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La douce fantaisie de Spell Trouble…

Maximilan Seifert, aka Spell Trouble, est un musicien établi à Berlin. Son nouveau titre, « Soft Fantasy », constitue le deuxième d'une série de morceaux qui seront publiés cette année sur le label suisse Irascible Music. Sur « Soft Fantasy », il ne s'agit…

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Stéphane Reignier

Stéphane Reignier

L’un des groupe pilier de la scène rock française revient avec la réédition de son dernier album « Vampire en Pyjama » enrichi de 10 titres inédits!

Disponible depuis le 14 octobre 2016, découvrez dans cette e-card le premier extrait, "Chanson d'été (remix)" en cliquant ici .

Le live de la tournée L’IN EXTREMIS TOUR, est disponible depuis le 14 octobre.
 

Après le succès de l’album IN EXTREMIS (certifié Disque de Platine en Belgique) et une tournée 2015-2016 qui s’est jouée à guichets fermés, découvrez les plus belles chansons de Francis Cabrel en live dans un album 2CD + DVD L’IN EXTREMIS TOUR.

INCLUS dans le combo 2CD+DVD, l'intégralité du concert enregistré et filmé à Forest National à Bruxelles les 4 & 5 mars 2016 et un documentaire exceptionnel de 40 minutes sur les coulisses de la tournée.

Découvrez le clip du premier extrait de la tournée "C'est écrit",  en cliquant ici .

samedi, 22 octobre 2016 15:14

Le bruit blanc de Louis Arlette ...

Louis Arlette sort son premier maxi emmené par le clip de "Jeux D'Or".

Mettant à profit son expérience acquise durant de longues années en studio et sur scène au contact de groupes cultes, et avec AIR en particulier, Louis Arlette exprime sur son premier EP son talent de mélodiste et de poète.

La pop de Louis est un mélange de deux mondes, celui d’un savoir-faire vintage : il s’accompagne d’un matériel d’époque, un authentique Rhodes de 1979, mais définitivement ancré aussi dans son époque par ces habillages électroniques qu’il envoie entre deux phrases.

Le clip peut être vu en cliquant ici .

samedi, 22 octobre 2016 14:30

Un nouvel album pour Tryo !

À l’été 2016, pour la première fois, Tryo est parti en tournée avant la sortie de l’album.

Celui-ci a été précédé par le dévoilement sur internet du clip de « Soufflez », avec une apparition de l’ami Renaud et de grands drapeaux multicolores, que l’on retrouve désormais sur scène, dans un message universel, organique et ouvert.

Aujourd'hui, le groupe emblématique nous offre « Chanter » - le premier single du nouvel album "Vent Debout" (sortie le 21/10/16).A écouter ici .

« Chanter » rappelle l’essentiel, d’ailleurs : « C’est là, c’est pas juste des chansons, c’est pour garder la foi / Pas perdre nos illusions / C’est comme ça, nous on en a besoin pour rester avec toi. Pour se sentir humain ». Cette chanson – et les douze autres – rappellent et condensent vingt ans de Tryo, mais s’inscrit aussi dans un moment particulier de notre histoire collective.

Quel album aurait-ce été si Tryo était resté au ras des émotions, des colères, des deuils et des cris accumulés depuis quelques saisons ? Ce n’est sans doute pas par hasard qu’instinctivement est revenu, sur l’essentiel de l’album, le reggae acoustique des débuts.

Retour aux sources aussi pour le son des voix, avec beaucoup de chant à l’unisson – mais l’unisson si particulier de Tryo.

Les quatre garçons ont calé les voix dès les maquettes, avant de concevoir les arrangements des chansons pour les séances d’enregistrement réalisées avec le fidèle Dominique Ledudal.

Et ceux-ci sont très légers : un tout petit peu de basse, une kalimba ou une flûte traversière qui passent fugitivement… Manu Eveno évoque « un retour aux sources de la musicalité de Tryo. »

Guizmo, Christophe Mali, Manu Eveno et Daniel Bravo ne se sont pas retrouvés avec un autre projet qu’aller à l’essentiel. Depuis la sortie de l’album Ladilafé, en 2012, le groupe avait enchaîné les tournées et les chantiers : deux ans de concerts en formule élargie puis une tournée en Allemagne, nouveau territoire à explorer dans la formule originelle du groupe, à quatre sur scène, ce qui avait donné l’envie de se passer de musiciens additionnels pour arpenter les festivals puis les scènes nationales, avant l’enregistrement de l’album de reprises "Né quelque part".

