Steve Wynn fait ce qu’il faut…

Le dernier elpee de Steve Wynn, "Northern aggression" remontait à 2010. Son prochain, "Make It Right", paraîtra ce 30 août 2024 et coïncidera avec son nouveau livre de souvenirs ‘I Wouldn't Say It If It Wasn't True’ (Jawbone Press). Lors des sessions, il a…

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Brazen tient la distance…

Après près de dix-huit ans de silence trompeur, Brazen (Genève), revient avec « Distance », une épopée indie-rock ambitieuse où s’entrelacent modulations mélancoliques et harmonies vocales sur un tapis instrumental planant. Les huit titres qui composent…

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Stéphane Reignier

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dimanche, 16 avril 2017 17:26

L'univers lunaire de Leatitia Velma ...

"Laetitia Velma propose un répertoire au piano, mi instrumental mi chanté, dans une veine ouvertement cinématographique, et avec un minimalisme enchanteur, évoquant à la fois Philip Glass et la pop onirique d'Agnes Obel."

Artiste auteur-compositeur, elle a sorti son premier album "Les Eaux Profondes" en 2011, produit et arrangé par Dominique A, distribué par Wagram et Pias en Belgique.

Le nouvel album "Cinq Lunes" sortira le 31 mars prochain,

 

  

dimanche, 16 avril 2017 17:10

Le nouvel EP de Dimoné a jetté un froid !

Dimoné est l'un des plus incroyables artistes de la scène française. Sa plume caresse l’homme « au plus près de l’os », cisèle le verbe avec élégance, au gré des jeux de mots et doubles sens.

D’une voix pénétrante à la fois grave et soyeuse, il distille une poésie sans fard, presque charnelle, posée sur une pop mélodique portée par les guitares. Dandy démon, Dimoné grésille, irradie, bouillonne, crépite et éclabousse.

Après avoir été le coup de coeur de l'Académie Charles Cros pour son album « Bien Hommé, Mal Femmé » en 2015, Dimoné sort le EP « Epris dans la glace ». Un 5 titres en guise de visa vers là où tout recommence, où tout s’abolie, une remise à zéro Celsius des compteurs pour un disque inspiré et enregistré sous des latitudes boréales au Québec. 

Une poignée de chansons aux reflets blancs qui sont autant de spectres que de silences, parcourant par les vaisseaux de notre corps ces étendues à la rencontre d’anciennes traces. Un prisme par lequel se cristallisent nos ailleurs bariolés, en de probable provenance s’ils ne sont pas présages, comme le premier extrait, "La Grande Allée"à découvrir en cliquant ici .


 

 

  

dimanche, 16 avril 2017 16:57

Découverte d'une pierre précieuse !

Après avoir sorti en 2016, un premier EP Utopia, et deux singles remarqués, Lobsters & Cherries, et Blood in Love, qui ont fait le tour de la toile, revoici Ruby Cube qui annonce la sortie de son premier album en septembre sur le label Choke Industry (Lilly Wood and the Prick, Burning Peacocks, Tess, Ana Zimmer...).

Ruby Cube a déjà dévoilé un premier extrait « Precious Stone », dans lequel on retrouve la pop toujours aussi émotive du groupe toulousain et son ADN revendiqué qui embrasse des groupes comme Joy Divison, Metronomy en passant par The Cure et Late of the Pier.

Le nouveau clip de Ruby Cube s'appelle « Precious Stone » et présente un couple dans une société futuriste où les relations amoureuses et charnelles sont vécues au travers de dispositifs de réalité virtuelle.

"Precious Stone", disponible ici .

 



dimanche, 16 avril 2017 16:51

Un gris pâle pourtant solaire !

L’Europe les a précédemment découvert lors des festivals Great Escape (UK), Mama (Fr) où Dour (BE), ils sont de retour en 2017.

Pale Grey s’est enfermé en studio pendant plus d’un an, le groupe a composé, enregistré, et produit une salve de nouveaux titres mélangeant flok-pop-légère, introspections mineures, expérimentations sonores, hip hop et electronica.

