La manille pour bébé de Panic Shack

Fondé en 2018, Panic Shack eéunit Sarah Harvey, Meg Fretwell, Romi Lawrence, Em Smith et Nick Williams. La formation a décidé de défier l'atmosphère exclusive des scènes indie et punk dominée par les hommes. Sa musique est décrite comme explosive et…

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Ozark Henry connaît la musique Parker…

C'est vrai, l'attente a été terriblement longue ! « Us », son dernier album studio, date de 2017. Dans le monde éphémère de la musique pop, où les stars vont et viennent, c'est une éternité ! Mais il faut parfois savoir être patient, et en livrant « Light »,…

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Boy With Apple

Attachment

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‘Boy With Apple’ est une peinture du 21ème siècle signée par l’artiste britannique Michael Taylor. Peinte sur commande, elle a servi d’accessoire dans le film de Wes Anderson, ‘The Grand Budapest Hotel’, sorti en 2014 ; mais c’est également le patronyme choisi par ce band suédois (NDR : il est originaire de Göteborg)

« Attachment » constitue son premier opus, un long playing tout au long duquel, il combine dream pop et shoegaze pour créer des atmosphères hypnotiques, belles, accrocheuses et empreintes d'émotion ; et le tout est traversé par des vocaux captivants.

Cinglantes et intègres, les textes profonds et touchants traitent de l'amour romantique mais aussi de soi.

Extrait d’« Attachment », « Valentine » est en écoute

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9-volt velvet

Riptide – Hey candy (single)

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9-volt velvet nous vient de Muscle Shoals, en Alabama. Il réunit des membres de The Northern Lights et de Viva Voce.

Les deux titres de ce single, « Riptide – Hey Candy » sont issus de l’album « Nude Beaches », paru le 22 janvier.

Son cocktail de post-punk, de rock alternatif et de shoegaze nous entraîne dans un voyage sonore destiné à embrasser sa propre individualité et à se délecter de la joie d'être vraiment soi-même.

Les guitares, tour à tour délavées, chargées de fuzz, de feddback ou aux riffs implacables, les lignes de basse circulaires et hypnotiques, les rythmes martelés ainsi que les voix chuchotées et obsédantes alimentent cette expression sonore énergique et entraînante.

« Hey candy » est à voir et écouter ici

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Seppuku

Belinda (single)

Écrit par

Le Seppuku, littéralement ‘coupure au ventre’, est une forme rituelle de suicide par éventration. En d’autres termes, c’est le Hara-Kiri. Mais c’est également le patronyme choisi par un quintet marseillais, impliquant quand même deux expatriés parisiens, qui pratique une musique shoegaze manifestement inspirée par My Bloody Valentine.

Son premier album, « Times », paraîtra ce 28 juin 2024. Les sessions d’enregistrement se sont étalées sur trois ans. Ce qui peut s’expliquer, car les membres du groupe participent à d’autres projets.

Avant de sortir ce long playing, la formation en a extrait deux singles, « Lost my smile » et « Belinda ». Le premier est disponible sous forme de clip ici et le second est en écoute

La pop bruitiste de « Belinda » se distingue par sa simplicité, ses mélodies de guitares aux échos nostalgiques et un refrain aux harmonies rêveuses ; on s'y laisse transporter sur une planche de skate, les cheveux au vent, dans les vestiges du Marseille des nineties…

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Pure Hex

Spilling (Ep)

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Issu de San Franisco, Pure Ex a sorti la première moitié (« Spilling »), sous forme d’Ep (6 titres) qui figurera sur un double elpee baptisé « Spilling/Five of fear ». Il devrait paraître sous peu

Spilling élargit son approche de la musique pour aller au-delà des racines du shoegaze, en creusant plus profondément pour atteindre les souches plus lumineuses et immédiates du rock alternatif.

Lorsqu’elles ne sont pas noueuses, distordues ou grungy, les sonorités délavées des guitares sont tempérées par les envolées mélodiques alors que la voix ensorcelante de Marta Alvarez sert de contrepoint vitreux à l'instrumentation.

Le band explique :

‘L'album complet, « Spilling/Five of Tears », fait allusion aux réalités de la croissance et de la perte, par le biais de la carte de tarot « Five of Cups ».

Cette carte symbolise le creux émotionnel dans un cycle de croissance, le trou dans lequel vous tombez lorsque vous regardez ailleurs, le tapis que l'on retire ou l'effondrement de la glace, sous vos pieds. ‘

Le titre maître de cet Ep est en écoute ici 

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Draag

Actually, the quite is nice (Ep)

Écrit par

Après avoir sorti son premier elpee l’an dernier, Draag continue de développer ses rêveries grungegaze. Et la formation californienne (NDR : elle est issue de Los Angeles) le démontre sur son nouvel Ep six titres, « Actually, the quite is nice ».

Adrian Acosta, le leader du quintet a, une fois de plus, réussi à créer des morceaux sans avoir recours à des instruments de rock non traditionnels, et en refusant d'y ajouter des fioritures afin de les rendre plus lisses.

Adrian a appris très tôt que ni les musiciens ni leurs fans ne gagnent à ciseler un exosquelette magnifique.

Il est à l'écoute de ce qui est plus profondément enraciné dans une œuvre d'art. Ainsi, les rebondissements provocateurs et inattendus sont la preuve que l'artiste a imprégné les chansons de Draag d'une vie qui leur est propre.

