Un sentiment de révolte envahit Billions Of Comrades…

Billions Of Comrades vient de publier un nouveau single. Intitulé « SCAB AALO PAM », il annonce un nouvel elpee baptisé « Trotop » qui sortira en mars 2024. Ce morceau est un exutoire destiné à combattre une police violente qui intimide, blesse et tue afin de…

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Manu Chao - Bau-huis
Shaka Ponk - 14/03/2024
Stéphane Reignier

Stéphane Reignier

mercredi, 10 avril 2024 19:09

From Grey dépoussiéré…

From Grey distille une musique folk où la nostalgie, la folie et l’espoir bataillent, s’opposent, s’accordent.

Au milieu de ballades mélancoliques et d'accès de nerfs, on navigue entre photos délavées de l'enfance laissée derrière soi et portraits d'êtres à la dérive ou ayant simplement largué les amarres.

Dans la plus pure tradition du songwriting et sur des textes en anglais, From Grey intègre dans son folk suranné, harmonica, funambule, slide vagabonde, tambour de fanfare et salves électriques. Un road trip sauvage, sur des routes désolées, au milieu des grands espaces.

Le groupe est désormais un trio composé de Ronan Kéromnès, Stéven Rougerie et Nicolas Delaqueze.

Quand on écoute From Grey, on pense immédiatement à Neil Young, Tom Waits et Nick Cave, à travers des compositions inspirantes, bluesy et lumineuses.

Le nouvel elpee, "To Dust" a été enregistré au Lonesome Studio à Blain alors que le mixage et le mastering ont été réalisés par Laurent Ballot et Stéven Rougerie.

Extrait de ce long playing, "Billie" est en écoute ici

 

 

mercredi, 10 avril 2024 19:08

Dix chansons pour Daren Muti…

Jean-Rémy Papleux était le fondateur et le guitariste de March, un groupe de post-rock qui a gravé plusieurs Eps s’est produit en concert, de 1999 à 2008, en première partie de Dianogah, Quickspace, Jackie-O Motherfucker, groupes de la scène indépendante américaine, et Dionysos et Encre pour la française.

Daren Muti c’est le patronyme choisi pour son nouveau projet dont un premier Ep, « Citizens Facing the Sun », est paru en 2020. Un disque dont le style est toujours aussi introspectif, influencé par le folk/rock indé, et plus précisément par les rythmes lents de Low, Sparklehorse, Idaho ou encore Red House Painters.

Trois ans plus tard, Daren Muti sort son premier long playing, « Ten Songs », une œuvre toujours aussi personnelle, qui témoigne d’une certaine transcendance par la sublimation de la mélancolie, sur fond de douces mais impactantes mélodies...

Non seulement Jean-Rémy jongle avec les instruments de musique, mais il maîtrise aussi le pinceau. L'artiste se spécialise dans les portraits aux mouvements figés et aux regards interrogateurs, comme pris sur le vif par un curieux objectif...

C'est également lui qui réalise les paysages qui ornent ses pochettes de singles et d'album !

Issu de cet elpee, « Stylish Descent » est disponible sous forme de clip ici

 

 

 

Composite, la musique d’omega violet est chantée dans la langue de Voltaire ou de Shakespeare. Elle aurait pu naître d’un cocktail hypothétique entre l’indie rock de Grandaddy, la douceur mélancolique de Nick Drake, la pop française d’Alain Bashung et de Bertrand Belin, le lyrisme sombre de Nico, les mélodies des Beach Boys, l’afrobeat de Tony Allen et les fresques progressives de King Crimson.

Variée mais homogène, la musique d’omega violet se veut ludique sur la forme comme le fond, même dans l’expression de la peine ou du désenchantement.

“Hic Sunt Leones”, c'est par cette locution latine que les cartographes médiévaux désignaient les terres inconnues, et c'est l'envie de dessiner un continent inexploré qui a animé omega violet dans la création de cet LP. A la croisée des chemins du rock progressif, du folk et de l’indie rock, les dix compos sont traversées par quatre intermèdes expérimentaux, comme des traversées de fleuves infernaux dans un marathon mythologique.

“Hic Sunt Leones” se situe sur la ligne d’horizon, entre réel et imaginaire, là où l’existence est une flamme qui vacille dans la brume et où des dieux oubliés rêvent de vengeance sur un monde en proie à un désordre ontologique.

Tandis qu’à l’écoute de l’album se dévoile une cartographie sonore, nous sommes amenés à la découverte de lieux reculés et de personnages aux existences étranges, à la dérive. Vers quelle rive ? Manuel de navigation aléatoire !