Cet assemblage singulier, d’où émerge une identité forte, combine contrastes et cohérence, contradictions et continuité, évolution et permanence …

Avant la sortie d’un nouvel album à l’automne prochain, le groupe dévoile un premier EP – Ghosts – à paraître le 12 mai prochain. Quatre morceaux qui, dans leur sobriété et leur unicité, propagent une présence et une densité riche.

Le groupe présentera officiellement ce nouveau disque au public belge à l’occasion des Nuits Botanique.

Douze ans aprés leur dernier album 'Paradisiac', la groupe légendaire de Tim Vanhamel fait son retour longtemps attendu sur Unday Records, le label d'entre autres Trixie Whitley, Dans Dans et Tamino.

Millionaire est ‘on a high’ again. ‘I’m Not Who You Think You Are’ est un titre transpirant le nasty, le groovy, l’edgy. Il contient tout ce que nous associons avec le son du groupe. ‘Nous revoilà !’ s’exclame Vanhamel. Le clip assez psychedélique est présenté aujourd'hui par Clash Magazine en Angleterre, Visions Magazine en Allemagne, Mowno en France et 3voor12 aux Pays-Bas.

‘I’m Not Who You Think You Are’ décrit les préjugés forgés intempestivement à partir de nos projections propres. C’est le titre précurseur du très attendu ‘Sciencing’, le troisième album de Millionaire. Celui-ci a été mis en boîte à l’Elstudio: espace d’enregistrement flambant neuf, imaginé et construit par notre compatriote & ingénieur du son Jeff Claeys (Admiral Freebee, Jon Spencer & The Blues Explosion) à Santa Teresa, un coin de paradis costaricain. “I’m Not Who You Think You Are était un des premiers titres bouclés pour Sciencing, en une seule prise en plus! Il a ouvert la voie pour les autres ».

Jonas Govaerts s’est chargé de la vidéo. Il est le metteur en scène du premier film d’horreur flamand, “Welp” et surtout le prédécesseur de Vanhamel à la guitare des turbulents The Hickey Underworld. Le clip a été réalisé de concert avec Jaak De Digitale, dont les Evil Superstars, Vermin Twins et Chrome Brulée avaient déjà loué les services. C’est une pièce montée dans l’esprit de ‘Blade Runner’, dans laquelle une jeune fille (la photographe et actrice Stine Sampers) plane dans un good trip après avoir bu une boisson purificatrice. Mais Vanhamel recommande : “Fiez-vous moins aux apparences qu’au titre de la chanson”.

Découvrez le clip de "I'm not who you think you are" en cliquant ici .

 

dimanche, 16 avril 2017 15:48

Adam and the Madams y sont presque ...

Almost, un EP six titres, est une continuité des expérimentations du groupe, qui s’amuse des formats pop, parfois en les détournant, parfois en les explosant complètement en se risquant sur des choses plus étranges.

C’est aussi une part plus grande à la production et aux machines avec un esprit “Do It Yourself” de l’enregistrement au mastering en passant par le visuel.

Et c’est également l’occasion de reprendre deux artistes qui leur paraissent complètement incontournables, à savoir David Bowie ("Heroes") ses arrangements et son songwriting hallucinant, et le Velvet Underground ("Sister Ray") qui sont, selon le groupe, les pères spirituels psychédéliques de tout ce que peut être le noise rock.

Ces deux morceaux n’ont pas échappé au traitement ludique et nonchalant des Madams, qui sont restés fidèles au fond et à l’esprit, bien plus qu’à la forme.

Pour ceux qui aiment : Blur période "Song 2", Sonic Youth, Radiohead, Sebadoh, The Black Keys...

dimanche, 16 avril 2017 15:27

Les nuits toujours aussi secrètes ...

Situé à la frontière française, à côté de Maubeuge, et fort de son succès des éditions précédentes, le plus belge des festivals français fêtera cette année son seizième anniversaire, ces 28, 29 et 30 juillet.

