méduse entre l’ombre et la lumière. Damien Pelletier – réalisateur du visualizer.

La formation enchaînera ensuite par une tournée hexagonale 2025-2026 de plus de trente dates, et un concert parisien à marquer dans son agenda : La Cigale, le 14 février 2026.

Le single « Ferme Les Yeux » est disponible sous forme de clip ici et celui au consacré à « Je Ne Manque Pas De Cœur »  

Pour les précommandes pour l’album en format Vinyle / CD, c’est ici

15 février 2026 - CORY HANSON - Cactus, Bruges

04 octobre 2025 - STEVEN DE BRUYN & JASPER HAUTEKIET - Arscène, Hansbeke

https://peterverstraelen.com/

Vendredi 06 février 2026 – Apparat – De Vooruit, Gand

Vendredi 27 février 2026 – The Last Dinner Party – Forest National, Bruxelles

Mardi 03 mars 2026 – Of Monters And Man – Ancienne Belgique, Bruxelles

Mardi 10 mars 2026 – Tyler Childers – Ancienne Belgique, Bruxelles

Lundi 16 mars 2026 – CMAT – La Madeleine, Bruxelles

Lundi 09 avril 2026 – Charles – Ancienne Belgique, Bruxelles

Lundi 11 mai 2026 – Blues – Ancienne Belgique, Bruxelles

Jeudi 21 mai 2026 – Lola Young – De Roma, Anvers

http://www.livenation.be/

 

 

 

Mercredi 17 décembre 2025 - Soulwax - Les Halles De Schaerbeek, Bruxelles

Jeudi 18 décembre 2025 - Soulwax - Les Halles De Schaerbeek, Bruxelles

Jeudi 01 mai 2026 - Pommelien Thijs - Sportpaleis, Anvers

Lundi 23 février 2026 – Florence And The Machine – Sportpaleis, Anvers

http://www.livenation.be/

Page 2 sur 122