L’enregistrement des quatorze morceaux qui composent ce paysage s’étire sur différentes sessions au cours des années et croise différentes incarnations/formations du projet. Certains titres font entendre des guitares, basses, batteries, claviers ou voix d’anciens membres du groupe, de différentes périodes. On y a rajouté d’autres voix, d’autres synthés, d’autres batteries, pour former, finalement, un vaste palimpseste qui nous fait sentir l’écho des voix du passé et les fait résonner dans le présent en révélant la précarité des repères spacio-temporels qui encadrent nos vies tout en questionnant le réel.

L’opus est une invitation, une exhortation à un voyage nervalien à la découverte des mystères qui nous entourent et dont nous percevons parfois les murmures par une nuit blanche et noire, sous les astres.

Extrait ce long playing, le « Le phare » est à voir et écouter ici

 

 

mercredi, 10 avril 2024 19:06

Lucie Folch d’ici ou d’ailleurs…

En harmonie avec sa guitare, Lucie Folch crée des mélodies folk, inspirée par ses amitiés, ses amours, ses hauts et ses bas. L’univers est feutré, simple et subtil.

Ses compositions, elle les joue en solo mais également en groupe au sein de Harpn'Gun (2013-2016) et Anita's Revenge (2017-2019), qui ont fait vibrer des lieux tels que le Rockstore à Montpellier, la Cigalière à Sérignan, le Black Sheep, Le Gambetta club à Paris ainsi que divers festivals (Ventspils en Lettonie, Festival de Phalsbourg, Réseau Hors-Lits, Univart & Fabrique à Béziers...)

Qu'elle chante en anglais ou en français, l'émotion est toujours au rendez-vous. La voix envoûtante de Lucie cache par ailleurs des influences rock et une exploration mélodique qui s'étend sur plusieurs genres musicaux ; elle aime d’ailleurs décrire sa musique comme de la folk-pop aigre-douce

Dans les chansons de Lucie, vous découvrirez un soupçon de Dido, des compositions mûries sous l'influence de Keren Ann et Dominique A, une simplicité élégante rappelant Laura Cahen, et quelques épices audacieuses à la Feist, Regina Spector ou The Do.

Elle vient de sortir son premier Ep solo, intitulé "Ailleurs".

Le clip consacré à "Where is (s)he" est à voir et écouter

 

 

mercredi, 10 avril 2024 19:06

Chaton Laveur à l’état sauvage…

Paru en mars, le single "Brève histoire d'une goutte de pluie" annonce la sortie d’un premier elpee intitulé "Etat sauvage" et révèle une nouvelle facette du duo Chaton Laveur. Naviguant quelque part entre DIIV, Beach House et Deerhunter, le groupe empile les couches, les boucles et atteint l'efficacité mélodique parfaite !

Le clip vidéo de "Brève histoire d'une goutte de pluie" est à voir et écouter et celui consacré à la session de "Nuit", ici

 

 

mercredi, 10 avril 2024 19:05

Kamas désorientée…

Kamas, aka Anne Cammas, possède une des voix les plus originales du rock français. Paru ce 29 mars, son nouvel elpee, « Désaxée », pénètre votre esprit de ses nostalgiques fictions, oscillant entre souvenirs et sensations troubles.

Kamas chante ses propres textes, écrits et pensés au chevet des voix que de grandes figures féminines ont longtemps fait résonner (Barbara, Patti Smith, Billie Holiday). Ses deux précédents elpees étaient parus sous le patronyme Kamas et les Corbeaux (« Linda » avec Olivier Lagodski et Nicolas Puaux en 2008 et « Salon » avec Nicolas Puaux et Jérôme Castel en 2011).

Tantôt rock tantôt intimiste, toujours sur le fil du rasoir, « Désaxée » alterne les confessions dérangées de cette artiste originale. ‘Un album pour perdre le nord, faire un pas de côté, essayer autre chose’ s’est exprimée l’artiste et qui aboutit, pour notre plus grand bonheur, à un nouveau monde, un univers, la vie telle qu'elle va, intranquille et quelque peu déboussolée…

La vidéo de « 6V d'Amour » est à découvrir

 

mercredi, 10 avril 2024 19:04

Le jour viendra pour Chanel Beads…

Chanel Beads, aka le musicien new-yorkais Shane Lavers, sortira son premier album, « Your Day Will Come », ce 19 avril 2024, un disque qui marque l'arrivée d’une nouvelle force de la musique expérimentale.