Monter les yeux fermés dans un bus à la destination inconnue, découvrir un groupe mystère dans une chapelle abandonnée, festoyer au grand air, s'évader dans un champ ou s'abandonner sur un dancefloor jusqu'au petit matin : cette année, pendant trois jours, les Nuits Secrètes proposent à ses festivaliers de faire d'Aulnoye-Aymeries leur terrain de jeu.

Comme à son habitude, la programmation est généreuse et aventureuse, vous pourrez découvrir ou redécouvrir Julien Doré, Camille, Jacques, $-Crew, Dub Inc., Chinese Man, Charlotte de Witte, BCUC, pour ne citer que le sommet de l’iceberg.

Si vous souhaitez vous familiariser avec ce festival digne des plus grands, cliquez ici.

Plus d'information sur le site officiel ou sur Facebook.

 

dimanche, 16 avril 2017 15:12

Clara Luciani est un "Monstre d'Amour"

Clara Luciani a grandi dans la région de Marseille. Elle chante depuis qu’elle sait parler, compose depuis qu’elle sait écrire et apprend plusieurs instruments sur le tas, de groupe en groupe.

Alors qu’elle s’ennuie ferme en fac d’Histoire de l’Art, elle rencontre par hasard Marlon Magnée, membre du groupe La Femme, après l’un de leurs concerts. Il lui propose de participer au projet. Là où une jeune fille bien comme il faut se serait contentée de sourire en battant des cils, Clara accepte, laisse tomber ses études, fait sa valise et s’en va à Paris avec sa guitare.

À tout juste 24 ans, Clara Luciani enregistre son premier EP avec Benjamin Lebeau (The Shoes) et Ambroise Willaume (Sage), né d’un jet après un chagrin d’amour. Selon Otto Dix, peintre allemand dont la violence crue la fascine, tout art est exorcisme ; et en effet, Monstre d’Amour vibre d’une énergie brute - l’énergie du désespoir, de la solitude, mais aussi de la renaissance.

« Etendue dans le froid d’un été qui ne vient pas », Clara se métamorphose en créature tentaculaire et s’enfonce avec grâce dans l’obscurité des abysses, où sa voix singulière côtoie les guitares électriques et la douceur du violoncelle. Et si elle a le coeur lourd, elle triomphe du chagrin avec une force solaire.

Découvrez le clipe "Pleure, Clara pleure" en cliquant ici .

Restauré avec raffinement, la Cense de Rigaux est un vieux corps de ferme sis à mi-distance entre Ath et de Tournai. C’est-à-dire à Frasnes-lez-Anvaing. C’est également là que se déroulent les ‘Jeudis Oui’, des soirées inspirées des afterworks qui se déroulent une fois par mois, mais dont l’horaire est inversement proportionnel à celui adopté par les clubs. Soit entre 18 et 1 heure du matin. Imaginé seulement il y a quelques années, ce concept séduit de plus en plus car il permet de se délasser quelques heures directement après la journée de travail ; pas de perte de temps donc et nul besoin de passer chez soi pour se changer.
Ce jeudi 30 mars, s’y produisait donc M.A.T., le nouveau projet solo de Mathieu Dupire, un concert suivi par le DJ set de Nicola Testa.
Le soleil est particulièrement généreux pour un 30 mars. Les filles laissent entrevoir leurs genoux et les dos nus écarquillent les yeux des mâles. Les mange debout fleurissent autour du site et les ‘open bars’ intelligemment disposés à l’extérieur permettent de siroter tout en douceur champagne, mojito ou l’un ou l’autre de ces cocktails dont les vertus aphrodisiaques font mouche chez certains consommateurs. Ce qui donne un petit air de vacances. Manque plus que le sable et la mer…

Il est un peu plus de 21 heures lorsque Mathieu Dupire monte sur les planches devant plusieurs centaines de badauds. Son fer de lance, c’est l’électro ! Ce soir, il est flanqué d’un batteur et de deux préposés aux synthés et se produit sous le patronyme de M.A.T.

Ces quatre musicos sont loin d’être des inconnus dans le milieu. D’ailleurs, ils militent au sein de Zénith, un cover band très actif dans le Tournaisis.