Belles aventures avant de longues vacances. « Quand on se quitte, on ne se donne pas de rendez-vous. C’est peut-être le secret pour rester vingt ans ensemble », note Christophe Mali.

 

 

 

Il n’y a donc pas d’échéance quand le groupe se retrouve en novembre 2015, après des projets personnels, du repos et de l’écriture, chacun dans son coin. Dès le départ, une évidence : il y aura un nouvel album parce que Tryo a une féroce envie de tourner à quatre. Mais il y a une exigence neuve : que personne n’ait le moindre doute sur aucune chanson.

samedi, 22 octobre 2016 14:12

Les Pirouettes sont carrément ...

Le premier album 'Carrément Carrément' des Pirouettes sortira le 16 septembre.

Précédé de nombreux singles parus au cours ces derniers mois comme "Je Nous Vois", "Soleil rare", 2016 (en ce temps-là), "Dans Le Vent d'été", et le dernier en date "L'Escalier", l'album Carrément Carrément est très attendu par la communauté de fans toujours grandissante autour du duo qui annonce un nouveau concert à la Maroquinerie le 05 janvier 2017 pour ceux qui n'auront pas la chance de les voir à la Release Party du 05 octobre d'ores et déjà complète.

En quatre ans à peine, The Pirouettes est devenu l’un des groupes incontournables de la french pop. Dans une scène hexagonale en perpétuelle effervescence, Leo Bear Creek (également batteur de Coming Soon) et sa dulcinée Vickie Chérie (dessinatrice et signataire des pochettes du duo) sont les Elli & Jacno d'aujourd'hui.

Perpétuant une longue tradition synthpop, le couple juvénile, couvé par Étienne Daho et immortalisé par Hedi Slimane, nous offre pour son nouveau tube "L'Escalier" un clip à la chorégraphie très craquante. A voir ici .

 

dimanche, 16 octobre 2016 19:01

Morituri

Ecrit durant l’été, mais enregistré à Paris, quelques jours seulement après les évènements tragiques qui ont ébranlé la France en novembre 2015, le quinzième opus de Murat s’intitule cyniquement « Morituri » (‘Ceux qui vont mourir’).

Pour enregistrer cet opus, l’artiste a reçu le concours de collaborateurs notoires ; et tout particulièrement Gael Rakotondrabe aux claviers, Christopher James Thomas à la basse ainsi que Stéphane Reynaud à la batterie. Et celui dont la réputation de bougre n’est plus à démontrer, propose une œuvre qui lorgne ici davantage vers le pop-jazz.

Ce long format s’inscrit dignement dans la parfaite continuité de la carrière de l’artiste ! Les arrangements sont intelligemment construits et subtils ! Ils s’effacent quelquefois pour permettre à la voix profonde de se poser, adoptant même parfois des accents ‘biolesques’ surprenants...

Ici ou là, quelques nappes de synthé discrètes viennent enjoliver subrepticement un travail abouti. Peut-être aurait-il été intéressant d’y ajouter quelques cuivres pour rendre les chansons un peu plus rondes encore. Mais, c’est un choix de production qu’il convient de respecter ! Morgane Imbeaud (ex-Cocoon) vient poser ses douces cordes vocales sur quelques pistes, notamment sur la plage éponyme.

Que l’auditeur ne s’y trompe pas ! L’approche est certes épurée, mais pas minimaliste pour autant ! Cette quasi-absence de musicalité renforce l’atmosphère obscure qui auréole les 11 compos de ce disque.

Au-delà des textes annonçant ou dénonçant les affres d’une société maladive (comme sur le très réussi « Interroge la jument »), l’angulaire reste dogmatique, légère, profonde, voire presque poétique et limite instable. L’artiste s’amuse et s’invite aussi dans le quotidien d’anonymes ("Marguerite", "Francky" ou encore "La Pharmacienne d’Yvetot").

Les thématiques sont dépeintes sans aucune d’idéologie politique, sociale ou religieuse. Ni même sans haine, ni vergogne lorsqu’il évoque les pires barbaries.

Le phrasé surplombe le son, lorsque ce n’est pas l’inverse ! Chaque écoute permet de lever le voile d’un univers paradoxal situé à mi-chemin entre l’ombre et la lumière. C’est à la fois beau, enjoué, mélancolique et boisé.

Une belle réussite !

 

mercredi, 12 octobre 2016 21:48

Nicolas Michaux se présente en "Imposteur"

Le nouveau single de Nicolas Michaux est disponible en cliquant ici .
mercredi, 12 octobre 2016 21:35

Cali nous veut !