Il a acquis une maturité et une acuité artistique exceptionnelles que certains musiciens beaucoup plus âgés et prolifiques mettent des années à comprendre et à adopter.

Issu de « Actually, the quite is nice », « The day has come » est en écoute

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V V & the Void

The cage

Écrit par

« The cage » constitue le troisième opus de V V & the Void, le projet de l’Australienne (NDR : elle est issue de Melbourne) Valentina Veil.

Décrit comme éthérée, gothique, minimale-drone et sombre, sa musique cherche l'équilibre délicat entre différentes forces, et notamment la grâce et le déséquilibre, le féminin et le masculin, ainsi que les énergies lunaires et solaires.

Valentina intègre sa voix tendre à un rythme industriel, comparant le temps qui passe à une horloge de grand-père qui dysfonctionne, créant ainsi une expérience à la fois troublante mais sereine…

Dans ses textes, elle explore également la dichotomie entre la naissance et de la mort d'un point de vue inconscient, mais elle prend soin d’aborder ces thèmes avec nuance et subtilité.

Le titre maître de ce long playing est en écoute ici

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Adorer

Adorer (Ep)

Écrit par

Il est amusant de constater que lorsqu’on soumet le mot ‘adorer’ sur le net, tout ce qu’on obtient c’est la conjugaison du verbe adorer.

Pourtant cette formation existe bien (NDR : elle a été fondée, à Sydney, en 2002) et après avoir enregistré deux singles, elle a sorti, en mai dernier, un Ep éponyme.

Tout au long des 6 titres de cet essai, parvient à briser les frontières qui séparent le shoegaze traditionnel, le grunge et le post-rock.

Entre l’intensité d'un conflit et la subtilité d'un chuchotement, des voix désespérées et sincères se heurtent à un lourd mur de son.

Extrait de « Adorer », « Burial » est à voir et écouter ici

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Blood Family Reunion

Lucky Mutation

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Basé à Wahington DC, Blood Family Reunion pratique une musique qui agrège habilement dream pop, shoegaze et bedroom pop. « Lucky Mutation » constitue son premier elpee.

La formation brosse des paysages sonores qui invitent à la réflexion et suscitent une connexion intime avec les émotions les plus profondes.

Les textes traitent de tragédie, de mythes familiaux et de fantaisie.

Des accords de guitare vibrants, des lignes de basse captivantes et des rythmes basiques fusionnent afin de briller d'un éclat unique, comme un phare qui brille et vous guide votre une nuit noire de l’âme…

Le titre maître de cet LP est en écoute ici

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Soft Michel

Thalasso

Soft Michel est un quatuor parisien qui a quitté l’univers du jazz pour se tourner vers le rock ayant bercé l’adolescence de ses membres. Entre indie rock et britpop, ses influences oscillent de Franz Ferdinand à Oasis, en passant par les Beatles, Wolf Alice, Coldplay et The Dø. Son patronyme leur apparaît comme une évidence : Soft Michel est une ode à la mollesse des après-midis de bistrot et à la poésie des lentes discussions sans but. 

Sur son Ep, « Thalasso », Soft Michel réussit à conjuguer la puissance des guitares, la douceur des harmonies sucrées et la sensibilité vocale du chanteur. D’après la bio, les textes sont basés sur un monotrip à caractère psychotique d’Antoine Martin (alias Garbage Dog Prod.) sur une certaine chanteuse londonienne qui a écrit "Sad Boy", ainsi que sur des croyances ésotériques étranges. A creuser. Surtout les méninges.

Grâce à des textes parfois lyriques et romantiques, parfois insolents et teintés d'autodérision, Soft Michel réussit à faire s’embrasser la puissance des guitares, la douceur des harmonies sucrées et la sensibilité retentissante du chanteur.

En 2022, il a signé chez le distributeur Indépendant Digital. En 2023, il a gravé deux live sessions : « Bottle of Soap » et « Willy Wonka ». Il vient de publier l’Ep, « Thalasso », sur lequel figure « Sunbeam », une compo qui a fait l‘objet d’un clip ; et il est disponible

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i Häxa

Part 2 (Ep)

Écrit par

« Part 2 » constitue le second Ep du mystérieux collectif aux multiples facettes, i Häxa.

Ce disque est paru au cours du mois Beltane (NDR : Bealtaine, Beilteine, Beltan ou Bealtaine en irlandais et Bealltainn en gaélique écossais), l'ancienne fête du feu de l'âge de fer. C’est le dernier chapitre d'un projet multiforme de l'auteur-compositrice-interprète Rebecca Need-Menear (qui milite également au sein du duo de rock électronique Anavae) et du producteur avant-gardiste Peter Miles (Architects, Dodie, Fizz).

Une vision singulière des films abstraits de longue durée et d'anciennes mythologies météorologiques.

i Häxa dissèque le monde tel que nous le connaissons, en séparant énergiquement la monotonie de la modernité. A travers les rites et rituels qui, pendant des siècles, ont constitué les fondements de notre identité, de notre origine et de notre appartenance à l'humanité, le tandem brosse des paysages sonores défiant les genres

Les pulsations percussives et les drones discordants s'amplifient jusqu'à un crescendo qui dépasse les limites d'une chanson.

Issu de cet Ep, « Eight eyes » est en écoute

Emission Inaudible 36

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