Autant y aller tout de go ! Objectivement, le show d’une petite dizaine de titres recèle ci et là de bonnes idées. Intéressantes même !

Mais, dans l’ensemble, il ne parvient pas à convaincre et à soulever l’enthousiasme. Les raisons ? Plurielles et in(ter)dépendantes !

A commencer par les sonorités des claviers. Un rien vintage, elles sont linéaires et sans consistance. Parfois trop présentes. Bruitistes aussi. Elles desservent souvent les compositions alors qu’elles devraient au contraire apporter davantage de relief. Le rapport à la voix est difficile et il faut vraiment tendre l’oreille pour comprendre la narration du texte. Suivant l’adage, trop point n’en faut…

La rythmique est quasi-identique du début à la fin. La césure entre chacun des morceaux est pratiquement imperceptible à ce niveau. On s’ennuie ferme ! Il faudrait sans doute miser sur la prise de risques et un recours plus subtil aux fûts. La créativité est un art majeur dans le domaine de la compo !

L’ambiance ensuite ! Hormis les quatre ou cinq fans séculaires se trémoussant le popotin devant l’estrade, le public n’est pas parvenu à sortir de sa léthargie post-hivernale…

Ce n’est que lorsque Nicola Testa himself a empoigné au passage un second micro le temps d’un titre que la température a monté d’un petit degré. Seulement ! Pour aussi vite redescendre, sous le zéro…

La motivation enfin ! Hormis celle du leader (charismatique), on avait franchement l’impression que ses comparses s’emmerdaient à mourir. Timidité excessive ?

C’est dommage et triste à la fois parce derrière cet échec cuisant se cache un potentiel qui mérite d’être exploité à sa juste valeur…

Un set mieux rôdé, des sons maîtrisés et la conception d’un concert comme spectacle devraient constituent des principes de base pour cette formation, si elle souhaite se professionnaliser. Bref, il y a encore du pain sur la planche…

Nicola Testa prend maintenant possession de l’espace scénique. Si le chanteur de « Rainbow » a écumé les festivals cet été, armé d’un micro, c’est derrière les platines qu’il exultera ce soir.

Il y prend manifestement autant de plaisir. Les sourires s’affichent et les pas de danse se multiplient. Un vrai gamin content d’asséner un florilège de mix…

On ressent cette filiation onirique, presque théâtrale. Un régal !

(Organisation : Les Jeudis Oui)

 

dimanche, 19 mars 2017 18:27

La nouvelle grande voix du jazz

Fait rare pour une chanteuse française, Cyrille Aimée est déjà encensée aux Etats-Unis où elle est considérée comme la nouvelle grande voix du jazz. Dans un article, le Wall Street Journal a salué « son timbre éblouissant. »

Reconnue au niveau international, cette jeune chanteuse possède un style vocal unique au monde. Fascinée par le jazz manouche, et marquée par ses nombreux voyages et en particulier la République Dominicaine, pays de sa mère, Cyrille Aimée séduit avec ce timbre clair et pétillant, un swing naturel et un sens de l’interprétation très engagé.

Cette fan d’Ella Fitzgerald a publié il y a quelques mois sur le label Mack Avenue Let’s Get Lost, qui dévoile une autre face de sa personnalité romantique et mélancolique.

Forte de sa maturité et de la complicité établie en tournée avec ses musiciens, dont le fidèle guitariste Michael Valeanu qui co-signe titres et arrangements, Cyrille Aimée mêle sur le disque reprises et compositions, portées par les climats délicats de deux guitares, où se mélangent toutes les influences de son vaste parcours, du jazz manouche au jazz latino, en passant par un zeste de country.

Avec toujours ce bop bien balancé et ce scat qui font de son chant un instrument à part entière, elle vient nous présenter un nouvel extrait de son dernier album Let’s Get Lost.

Qui devinerait que derrière ce visage poupin, cette chevelure frisée explosive, ce regard bleu cascade et ce sourire épanoui se cache une swingueuse piquante ? On la découvre avec l'un des meilleurs titres de l'album Let's Get Lost : Each Day en duo avec Matt Simons. Pour regarder, cliquez ici .