Cali revient sur le devant de la scène avec un premier extrait disponible en cliquant ici .
mercredi, 12 octobre 2016 21:16

Pink Martini dit oui !

C’est la bonne nouvelle de la rentrée, « Les jours sans amour sont finis… ».

Quelques brassées de harpe et Pink Martini lance une invitation au pays des merveilles avec son nouveau single ‘Joli Garçon’. Le plus français des groupes américains célèbre à nouveau (et avec amusement) le flegme et l’espièglerie française. On dit oui à ce joli garçon aux accents de rumba.

Le « petit orchestre » de Portland (Oregon) fondé par Thomas M. Lauderdale en 1994, réunit douze musiciens d’horizons bigarrés. Le single ‘Je ne veux pas travailler’ a fait le tour du monde.

Après quelques rétrospectives, le  groupe prépare un nouvel album aux mêmes accents internationaux, marque de fabrique du groupe depuis ses débuts.

Le single de ce nouveau mélange musico-ethnique, ‘Joli garçon’, a été choisi par Isabelle Huppert. Elle l’interprètera dans le film du réalisateur belge Bavo Defurne, 'Souvenirs', dont la sortie est prévue le 21 décembre.

Mixant les genres et les époques, les sensations et les émotions, à chaque nouvel album, Pink Martini propose de vraies expériences de bonheur partagé, toutes générations confondues.

Le single peut être écouté en streaming en cliquant ici .

Parmi les têtes d’affiche de la cinquième édition du festival de Ronquières, figurait assurément Sharko, une des figures de proue de la scène musicale belge. Après un hiatus de sept longues années, le combo a refait surface et surtout publié un nouvel opus. Ecrit et produit par David Bartholomé himself et mixé par l'Américain Mark Plati, « You don’t have to worry » est défini par son chanteur comme un album... intense avec des moments sombres, mais jamais nombrilistes et des passages solaires. Assagi, le quadra s’est pourtant fendu d’un show percutant ; de quoi faire oublier un flagrant passage à vide et une carrière solo mitigée.

David a accordé une interview à Musiczine, quelques minutes seulement après le set. Si d’emblée l’homme se prête volontiers au jeu des questions/réponses, les temps morts entre chacune des interventions désarçonnent parfois. Il est d’un naturel taiseux ; et ses réparties sont brèves, mais implacables ! Aussi, dans de telles circonstances, il est préférable de se montrer imaginatif, pour combler ces moments de silence ou de réflexion intense.

Sept longues années séparent ton dernier opus du précédent. C’est le temps nécessaire pour la créativité ?

Bien sûr que non ! Certains ont besoin de vingt minutes pour composer les chansons d’un album ; d’autres, de deux mois et même plus ! En ce qui me concerne, je ne souhaitais pas attendre aussi longtemps. Je le regrette un peu. Mais les événements sont ce qu’ils sont… enregistrer un cd nécessite beaucoup d’énergie…

"You don't have to worry" est bien plus cohérent que les opus précédents. En tout cas, moins éclaté. Est-ce que Sharko a gagné en maturité et retrouvé le feu sacré de ses débuts ?

Le feu sacré, peut-être pas, car il est un lié à la jeunesse et à la fougue. Je ne suis plus tout jeune. Je confirme néanmoins tes propos, Sharko est bien plus mature aujourd’hui !

Qu’est-ce qui t’a le plus inspiré pour concocter cet elpee ?

La nature ! Marcher dans les bois, par exemple…

Les premiers disques étaient autoproduits. En quelque sorte, tu bricolais en te servant des moyens du bord. Au fil du temps, tu as manifestement changé de méthode. Le dernier essai est même, en quelque sorte, une ode à la perfection ! Alors quoi, évolution ou révolution ?

C’est une bonne question ! Je crois qu’il s’agit d’une évolution ! Et peut-être d’une révolution aussi !

La concentration et la substance semblent importantes pour toi. On te sent très perfectionniste dans l’âme. Dans ce métier, certaines personnes abordent leur rôle avec beaucoup de légèreté, sans que cette perspective ne puisse pourtant poser problème. N’as-tu pas l’impression de t’emprisonner ?

Exactement ! Comme, je le disais à l’instant, certains sont capables de boucler un disque en deux semaines à peine ! Perso, je n’y parviendrais pas ! Je n’en possède ni les moyens, ni la dextérité, ni même sans doute l’intelligence ! Je suis ce que l’on peut appeler un besogneux ! Et puis, j’aime les choses bien faites !

Le long playing a été mixé à New York. Est-il important de baigner dans un univers anglophone quand sa musique, qu’on peut qualifier de pop/rock, est chantée en anglais ?