Tout au long de l'elpee, il capture les nombreuses contradictions de l'existence moderne et l'étrange caractère infini du monde digital. Bien qu'il incorpore les sonorités du post-punk, le sentimentalisme de la pop et l'artifice spectral de l’électro, il brouille les pistes grâce à des structures de chansons non conventionnelles qu’il développe jusqu'à des apogées transcendantes. Comme il imprime intentionnellement ses morceaux pour y intégrer des artefacts fantomatiques, les chansons qui en résultent ont à la fois un côté transitoire et intemporel.

Shane Lavers a commencé à écrire les compos de « Your Day Will Come » pendant une période de réflexion, en novembre 2022. Coincé en quarantaine dans son appartement de Brooklyn, il s'est rendu compte qu'il avait envie de creuser au cœur de ce qu'il était vraiment, en dehors des tendances éphémères. C'est ainsi que, pendant cette période étrange, il a commencé à écrire des chansons sur les pertes qui ont marqué sa vie et qui sont à la base de la façon dont il se perçoit, et à la base de ses relations avec les autres. Tout au long de cet opus, Lavers intègre les contributions de McGrory et de Paul qui apportent leurs propres sensibilités et participent ainsi à l'immense émotion dispensée par l’œuvre.

Le titre du long playing, « Your Day Will Come », a lui aussi un double sens. Il peut être lu comme la promesse de l'arrivée d'un bon karma ou comme un rappel de notre mortalité. Pourtant, alors que Lavers déballe les sentiments obsédants du passé dont il doit se libérer pour avancer vers son avenir, il nous rappelle que le chagrin et l'espoir peuvent être plus proches qu'il n'y paraît.

Issu de cet LP, « Embarrassed Dog » est en écoute,

 

Velvet Road Collective est un collectif belge né d'une communauté d'amoureux de la musique. Il a sorti un Ep 3 titres, ce 22 mars 2024.

Il s'agit d'un projet au sein duquel des musiciens et des voix amateurs ont été activement impliqués dans la création de musique sous la direction d’Ozark Henry. Et précisément, plus de 300 personnes se sont inscrites à partir de réseaux communautaires et sociaux et plus de 130 musiciens/voix ont participé activement aux enregistrements de l'été et de l'automne derniers.

Parmi eux, une vingtaine de personnes ont été sélectionnées pour enregistrer trois chansons (écrites par Piet Goddaer) dans les studios de - et avec - Ozark Henry. Mais une session d'enregistrement avec un chœur de plus de 100 personnes, dirigé par Hans Primusz, s’est également déroulée dans les célèbres Galaxy Studios à Mol.

Entre-temps, un partenariat a été établi avec cloudshaper pour développer un label musical indépendant, destiné à un large public et ouvert à tous les genres musicaux.

Extrait de cet Ep, « Running Wild » est à découvrir sous forme de clip

 

mercredi, 10 avril 2024 19:02

Le club sensible de Cabaret Contemporain

"Club Sensible", le quatrième elpee de Cabaret Contemporain paraîtra ce 3 mai 2024. Il fait suite à "Séquence Collective", sorti il y a déjà 6 ans. Pour le concevoir, un mode de fonctionnement un peu différent a été adopté, et en particulier au niveau de l’instrumentation. Intégrés au processus créatif, des éléments tels que la basse électrique et le synthétiseur se mêlent ici aux instruments acoustiques utilisés depuis les débuts.

La démarche reste néanmoins la même, axée sur une intime relation dialectique entre acoustique et électronique. En outre, tout ce qu’on entend dans l’album est organique, aucun séquenceur n’intervient. Ce qui rend la musique vivante, instable, et lui confère le côté un peu imparfait de l’humain : un aspect fondamental du projet global.

En attendant la sortie de l’album, une session live de « Bora », immortalisée au TCI est disponible

 

 

mercredi, 10 avril 2024 19:01

Pas de berceuses pour Dévore

Après avoir publié un premier single intriguant qui posait le décor d’un univers dance punk atypique (“Silent Park”, sorti le 14.02), Dévore nous en propose un second, “No Lullabies”.

Chanson tentaculaire, qui démarre sur le rythme lancinant d’une basse ronde et synthétique, laissant place à un refrain toujours accrocheur, aux guitares tranchantes, on reconnaît déjà bien ici la marque de fabrique du groupe.

Le pont, retour à une nouvelle sérénité, cache bien son jeu : “No Lullabies” déploie une structure dans l’urgence, où la lueur s’accroche tant bien que mal à la chaleur émanant du saxophone, tantôt ambient, tantôt percutant. “No Lullabies” est une proposition plus directe, comme une suite évidente de l’aventure.

La dernière pierre avant la sortie du premier Ep du groupe, prévue pour le 3 mai.

La version ‘live de “Silent Park“ est à voir et écouter ici

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