Après avoir publié le spatial et acclamé « Vie future », retour sur terre et même sur ses terres pour Agnès Gayraud aka La Féline, à travers un nouvel album baptisé du nom d’une ville moyenne de province où elle a grandi, Tarbes.
De la chanson nourrie à de multiples influences oscillant du rock à la trap. Des rendez-vous et des promesses (« Place de Verdun »), des mises en garde (« Va pas sur les quais de l’Adour »), des espoirs (« Dancing »), la musique si importante déjà (« Je dansais allongée »), étendant encore le vaste territoire de ‘La panthère des Pyrénées’, affirmant son statut d’artiste qui compte dans un monde trop balisé, La Féline nous entraîne sur des chemins qui n’appartiennent qu’à elle.
Dans le clip de « Je dansais allongée », réalisé de nouveau par Sylvère Bourjaillat, La Féline se livre à cette danse, à la fois cérébrale et hyper physique, où les repères spatiaux et temporels vacillent.
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