Mi sixties, un quintet de GI’s américains fonde un quintet : The Five Torquays. Et commence à tourner à travers l’Allemagne. Rapidement, il change son patronyme en Monks et entre en studio pour y enregistrer un premier album : « Black monk time ». Se proclamant l’antithèse des Beatles, la formation pratiquait une sorte de pré-garage/punk caractérisée par un banjo électrique dérangé, des drums sans cymbales, des vocaux frénétiques, une guitare tour à tour surf, chargée de feedback ou triturée par la pédale wah wah (le soliste aurait-il influencé Jimi Hendrix ?), des lyrics dadaïstes ainsi qu’une intro quasi-systématique de leurs compos réservée à l’orgue d’église. Sans oublier le (très) peu d’attention accordé au sens mélodique. Julian Cope leur a réservé un espace dans son livre. Ce qui explique, sans doute, le regain d’intérêt pour cet ensemble dont le drummer est décédé en 2004. L’opus a bien sûr été remis en forme. Et recèle deux compos des Five Torquays ainsi qu’un inédit.
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