Oui, bien sûr ! Je le pense ! J’ai eu l’opportunité d’enregistrer les voix à Londres ; ce qui a permis un encadrement dans mon travail. Il était primordial de maîtriser l’accent et les syntaxes grammaticales ; sans quoi on m’aurait attendu au tournant !

Chez Sharko, on est encore loin du formatage purement radiophonique. On flirte encore avec une vraie identité musicale. Une réaction ?

Il serait prétentieux de dire que tu as raison, mais je pense que tu n’es pas loin de la vérité ! Je me pose parfois la question de savoir ce que les gens recherchent encore aujourd’hui… Souhaitent-ils encore vraiment écouter de bonnes chansons ou préfèrent-ils se contenter de trucs réalisés à la va-vite sans aucun contenu…

La musique de Sharko est un peu à l’image de la vie, non ? Tout n’est pas paisible. On navigue entre le sombre et la lumière…

Oui, c’est vrai ! Je confirme ! C’est comme mettre des jeux de mots sur des mélodies tristes ou montrer qu’on est tourmenté sur des musiques enlevées…

Un peu à l’image de son leader. On sent chez toi un mec troublé, vachement à fleur de peau…

Oui, je crois (rires) ! Malheureusement ! J’aurais aimé être différent !

Est-ce gênant ?

C’est parfois gênant, effectivement !

Ronquières est un jeune festival certes, mais dont l’ampleur prend forme d’année en année. Estimes-tu que la musique de Sharko a une meilleure caisse de résonance dans de tels espaces ou dans des endroits plus petits ?

Aujourd’hui, ce festival ratisse large. Notre musique va forcément toucher une frange des spectateurs présents. J’en suis complètement ravi ! Mais, je suis conscient que notre univers est davantage formaté clubbing. Jouer dans de petites salles permet de mieux s’immerger dans l’ambiance, de mieux défendre sa musique, de mieux libérer son potentiel énergétique.

A propos, tu faisais les beaux jours du ‘Père Noël est un rockeur’ il y a quelques années, notamment à Dour. Ces concerts caritatifs étaient destinés à récolter des jouets pour les offrir aux enfants les plus démunis. On ne t’y voit plus. Un retour en décembre de cette année ?

Je ne sais pas du tout ! J’ai tendance à dire que non !

As-tu vécu ton expérience en solo comme une parenthèse essentielle ?

Exactement ! Elle m’a permis de renouer avec le plaisir de côtoyer des gens et de développer des projets ensemble. Ce qui m’a fait un bien fou !

Est-ce un passage obligé dans la carrière artistique d’un artiste ?

En ce qui me concerne, oui ! Pour les autres, je n’en sais rien !

Tu as déclaré il y a quelques années que tu écoutais du classique afin de t’aérer l’esprit. Où en es-tu aujourd’hui dans cette thérapie ?

J’en écoute toujours beaucoup ; cette musique me détend !

J’ai l’impression qu’au fil de l’âge, tu deviens moins excentrique en ‘live’. On ne te verra jamais donc terminer à poil sur les planches ? (rires)

Non, il n’y a pas de risque ! J’ai conscience d’être moins extravaguant aujourd’hui ! A vrai dire, je n’en ai plus envie. C’est comme quand tu es jeune et que tu te ballades en arborant un nœud papillon. Un jour, tu le regardes et tu n’as plus envie de le porter. Tu ne ressembles plus à celui que tu incarnais dans le passé. Tu as envie d’aller de l’avant et dorénavant, tu te noues une cravate !

« Sweet Protection » traite du thème de l’existence et de l’amour. A travers la sécurité que lui procurait ta maman et par extrapolation la mère patrie. Elle manifeste de la bienveillance. Suite à la vague d’attentats perpétrés par les terroristes, cette chanson est-elle susceptible de prendre une signification différente aujourd’hui ?

Je la chante aujourd’hui différemment ! Elle clôture nos concerts et lorsque nous la jouons, je pense sincèrement aux gens qui ont subi ces atrocités et à leur entourage. J’aimerais leur dire que tout ira pour le mieux et de se protéger.

David Bartholomé, le truc qui t’énerve le plus : qu’on te dise Sharko-Sarko ou qu’on compare ta voix à celle de Sting ?

Le mimétisme avec Sting ne m’énerve pas spécialement parce qu’il y a une part de vérité là-dedans. A vrai dire, peu de gens m’en parlent aujourd’hui ! Ca me va bien comme ça ! Je préfère cette comparaison à toute autre…